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Le «doggy bag» à la française arrive dans nos restaurants. L'organisation patronale Umih signe officiellement ce mardi un accord avec la société TakeAway qui propose des boîtes cartonnées permettant aux clients des restaurants d'emporter ce qui reste dans leur assiette. Après les producteurs qui se sont mis à commercialiser leurs légumes et autres produits moches, les restaurants ont décidé à leur tour de proposer leur solution antigaspi. L'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie (Umih) a signé officiellement ce mardi un partenariat avec la société française TakeAway, dans le but de «généraliser la pratique du doggy bag» en France.

Cette pratique américaine consiste à emporter dans une barquette les restes de son assiette au restaurant. «Le gaspillage, c'est l'affaire de tous: du producteur au consommateur en passant par nos restaurateurs», souligne Roland Héguy, le président confédéral de l'Umih dans un communiqué. L’Applewatch pour piloter un drone à la mode Star Wars. Ars Un Bebop de Parrot comme tenu en laisse par La Force, effectuant de dociles allées et venues dictées par la seule volonté d'un pilote n'utilisant que sa seule main a quelque chose de Star Wars.

Cette prouesse a été réalisée par l'étudiant taïwanais Mark Ven et une équipe de l'université Chung Hsing de la ville de Taïchung qui ont composé un algorithme permettant de connecter une Applewatch à un drone. Au lieu d'être piloté à partir d'une radiocommande ou d'un smartphone, le Bebop obéit aux mouvements imprimés à la montre connectée. Une louable opération de simplification et de sophistication plutôt qu'une performance révolutionnaire. La plupart des drones de haut de gamme disposent déja d'une fonction "follow-me" qui leur permet de suivre le pilote dés lors que celui-ci tient simplement en main la radiocommande, sans même appuyer sur un bouton. Le Dong Coding est également susceptible de mettre à profit une montre connectée pour commander une ambiance lumineuse. Panique à la suite d’une faille de sécurité sur la plate-forme de jeux vidéo Steam.

Découvrir une faille de sécurité n’est jamais très rassurant pour les utilisateurs. Mais, lorsqu’on est le lendemain de Noël et qu’elle concerne le principal magasin de vente en ligne de jeux vidéo pour ordinateur, c’est pire. Les utilisateurs de la plate-forme Steam ont eu des sueurs froides, jeudi 25 décembre en milieu de soirée : un certain nombre d’entre eux se sont aperçus, en se connectant à leur compte, que s’affichaient non pas leurs informations personnelles mais celles d’autres utilisateurs. Toutes les données internes d’un compte étaient ainsi rendues visibles à des tiers, notamment l’adresse e-mail ou l’historique des jeux achetés. Certains utilisateurs ont une carte bancaire préenregistrée dans leur compte afin de régler plus facilement leurs achats, leur laissant craindre qu’il soit possible d’acheter des jeux en leur nom. Problème résolu Selon ce modérateur, Steam ne s’est pas fait pirater, et l’origine du bug est purement technique.

Mark Zuckerberg veut construire une intelligence artificielle comme « Jarvis dans “Iron Man” » Les bonnes résolutions de Mark Zuckerberg sont célèbres : apprendre le mandarin, lire deux livres par mois, ne manger que de la viande tuée de ses propres mains… Pour 2016, le patron de Facebook a cette fois décidé de créer une intelligence artificielle (IA) ressemblant à « une sorte de Jarvis dans Iron Man ». A la manière de ce programme qui accompagne le super-héros milliardaire dans son quotidien, Mark Zuckerberg compte coder lui-même cette IA « pour gérer [s]a maison et [l]’assister dans [s]on travail », explique-t-il dans un billet publié sur Facebook. « Je lui apprendrai à comprendre ma voix pour contrôler toute la maison – musique, lumières, température et autre.

Je lui apprendrai à laisser les amis entrer en regardant leur visage quand ils sonnent à la porte. Je lui apprendrai à me signaler s’il se passe quelque chose dans la chambre de Max [sa fille] quand je ne suis pas avec elle. » « Interagir avec elle comme une personne » L’IA, enjeu clé pour Facebook. Orange veut racheter Groupama Banque pour lancer sa banque mobile. Le géant français des télécoms Orange a finalement jeté son dévolu sur Groupama Banque pour lancer sa banque mobile, l’un des objectifs de son plan stratégique actuel. Les deux groupes ont annoncé, lundi 4 janvier, être entrés en négociations exclusives en vue de l’acquisition par Orange de 65 % du capital de la banque en ligne créée par l’assureur mutualiste.

Le prix que pourrait payer l’opérateur n’a pas été divulgué. Il s’agit, pour Orange, de « bénéficier d’une infrastructure déjà opérationnelle et rodée » pour le lancement de son nouveau service, Orange Banque, au début de 2017. Ce nouveau service avait été annoncé lors de la présentation du plan stratégique baptisé « Essentiels 2020 », en mars dernier. « Nous apportons nos 28 millions de clients dans le mobile, Groupama, de son côté, a un outil qui fonctionne mais qui n’a pas encore atteint sa taille critique. » Expérience en Pologne Lire aussi : Orange se lance dans la bataille du paiement sur mobile.