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Mythologie

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History/Myths/Religion. Arcadie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Géographie[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Antiquité[modifier | modifier le code] L'Arcadie était un pays de villages, qui n'a jamais eu un poids fort dans la politique grecque. Pendant longtemps l'Arcadie n'eut pas de gouvernement central : plus tard, Sparte ne pouvant plus s'y opposer, Megalopolis, capitale de toute l'Arcadie, fut bâtie (370 avant J. Ce pays fut d'abord gouverné par des rois, entre autres : C'est de cette région qu'est parti Évandre pour fonder une colonie en Italie, à proximité du mont Aventin. Une confédération arcadienne contre Sparte fut créée par Epaminondas au IVe siècle av. Elle suivit, après la prise de Corinthe en 146 avant J. Elle fut détachée de l'empire grec, avec la Morée, suite à la Quatrième croisade en 1204, et fut conquise en 1470 par les Ottomans, qui l'ont conservée jusqu'à l'insurrection de 1822, à la suite de laquelle elle fut intégrée dans le Royaume de Grèce.

Éphèse. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Topographie historique d'Éphèse. Situation géographique[modifier | modifier le code] Ensablement de l'embouchure du Caystre et déplacement progressif du port d'Éphèse depuis l'Antiquité jusqu'à l'époque ottomane. En bleu les ports (y compris ceux qui ne sont plus en activité), en rouge et gris l'espace urbanisé (zones) et l'enceinte (trait) occupés ou abandonnés respectivement. La ville d’Éphèse est très marquée par ce relief à la fois contraignant et imposant avec des environs très accidentés, qui s'ordonnent autour de trois collines : la principale est le mont Panayır Dağ, l'antique Peion, encore appelé Cheiletôn par les Byzantins[2], et qui figure sur certains types monétaires éphésiens, une colline massive dominée par trois sommets dont l'altitude varie entre 105 et 155 mètres.

La région d’Éphèse bénéficie d’un climat agréable, de type méditerranéen, qui, conjugué aux opportunités offertes par le relief, présente de nombreux avantages. Artémis. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Elle est la fille de Zeus et de Léto et la sœur jumelle d'Apollon (ou simplement sa sœur, selon l'hymne homérique qui lui est consacré), avec lequel elle partage beaucoup de traits communs. Divinité des frontières[modifier | modifier le code] Née sur l'île d'Ortygie (« l'Île aux cailles »), appelée plus tardivement Délos, Artémis fait du pays des Hyperboréens sa résidence principale[1] où elle règne en maîtresse de la nature sauvage et des animaux. « Que toutes les montagnes soient les miennes » déclare-t-elle dans l'hymne de Callimaque de Cyrène. Elle erre aussi dans les agroi, les terres en friches, incultes et peu fréquentées.

Comme le souligne Jean-Pierre Vernant, elle « a sa place en bordure de mer, dans les zones côtières où entre terre et eau les limites sont indécises[2] ». Selon une légende, Artémis est née un peu avant Apollon et elle aurait aidé Léto, sa mère, à accoucher, remplaçant ainsi Ilithyie, déesse de l'accouchement. Hermès. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la mythologie grecque, Hermès (Ἑρμῆς / Hermễs en grec, Ἑρμᾶς / Hermãs en dorien) est une des divinités de l'Olympe. Il est le messager des dieux, donneur de la chance, l'inventeur des poids et des mesures, le gardien des routes et des carrefours, des voyageurs et du commerce. Il guide les héros et conduit leurs âmes aux Enfers. Il est également le maître des voleurs. Hermès dans l'Antiquité[modifier | modifier le code] Mythe antique[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Poursuivant son premier dessein, il gagne le soir même la Piérie où paissent les troupeaux divins[9].

Quand Apollon découvre son voleur, Hermès commence par prétendre être un nouveau-né sans malice, proposant même de jurer de son innocence sur la tête de Zeus[14]. Amours et descendance[modifier | modifier le code] Parmi ses autres enfants, on compte notamment : Fonctions[modifier | modifier le code] Les trois Hermès[modifier | modifier le code] Pan. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Origine[modifier | modifier le code] Pan serait l'un des rares noms divins attribuables à la période commune des Indo-Européens. Avant de devenir le « dieu des Pâtres », Pan est un dieu-lune, dont la spécialisation ultérieure serait peut-être due à ses cornes, qui sont initialement un croissant de lune[3][réf. à confirmer]. Ascendance et apparence[modifier | modifier le code] L’Hymne homérique qui lui est consacré[4] le nomme fils d'Hermès et d'une « fille de Dryops », qui n'est pas nommée.

L'apparence de Pan aussi est sujette à caution : dans l’Hymne homérique[4], il porte barbe, cornes et pieds de chèvre, mais dans l'art figuré, il est parfois représenté sous les traits d'un jeune homme avec une tête et une courte queue de chèvre[13]. Récits[modifier | modifier le code] C'est Pan qui fournit les chiens de la meute d'Artémis.

Le dieu Pan rendrait fou celui ou celle qui le verrait. Amours[modifier | modifier le code] La Mètis et l’hybris (ou hubris ou ubris) - Ithaque - Botho Strauss - mise en scène Jean-Louis Martinelli. La mètis désigne en grec, non pas l’intelligence, mais une forme particulière d’intelligence et de pensée, fondée sur la ruse, l’astuce, le stratagème, mais aussi la dissimulation, la tromperie voire même le mensonge. La mètis, rappelle Jean-Pierre Vernant, s’épanouit dans la pensée grecque archaïque qui ne fait pas de distinction entre l’être et le paraître, entre le monde des Idées et le monde sensible. Elle s’applique donc à des réalités mouvantes, instables et ambiguës, qui ne se prêtent ni au raisonnement rigoureux, ni à la mesure précise, ni à la mise en système. Elle renvoie aussi bien au savoir-faire de l’artisan, qu’à l’adresse du navigateur évitant les écueils, ou à l’habileté du sophiste.

La mètis est le moyen qu’utilise le plus faible pour triompher, sur le terrain même de la lutte, de celui qui est théoriquement le plus fort. Mètis, c’est aussi le nom d’une déesse, première épouse de Zeus et future mère d’Athéna, tel que le raconte Hésiode, dans sa Théogonie. Hybris. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Mythologie[modifier | modifier le code] Dans la mythologie grecque, Hybris est une divinité allégorique personnifiant l’hybris. Eschyle lui attribue pour mère Dyssebia (l'Impiété)[2] tandis qu'Hygin la range parmi les enfants de la Nuit et de l'Érèbe[3]. Certains manuscrits de la Bibliothèque du pseudo-Apollodore font état de son commerce amoureux avec Zeus, qu'elle aurait rendu père du dieu Pan, mais le nom d'Hybris provient peut-être d'une mauvaise lecture de celui de la nymphe arcadienne Thymbris. La notion d'hybris[modifier | modifier le code] La déesse Némésis tenant la roue de la fortune, statue en marbre du IIe siècle, Villa Getty.

La religion grecque antique ignore la notion de péché tel que le conçoit le christianisme. Le châtiment de l’hybris est la némésis, le châtiment des dieux qui fait se rétracter l'individu à l'intérieur des limites qu'il a franchies. Littérature et morale[modifier | modifier le code] « V. Baucis and Philemon. Jupiter and Mercury in the house of Philemon and Baucis, Adam Elsheimer, c1608, Dresden.

Story[edit] Zeus and Hermes came disguised as ordinary peasants, and began asking the people of the town for a place to sleep that night. They were rejected by all before they came to Baucis and Philemon's simple rustic cottage. Though the couple were poor, their generosity far surpassed that of their rich neighbours, at whose homes the gods found "all the doors bolted and no word of kindness given, so wicked were the people of that land. " After serving the two guests food and wine (which Ovid depicts with pleasure in the details), Baucis noticed that, although she had refilled her guest's beechwood cups many times, the pitcher was still full.

Realising that her guests were gods, she and her husband "raised their hands in supplication and implored indulgence for their simple home and fare. " Other versions[edit] In later texts[edit] See also[edit] Darby and Joan References and sources[edit] References.