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Philosophie

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Francisco Varela · Regards sur l'éveil. Un lien m'est apparu entre le thème du fond et de la forme qui nous occupe ici, et les théories de Francisco Varela sur l’épistémologie et l’éthique dont j’avais parlé ailleurs. Je vais essayer de résumer sa théorie. Pour lui, la connaissance n’est pas quelque chose d’abstrait qui serait extrait de l’expérience. La connaissance est présente dans l’expérience, et s’affine avec chaque nouvelle expérience, non pas de manière abstraite, mais parce que l’être connaissant se construit à travers la connaissance qu’il acquiert du système dans lequel il agit et sur lequel il agit. Dans ce sens, il n’est pas nécessaire que l’expérience soit une expérience cognitive au sens strict: toute expérience, y compris, par exemple, celle de la cellule immunitaire qui entre en contact avec un antigène, est acte de connaissance.

Varela a également développé le concept d’énaction. Varela a établi un lien entre sa théorie de la connaissance et le bouddhisme. Francisco Varela : " Le cerveau n'est pas un ordinateur " G. Sebbag, Potence avec paratonnerre - Surréalisme et philosophie. Francisco Varela. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Varela. Francisco Javier Varela (Santiago du Chili, – Paris, ) neurobiologiste et philosophe chilien. Biographie[modifier | modifier le code] Francisco Varela est l'auteur de nombreux ouvrages en biologie théorique et sciences cognitives ayant eu une influence théorique largement au-delà de ses domaines d'études initiaux.

Disciple et collaborateur de Humberto Maturana, Varela élabore avec lui une théorie de l'organisation biologique, identifiant la vie avec l'autopoïèse, c'est-à-dire pour simplifier un réseau de processus se régénérant lui-même récursivement. Varela prolonge ses réflexions sur l'autopoièse, en proposant une théorie originale de la cognition, cherchant à dépasser l'opposition du subjectivisme et objectivisme : la théorie de l'énaction ou cognition incarnée. Ses travaux ont influencé le domaine de recherche de l'intelligence artificielle et plus précisément de la vie artificielle. Autopoïèse. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

L'autopoïèse (du grec auto soi-même, et poièsis production, création) est la propriété d'un système de se produire lui-même, en permanence et en interaction avec son environnement, et ainsi de maintenir son organisation malgré le changement de composants (structure). Le concept d'autopoïèse est inventé par Humberto Maturana et Francisco Varela dans l'article Autopoietic Systems, présenté dans un séminaire de recherche de l'université de Santiago en 1972. Il vise notamment à définir l'être vivant, et depuis rencontre un succès théorique dans des domaines aussi divers que l'intelligence artificielle, les neurosciences, et la sociologie.

Définition[modifier | modifier le code] Francisco Varela propose la définition suivante de l'autopoïèse dans son livre Autonomie et connaissance : Autopoïèse et biologie théorique[modifier | modifier le code] Autopoïèse et intelligence artificielle[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] Mème. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour l'article concernant les phénomènes Internet, voir Mème Internet.

Un mème (de l'anglais meme ; calqué sur gène, sans rapport et à ne pas confondre avec le français même) est un élément culturel reconnaissable répliqué et transmis par l'imitation du comportement d'un individu par d'autres individus. L'Oxford English Dictionary définit le meme comme « un élément d'une culture (prise ici au sens de civilisation) pouvant être considéré comme transmis par des moyens non génétiques, en particulier par l'imitation »[1]. L'étude des mèmes a donné naissance à un nouveau discours : la mémétique. Définition[modifier | modifier le code] Mème et mémétique sont analogues à gène et génétique, appliqués aux éléments des cultures et non aux individus biologiques. On parle par exemple de « communication virale » (William Seward Burroughs) pour la diffusion de bouche-à-oreille d'information et de concepts.

Voir aussi[modifier | modifier le code] Judith Butler. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Butler. Judith Butler Philosophe américaine Philosophie contemporaine Conférence à l'université de Hambourg en avril 2007. Aperçu biographique[modifier | modifier le code] Théorie et réception[modifier | modifier le code] En 1990, la parution de Gender Trouble a marqué un tournant important, se vendant à plus de 100 000 exemplaires et dans plusieurs langues à travers le monde. En 2010, elle refuse le prix du courage lors de la Gay Pride de Berlin et dénonce un "nationalisme gay" issu de la lutte contre l'homophobie qui a dégénéré en action xénophobe et même raciste[5].

Critique[modifier | modifier le code] Sur la forme, Butler est célèbre dans certains milieux pour sa « prose impénétrable, jargonnante »[6], qui a également suscité certaines controverses[7]. Récompense[modifier | modifier le code] Elle remporte le Prix Adorno en 2012[10]. Arrêt sur certains de ses livres[modifier | modifier le code]