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Supervision

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De l'intérêt de la supervision. Un billet consacré aujourd’hui à l’expérience de supervision de groupe que j’ai vécue la semaine dernière.

De l'intérêt de la supervision.

Cette pratique, que je considère nécessaire voire obligatoire dans les métiers de l’accompagnement où l’Être humain, les relations humaines et les rapports humains sont au centre de toutes les attentions, est une fabuleuse occasion de se poser, de poser voire de déposer doutes, interrogations et autres zones d’ombre relatives à notre métier de coach. Lorsque j’ai commencé à accompagner des clients en coaching, j’ai rapidement ressenti le besoin de partager avec des pairs ce que je vivais dans mes séances. Je me suis aperçu qu’un certain questionnement interne apparaissait une fois la séance finie et dont je n’avais pas forcément les réponses. C’est un grand classique de recherche de solutions inefficaces et purement subjectives lorsqu’elle est menée dans le même cadre que la problématique vécue ou perçue. Les coachs ne sont pas vaccinés contre le virus de “la tête dans le guidon” Les outils de la supervision. Les outils de la supervision / Florence LAMY, Michel MORAL Il nous semble important de raconter comment ce livre est né car son histoire explique nos convictions aussi bien que nos intentions.

Les outils de la supervision

Nous avons commencé à superviser en 2006 en nous appuyant sur quelques articles publiés ici et là et sur une recherche effectuée par deux étudiants de l’ESCP qui avaient pris ce sujet comme thème de leur mémoire de fin d’études. Un peu plus tard en 2009 l’EMCC a introduit l’idée de « Coaching Solidaire ». Les erreurs du coach. Cet article inaugure doucement la série « (Im)postures de coach » qui traitera de la quête de vérité que constitue un coaching.

Les erreurs du coach

Aujourd’hui, Sherlock Coach entre en scène et nous montre comment mener l’enquête en suivant les indices et en se méfiant des apparences. Une démarche essentielle pour accompagner son coaché vers son objectif : car pour que ce dernier passe à l’action, encore faut-il avoir identifié précisément ce qui le bloque, et lever ces freins un à un ! Certains coachs, dont je fais partie, voient le coaching comme un métier de doute. Contrairement au médecin le coach adopte une position basse : il ne sait pas, et si son coaché non plus, c’est du dialogue entre les deux que surgira le savoir.

Un frein peut en cacher un autre Un exemple parlera mieux qu’une longue théorie. Marc a créé sa société il y a 3 ans, mais l’affaire ne décolle pas. . « Je m’interdis de réussir », avoue-t-il à son coach lors du premier entretien. Erreurs de coach et fausses pistes 1. la projection. Faites-vous cette erreur fondamentale sur le coaching. Faites-vous cette erreur fondamentale sur le coaching ?

Faites-vous cette erreur fondamentale sur le coaching

Par Grégory Grand Posté 21 août , 2013 | 15 Commentaires Il y a quelques semaines, je dînais chez un couple d’amis et nous discutions coaching. Racontant mes projets et mes envies futures, l’homme passa un bon moment à exprimer son avis en me disant que le mieux pour moi serait de rester dans une certaine région du sud de la France, en prenant le temps de développer tel type de business mais sans aller trop rapidement, et en contactant telle et telle personne. Peu après, sa femme me dit : “et ben voilà, tu reviens quand tu veux pour te faire coacher » ! Ce qu’elle ne sait pas c’est que son mari, bien qu’il ait l’intention positive d’aider, a ce soir-là tout fait SAUF du coaching.

Livres

Reprendre son souffle de Gaëlle Coqueblin. Texte publié sur la newsletter du site du CSA (Coaching Supervvision Academy) Merci à Gaêlle, que certains connaissent chez Institut REPERE, pour ce texte initulé "Reprendre son souffle" et publié sur la newsletter du CSA.

Reprendre son souffle de Gaëlle Coqueblin

"En cette rentrée, j’ai pu observer que mes clients en supervision avaient un point commun : ils arrivaient sous pression. Cela m’a surpris car j’aurais pu imaginer qu’après quelques semaines de vacances, j’allais les retrouver vaillants, détendus, centrés. Ce n’était pas le cas, comme si le décalage était tellement grand entre l’énergie des vacances et celle de l’environnement de travail qu’ils retrouvaient qu’ils en perdaient le souffle ; ce souffle qui unit, ce souffle qui permet de nous connecter à chaque partie de nous-mêmes, notre corps, nos sensations, nos émotions, notre discernement.

Faire de la place au Presencing en Supervision peut se faire en prenant le temps de respirer, de reprendre son souffle à un moment particulier de la conversation avec un client.