Neuf conseils pour réduire le gaspillage alimentaire et devenir un héros du programme #FaimZéro. Nous pouvons tous jouer un rôle en évitant de gaspiller la nourriture 26 May 2017 Le gaspillage alimentaire est devenu une habitude dangereuse : on achète trop d’aliments dans les supermarchés, on laisse les fruits et les légumes se gâter chez soi ou on commande des plats trop copieux au restaurant. Chaque année environ un tiers des aliments produits dans le monde sont perdus ou gaspillés. Dans les pays en développement, une proportion importante (40%) de ces aliments est perdue au stade de la récolte ou de la transformation : ce sont les pertes alimentaires. Dans les pays développés, cette même proportion (40%) est perdue au stade de la consommation ou de la vente au détail, en mettant au rebut les denrées invendues dans les magasins, ou en jetant les aliments non consommés dans les maisons, les restaurants et les bars : c’est le gaspillage alimentaire.
Partout dans le monde, on peut changer les choses en réduisant les pertes et les gaspillages alimentaires. Alimentation.pdf. Alimentation. VIANDES ET PRODUITS CARNES 21/11/16 Végétarisme et flexitarisme, une tendance émergente ? Created: Monday, 21 November 2016 06:00 Written by C. Laisney | Résumé de l'article | Article au format livre flash | Article au format pdf | Abstract | Comment appréhender le phénomène, son évolution passée et prévoir son évolution future ? Pour bien les appréhender, les nouvelles tendances de consommation que sont le végétarisme, le véganisme ou encore le flexitarisme doivent faire l’objet d’une analyse combinant enquêtes auprès des consommateurs, comportements réels et approche par les "faits porteurs d’avenir".
Depuis quelques années, il est beaucoup question dans les médias de végétarisme et du véganisme, mais quelle est la réalité du phénomène ? Les végétariens stricto sensu sont généralement, dans les pays développés, une petite minorité. Il est difficile d’appréhender statistiquement le phénomène et par conséquent de mesurer son évolution. Figure 1 : Fréquence (déclarée) de la consommation de viande Figure 2 : Fréquence (déclarée) des repas végétariens Références : Haut de page.
COOP_CH – 2014 - Un nouveau phénomène de société : le flexitarisme - faits et chiffres. Comment être locavore à Paris ? Les locavores, ce sont ces personnes qui respectent une discipline alimentaire nouvelle : s’alimenter de produits dont l’origine géographique est située à moins de 160 km de leur fourchette... Cette nouvelle espèce, apparue à San Francisco il y a plus de quatre ans, est devenue un véritable mouvement basé sur une idée simple : Consommer et manger local !
Les locavores ont calculé qu’un verre d’orange de Floride consommé à Chicago contient l’équivalent de deux verres de pétrole. Ce mouvement s’est répandu en l’Europe, et notamment en Ile de France ! Mais à Paris, où et comment acheter des fruits et des légumes bio, locaux et de saison, à un prix raisonnable ? Pour l’instant, en se ralliant à une AMAP : Association pour le Maintien de l’Agriculture Paysanne ! En pratiquant la cueillette à la ferme ou en allant faire ses courses à la campagne près de Paris ! Consommer local est une stratégie d’adaptation, face au dérèglement climatique et à la crise énergétique. Illustration de Merlin Bigorie. Guide pratique du Locavore à Paris | JULIE COIGNET. Alors que France 5 diffuse depuis quelques semaines » 200 km à la ronde « , émission de télé réalité montrant 5 familles toulousaines à la découverte du locavorisme et que mon défi « 1 semaine locavore » fête ses 1 an, j’ai eu envie de faire un petit guide complet et pratique à destination des parisiens en chemin vers ce nouveau régime alimentaire… Définition, intérêts, bonnes adresses et petits plaisirs, voici de quoi basculer en douceur vers un mode de vie plus local.
Définition, intérêts et zone concernée Le terme « locavore » a été inventé en 2005 par Jessica Prentice, qui, à l’occasion de la journée mondiale de l’environnement, propose aux résidents locaux d’essayer de manger seulement les aliments cultivés ou produits à l’intérieur d’un rayon de 160 kilomètres de leur lieu de vie. Que ce soit pour prendre soin de son corps, pour redécouvrir le « vrai » goût des produits, pour attiser la sympathie de son porte-monnaie ou pour limiter son impact carbone, le locavorisme séduit. Les circuits courts sur Internet | Alim'agri. Envie de manger plus frais, plus goûteux, de consommer local, de connaître l’origine des aliments et la façon dont ils sont produits, de se réapproprier son alimentation... Nombreuses sont les raisons qui poussent les consommateurs à chercher de nouvelles façons d’acheter, ainsi que les producteurs qui cherchent à valoriser leur production et à diversifier leurs circuits de vente afin de dégager des compléments.
Locavores, régions et terroirs font bel et bien partie du vocabulaire des consommateurs, le made in « près de chez soi » a décidément le vent en poupe. En effet, selon une étude du cabinet Xerfi, publiée mi-janvier, les produits alimentaires régionaux voire locaux ont un bel avenir devant eux. Ce phénomène s’expliquerait en grande partie par les exigences de traçabilité des consommateurs, la montée en puissance du « consommer local » ou encore la philosophie relative au maintien de l’emploi dans sa région d’origine. Les réseaux nationaux Ceux qu’on ne présente plus Les originaux.