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Santé publique

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Infographie - Décès dans le monde. La mortalité infantile a diminué de 30 % entre 1990 et 2010 (AFP PHOTO/Jose CABEZAS) Comment meurt-on aujourd'hui ?

Infographie - Décès dans le monde

C'est la question que s'est posée l'Institut britannique d’évaluation et de mesure de la santé (Institute for Health Metrics and Evaluation). Répertoriant des données de 1990 et de 2010, l'Institut a établi deux infographies très précises, publiées par The Guardian, détaillant les causes de la mort des hommes et des femmes selon leur zone géographique et leur âge. Première tendance : que l'on soit africain ou européen, on meurt de plus en plus de maladies cardiaques. Si certaines régions sont plus marquées par une cause de mort en particulier (le cas du sida en Afrique subsaharienne ou la violence "entre personnes" en Amérique latine), ce sont les maladies cardio-vasculaires qui se détachent comme première cause de mortalité mondiale. Autres tendances : – la baisse drastique de la mortalité prématurée, qui passe de 12 millions de morts en 1990 à 8 millions en 2010 ;

Competences Essentielles en Sante Public au Canada, Version 1.0. FNORS : Fédération nationale des observatoires de santé.

Pollution

Santé au travail. Liens vers sites et bases de données en santé publique. Santé publique - Dossiers d'information. Statistiques sanitaires mondiales 2012. Derniers numéros et archives / BEH - Bulletin épidémiologique hebdomadaire / Publications et outils. La douleur - Véritable enjeu de santé publique, la douleur motive près de deux tiers des consultations médicales. Dossier réalisé en collaboration avec Michel Pohl équipe "Douleurs" Inserm UMRS 975, Cricm, Université Pierre et Marie Curie Selon la définition officielle de l’Association internationale pour l’étude de la douleur (IASP), "la douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle ou décrite dans ces termes".

La douleur - Véritable enjeu de santé publique, la douleur motive près de deux tiers des consultations médicales.

Elle est donc subjective et repose avant tout sur le ressenti du patient, ce qui la rend difficile à quantifier et à qualifier. D’autant plus que la douleur n’est pas liée systématiquement à une lésion, une caractéristique qui rend son étude complexe. De la main au cerveau Il est néanmoins possible de décrire le parcours de l’information douloureuse dans l’organisme, avec l’exemple de la douleur aiguë provoquée par une main posée par inadvertance sur une plaque brûlante. . © Fotolia Une fois arrivé au cerveau, le signal est identifié en "douleur". Douleur inflammatoire, neuropathique ou cancéreuse ? Soulager la douleur. Le sommeil et ses troubles. Dossier réalisé en collaboration avec Pierre-Hervé Luppi (Unité Inserm 1028 ) et Isabelle Arnulf (Unité Inserm 975 /Unité des pathologies du sommeil à l'hôpital de la Pitié Salpêtrière) - Novembre 2011.

Le sommeil et ses troubles

Qu’est-ce que le sommeil ? Le sommeil s’oppose à l’éveil. Il fait intervenir différents mécanismes cérébraux qui régulent le rythme jour / nuit, la durée quotidienne de sommeil et sa qualité. Il existe plusieurs stades qui se caractérisent chacun par un niveau d’activité cérébrale et musculaire. Les différents stades du sommeil La structure du sommeil est connue depuis une cinquantaine d'années.

. © Inserm Activations des zones du cerveau (en rouge et jaune) lors des différentes phases de sommeil, observées par électroencéphalogramme (EEG) L’alternance jour / nuit Dormir la nuit et veiller le jour est possible grâce à une horloge biologique interne modulée par des facteurs environnementaux. L’activité sociale sert également de synchroniseur des phases sommeil / réveil via d’autres mécanismes. Les interruptions volontaires de grossesse en 2010.

225 000 interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été réalisées en France en 2010, dont 212 000 en métropole.

Les interruptions volontaires de grossesse en 2010

Après une dizaine d’années de hausse, leur nombre est pratiquement stable depuis 2006. Le taux de recours à l’IVG est de 14,7 IVG en métropole pour 1 000 femmes âgées de 15 à 49 ans. Il demeure le plus élevé parmi les femmes de 20 à 24 ans. Le nombre de femmes mineures ou de moins de 20 ans concernées par une IVG est stable depuis quelques années. L'état de santé de la population en France 2011. Actualité et dossier en santé publique. Référentiel national des Ateliers Santé Ville (ASV)