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Humanité bridée

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Les Veilleurs de Fukushima. Les conséquences de l'échec, article Psychologie sociale. Les situations d'échec sont souvent considérées comme source de tous les maux. On associe ainsi échec scolaire, chômage et criminalité. L'échec a toujours beaucoup intéressé les sociologues, pédagogues et cliniciens. Mais curieusement, les psychologues sociaux s'en sont peu occupés. D'où l'intérêt de ce panorama des recherches par Françoise Van Duüren, psychologue à l'université Charles-de-Gaulle de Lille, centré sur les travaux de psychologie expérimentale.

Mais d'abord, comment fait-on pour mettre quelqu'un en situation d'échec dans un laboratoire ? Les conséquences d'une telle dévalorisation sont nettes au niveau affectif : cela provoque des sentiments de menace et d'insécurité. Enfin, la situation d'échec modifie notre interprétation de la réalité et nos stratégies de défense. Voilà de quoi réfléchir sur les conséquences de l'échec, surtout quand il ne s'agit plus d'une situation artificielle (et édulcorée) de laboratoire.

Jusqu'où ira la déshumanisation du réseau de la santé et des services sociaux ? Intervention de Jacques Fournier, délégué de l’Association québécoise de défense des droits des retraités (AQDR) à la Coalition Solidarité Santé lors de la soirée-discussion du 17 mars 2011 organisée à l‘UQAM par les Amis du Monde diplomatique (groupe de Montréal) Bonsoir, Je remercie les organisateurs de m’avoir invité à cette soirée. C’est un sujet qui me passionne. Je vais traiter surtout de quatre points : d’abord, un bref rappel historique concernant les finalités de la réforme Couillard qui a forcé, en juillet 2004, la fusion des CLSC, des CHSLD et des hôpitaux ; ensuite une brève présentation de ce qu’est la nouvelle gestion publique, la NGP ; ensuite les impacts de la réforme Couillard et de la NGP sur les personnes qui vivent une perte d’autonomie liée au vieillissement, les PALV comme ils disent joliment dans le jargon des technocrates, enfin, le recul de la participation citoyenne que prévoit le projet de loi 127 actuellement à l’étude à l’Assemblée nationale.

Les PALV. Esclavage moderne. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Alors qu'à la fin du XIXe siècle, l'esclavage ancien « classique » (où l'esclave est une personne non libre, un bien, une marchandise, un instrument économique pouvant être vendu ou acheté ; un esclavage que l'on pourrait qualifier de « physique ») semble définitivement aboli dans la plupart des pays du monde, quelques consciences s'inquiètent de nouvelles formes d'esclavage qui semblent ressurgir.

C'est dans ce contexte que des délégués de la première conférence pan-africaine de Londres font parvenir à la reine Victoria, un mémoire dénonçant « le système de travail des natifs africains en vigueur en Rhodésie, le système des engagés, un esclavage légalisé, et le travail forcé ». Pour la première fois, la notion d'esclavage moderne apparaît, dont le travail forcé serait l'un des avatars. Aperçu historique[modifier | modifier le code] Formes contemporaines de l'esclavage classique[modifier | modifier le code]

Procédés de la déshumanisation - Les camps de concentration. Pour commencer, le trajet juqu’aux camps se faisait dans de grands convois de wagons à bestiaux, dans lequel s’entassait des centaines de déportés. Beaucoup seront morts de faim, de soif, ou de suffocation avant même d’arriver aux camps. A leur arrivée les déportés sont tout de suite plongés dans l’horreur, on leur demande de choisir une direction à choisir pour marcher mais en réalité c’est un piège des nazis, une sorte de tri (par exemple ceux qui choisissent la droite sont tout de suite exécutés dans une clairière plus loin). Les gardes du camp font aussi une rapide sélection de ceux qui sont capables de travailler ou non, les enfants en bas âges, les malades, ou les personnes âgées sont ainsi tués immédiatement à leur tour ; c’est ainsi que des convois de milliers personnes, une fois déchargés, n’ont apporté en réalité que quelques dizaines de personnes qui ont servi de main d’œuvre dans les camps.

Le tri des hommes et des femmes... Un SS*.. Le dernier espoir... Les essais médicaux... PRISONS, LA VERITE. Contrôleur général des lieux de privation de liberté. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL), dit communément contrôleur général des prisons, est une autorité administrative indépendante française chargée de « s'assurer que les droits fondamentaux des personnes privées de liberté sont respectés et de contrôler les conditions de leur prise en charge ». L'inspiration de ce contrôleur général des lieux de privation de liberté proviendrait du Protocole facultatif à la Convention de l'ONU contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

Le rapport du député socialiste Jacques Floch, enregistré à la présidence de l'Assemblée nationale le 28 juin 2000[2], préconisait déjà un contrôleur général des prisons, associé à un dispositif de médiation. Vote de la loi[modifier | modifier le code] Définition[modifier | modifier le code] Le contrôleur ne pourra former que des recommandations et n'aura aucun pouvoir d'injonction. SOS-planete, le site de Terre sacrée. Actualités de l'environnement. L'information des lanceurs d'alerte.