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La mystérieuse énergie noire

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NIKOLA TESLA
Le grand ingénieur qui s’est fait volé tous ses brevets
A l’origine, avant HAARP, l’un des premiers brevets de Nikola Tesla s’appelait Energie gratuite ou libre.


Sa découverte provenait de sa constatation basique que l’espace présent entre les atomes de matière n’est pas vide mais rempli d’énergie.
Selon Tesla le vide absolu naturel n’existe jamais. La concentration d’énergie entre les atomes de la matière est extrêmement élevée, de l’ordre de 5000 kw /heure par cm3 ; elle est par contre difficilement perceptible et pour la mettre à jour, il faut la faire traverser par des champs électromagnétiques très élevés. Nikola Tesla prétendait que cette énergie naturelle s’appelait traditionnellement ‘‘ Akasha». Elle était connue des Anciens qui l’utilisaient. Il en avait fait la preuve expérimentale dans ses laboratoires. Il réussit même à faire des générateurs fonctionnant selon ce principe et il réussit à faire ainsi fonctionner des moteurs automobiles mais aussi à provoquer des vibrations terrestres comparables à des séismes et des vibrations pouvant provoquer des tempêtes modifiant le climat. Pour transmettre l’énergie, il inventa un système qui dispensait de l’utilisation de câbles et de lignes à haute tension. Il maîtrisait le transfert d’énergie à distance sans perte de puissance, contrairement à l’utilisation des réseaux filaires. Il utilisa donc l’Akasha à des fins industrielles. En conséquence, d’après lui, il était impossible de manquer d’énergie. Il suffisait de savoir exploiter l’énergie cosmique universelle contenue dans l’Akasha. Pour faire une comparaison, selon lui, c’est comme si quelqu’un se trouvant assis au fond d’une piscine une tasse à la main, se serait demandé comment la remplir d’eau.

Un nouveau champ d’énergie dans notre système solaire est confirmé par les scientifiques. Selon le Huffington Post et la TerreLe 3ème Reich et les cartes de l'intérieur de la Terre. Lire la suite ... » et tout notre système solaire est en train de passer dans un champs d'énergie, il s'agit de la ceinture d'AlcyoneDec 2012, va t-on vers la fin du monde vs Le Passsage dans la ceinture d'Alcyone.

Lire la suite ... ». Encore une fois, les scientifiques Terriens sont à la traine, car cette info est annoncée depuis des années par les soit disant Théoriciens du couplot sur le net. C'est a se demander si ces scientifiques ne prennent pas des informations sur nos blogs pour en faire leur sujets d'études Rappel : Tout notre systeme solaire se déplace dans l'espace dans une sorte de spirale (formant une course qui ressemble a notre brin de DNA). Ce champs d'énergie, est un champs de photons (lumière). Décrivant le phénom Venezuela : La déroute des plans du Nouvel Ordre mondial continue .

Toutes les cultures anciennes parlent de ce passage. 7: Énergie noire et particules caméléons. Futura-Sciences : On ne peut donc pas faire intervenir une théorie tenseur-scalaire ou f(R) pour expliquer l’énergie noire ? Philippe Brax : En fait si ! Dans un article, publié en 2004 par Carsten van de Bruck, Anne-Christine Davis, Justin Khoury, Amanda Weltman et moi-même, nous avons montré qu’il existait une théorie tenseur-scalaire dont la masse de la particule associée au champ scalaire était fonction de la densité de l’environnement dans lequel elle se trouvait. Elle serait donc légère dans le vide inter-amas et lourde dans une étoile comme le Soleil. Cette particule s’adaptant en quelque sorte à son environnement, on lui a tout naturellement donné le nom de « particule caméléon ».

De cette façon, il est possible de concilier aussi bien les observations dans le Système solaire qu’au niveau des amas de galaxies. FS : La théorie des caméléons peut être décrite dans le cadre de théories f(R). CDM. Il y a par exemple la mission EUCLID, sur laquelle réfléchit actuellement l’ESA. 10: Énergie noire et futur de l'univers. Comme vient de nous le montrer Philippe Brax, la nature de l’énergie noire est un sujet fort riche avec une pléthore de modèles théoriques possibles, dont certains n’ont malheureusement pas été mentionnés ici. Pour ceux qui souhaitent en savoir plus, ce dossier se termine par quelques liens techniques comportant eux-mêmes une large bibliographie.

Nous avons vu que l’étude de l’énergie noire était susceptible d’apporter des informations sur de la physique au-delà du modèle standard. Il est bien possible que ce soit l’unique moyen de tester des théories de gravitation quantique spéculatives, comme la supergravité, la théorie des supercordes ou la gravitation quantique à boucles. La cosmologie, en tant que laboratoire pour l'infiniment petit, serait donc la seule fenêtre observationnelle qui nous soit accessible. Selon la nature variable ou non de l'énergie noire, l'univers finira par un Big Crunch ou continuera éternellement son expansion. Énergie noire et champs de Higgs. Futura-Sciences : Les fluctuations quantiques avec l’énergie de point zéro ne sont pas les seules manières d’obtenir une densité d’énergie dans le vide se comportant comme une constante cosmologique.

On sait que le fameux mécanisme de Higgs, utilisé pour donner une masse aux particules, peut aussi contribuer à l’énergie du vide. N’y a-t-il pas là une direction de recherche à explorer ? Philippe Brax : En effet, on sait que le champ de Higgs , celui du fameux boson de Peter Higgs, se couple à lui-même. De ce fait, les équations qui décrivent son évolution dans le temps et l’espace font intervenir deux parties qui ressemblent à celle d’une particule se déplaçant dans une cuvette en forme de sombrero.

Une partie est donc l’analogue de l’énergie cinétique et l’autre celle de l’énergie potentielle. Les valeurs du champ de Higgs donnent alors un point sur la surface de la cuvette. Le potentiel de Higgs V définit une densité d'énergie dans le vide qui dépend de l'intensité du champ de Higgs. Énergie sombre. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'énergie sombre ne doit pas être confondue avec la matière sombre qui, contrairement à l'énergie sombre, ne remplit pas uniformément l'univers et qui interagit normalement (forces attractives) avec la gravitation.

Naissance de la notion d'énergie sombre[modifier | modifier le code] L'expression dark energy (énergie sombre) a été citée pour la première fois dans un article de Huterer et Turner[1] en 1998, quelques mois après la découverte de l'accélération de l'expansion de l'Univers[DE 1]. En effet, à la fin des années 1990, les satellites et les télescopes ont permis des mesures très précises des supernovæ distantes et du rayonnement fossile micro-onde. Du fait de sa nature répulsive, l'énergie sombre a tendance à accélérer l'expansion de l'Univers, plutôt que la ralentir, comme le fait la matière « normale ». Mais l'idée d'une composante accélératrice, invisible et diffuse, de l'univers est plus ancienne[DE 1]. . Au lieu de. 1: La mystérieuse énergie noire. 2: La découverte de l'énergie noire. En 1998, deux équipes d’astrophysiciens menées respectivement par Saul Perlmutter et Adam Riess, firent une découverte qui allait révolutionner la cosmologie et déclencher d’intenses débats dans le milieu de la physique théorique, notamment dans le domaine spéculatif de la théorie des supercordes.

Alors que la théorie standard du Big Bang, couplée aux observations faites jusque là, prévoyait un ralentissement de l’expansion de l’univers, celle-ci semblait s’être accélérée depuis quelques milliards d’années. La supernova SN 1994d dans la galaxie NGC 4526. © Nasa/Esa, The Hubble Key Project Team, The High-Z Supernova Search Team. Pour faire cette découverte, les astrophysiciens avaient patiemment cherché à détecter la lumière émise par l’explosion de supernovae de type SN Ia dans des galaxies situées à plusieurs milliards d’années-lumière de la Voie lactée. L'astrophysicien Saul Perlmutter. © The Shaw Prize.

L'astrophysicien Adam Riess. © The Shaw Prize. Cette constante cosmologique.