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Corrosion

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La batterie du futur compte sur la pomme de terre > Technologie. La société Yissum Research Ltd, qui est en quelque sorte le bras technologique de l'Université hébraïque de Jérusalem, annonce avoir développé une nouvelle batterie solide organique qui fonctionne avec des pommes de terre spécialement traitées. Simple, durable et solide, le dispositif pourrait potentiellement apporter une solution immédiate et peu coûteuse aux besoins en électricité des populations situées dans les régions rurales les plus reculées.

Des chercheurs de l'Université Hébraïque ont en effet découvert qu'une capacité accrue de sel dans les tubercules de pomme de terre avait pour effet de produire davantage d'électricité. Bon marché (zinc et électrodes de cuivre) et facile à concevoir, cette source d'énergie verte pourrait améliorer considérablement la qualité de vie de 1,6 milliard de personnes. Elle pourrait ainsi contribuer à satisfaire des besoins importants de ces populations dans des domaines, tels que l'éclairage, la télécommunication, ou encore l'accès à l'information.

Theobromine's blog » Labo : La vérité sur la pile citron ;-) Nov 16 2007 (26/10/2008) Une petite mise à jour : Un coffret « Drôles de piles » La pile citron est un grand classique de l’activité scientifique. Quel bonheur de constater qu’un citron est capable de remplacer une pile bouton et d’alimenter en énergie une carte musicale. Disons tout de suite que le citron c’est bien mais une orange, une pomme de terre ou tout simplement une solution saline peuvent jouer le même rôle avec plus ou moins d’efficacité.

Les sciences appliquées du CESU ont testé pour vous la pile citron et la pile patate et ont tenté de distinguer le rôle des constituants. Il s’agit (bien évidemment) d’une réaction d’oxydo-réduction entre les couples Zn/Zn++ (une des électrodes) et H2/H+ (solution acide du citron). Cette hypothèse étant formulée nous avons tenté de la vérifier, de la compléter en modifiant certains paramètres ou en cherchant des informations sur le net. S’agit-il d’une pile style Daniell (Cu/Zn) dans laquelle l’électrolyte serait remplacé par le jus du citron ? Pile pomme de terre. Patate électrochimique. Pile avec une pomme de terre.

Pile électrique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir pile. Vocabulaire : pile, batterie, accumulateur[modifier | modifier le code] À l'origine, le terme pile désignait un dispositif inventé par le savant italien Alessandro Volta, composé d'un empilement de rondelles de deux métaux différents, séparés par des feutres imprégnés d'un électrolyte. Par extension, le mot « pile » désigne toute batterie monobloc non rechargeable.

Principe de fonctionnement[modifier | modifier le code] Symbole électronique d'une pile qui se réfère à la structure de la pile voltaïque. Schéma d'une pile. Le boîtier d'une pile abrite une réaction chimique entre deux substances dont l’une peut céder facilement des électrons (matériau réducteur), et l’autre qui les absorbe (matériau oxydant). Chaque élément du couple oxydant/réducteur est relié à une électrode.

Ce système est utilisé pour les piles électriques et les batteries d'accumulateurs, avec divers couples électrochimiques. Corrosion galvanique. Corrosion et protection des métaux en milieu marin. La corrosion est une interaction entre un matériau métallique et son environnement qui entraîne une dégradation du matériau, c'est-à-dire des modifications de ses propriétés susceptibles de conduire à un dysfonctionnement du système technique auquel il participe (norme NF EN ISO 8044). Aux températures ambiantes, le phénomène résulte le plus souvent de l'action combinée d'un milieu aqueux et du dioxygène de l'air. Il est donc clair, et de ce fait doit toujours rester présent à l'esprit, que la résistance à la corrosion d'un métal n'est pas une propriété intrinsèque, au même titre que la masse volumique par exemple, mais dépend d'un grand nombre de paramètres, dont ceux liés au milieu agressif.

La corrosion « aqueuse » est de nature électrochimique et ne peut se comprendre sans les connaissances de base de cette discipline. Nous ferons ici l'hypothèse que le lecteur possède ces bases, qui sont par ailleurs aisément accessibles. Corrosion aqueuse. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Corrosion généralisée : la dissolution des métaux[modifier | modifier le code] La corrosion des métaux consiste essentiellement en leur oxydation, qui est un « retour à l'état naturel. » Cependant, l'oxydation n'est pas nécessairement la combinaison d'un élément avec de l'oxygène. D'une manière plus générale, il s'agit d'une réaction chimique au cours de laquelle un composé considéré cède des électrons. Par exemple, le fer s'oxyde en présence du dioxygène de l'air pour former de l'hématite (Fe203) : peut s'écrire L'hématite peut donc être décrite comme un cristal ionique (Fe3+2, O2-3), ce qui n'est pas tout à fait exact, mais donne une bonne approche du phénomène d'oxydation.

Au cours de la réaction, le fer perd des électrons : on dit qu'il est oxydé. Lorsque l'on plonge du fer dans une solution acide (pH < 7), le fer se dissout avec un dégagement de dihydrogène. Cette dissolution dans l'eau par oxydation s'appelle corrosion généralisée. La Bande Dessinée.