GPA

[Podcast] - Une histoire de GPA avec Marc-Olivier Fogiel. C’est l’histoire d’un journaliste privilégié, surdoué précoce de la radio et de la télévision, qui pratique le métier rêvé pendant son adolescence complexée.

L’histoire d’un homme devenu puissant et sans enfant qui se demande ce qu’il resterait de sa vie une fois tuent les trompettes de la renommée, et assouvie la vanité de la célébrité. Le rêve de fonder une famille était devenue au milieu de son existence une obsession, un abcès de fixation… Un projet dont il faut souvent faire le deuil quand deux hommes vivent en couple, comme c’est le cas de notre invité. Et puis, il y a quelques années, Marc-Olivier Fogiel, a accouché de son projet de vie : élever deux filles, avec son compagnon, grâce à la gestation pour autrui pratiquée légalement aux Etats-Unis.

[Vidéo] Marc-Olivier Fogiel : "Les enfants issus d'une GPA doivent être reconnus et protégés comme les autres" Avec son mari François, Marc-Olivier Fogiel est devenu père de deux petites filles, Mila et Lilly, nées d'une GPA éthique aux États-Unis.

Dans son livre "Qu'est-ce qu'elle a ma famille ? " (éditions Grasset), le journaliste et animateur raconte son parcours et s'engage très clairement en faveur de la gestation pour autrui (GPA), alors que le Comité Consultatif National d'Ethique (CCNE) a rendu un avis défavorable sur cette pratique encore illégale en France. Les obstacles, les inquiétudes, les joies... Marc-Olivier Fogiel évoque sans détour son désir de paternité, leur décision avec son mari de recourir à une mère porteuse, les liens qui les unissent et son espoir de voir un jour la GPA enfin autorisée en France.

Loin de vouloir faire la "promotion de la GPA", l'auteur propose des faits, loin des fantasmes, et souhaite que ce livre permette à chacun de se faire une opinion en connaissance de cause. Fiorella est née par GPA, elle raconte. GPA : "Je n'ai pas l'impression de prêter mon corps, ni de le vendre", témoigne Ambre, mère porteuse. Alors que la Cour de cassation rend ses décisions dans six affaires distinctes ayant toutes trait à la filiation des enfants nés de GPA à l'étranger, franceinfo a recueilli le témoignage rare d'Ambre, 29 ans, une mère porteuse.

La Cour de cassation doit dire, ce mercredi, si les deux personnes élevant un enfant né à l'étranger d'une gestion pour autrui (GPA) peuvent être légalement reconnues comme ses parents. Puisque la GPA est interdite en France, les parents font appel à des mères porteuses qui proposent leurs services dans l'illégalité. Franceinfo a recueilli le témoignage rare de l'une d'entre elles. Elle se fait appeler Ambre et a 29 ans. En octobre dernier, elle poste un simple message sur un forum spécialisé, intitulé "Mère porteuse avec une adresse mail". « Personne n'a été exploité » : témoignages de parents ayant eu recours à la GPA. Témoignage GPA : "Sans une mère porteuse, nous n'aurions pas pu devenir parents" Je n'ai que 17 ans quand j'apprends brutalement que je suis atteinte d'une malformation congénitale, le syndrome MRKH.

En clair, c'est l'absence d'utérus (ou développé a minima) et parfois de vagin. Mes ovaires fonctionnent même s'ils ne sont pas rattachés aux trompes. Il me sera impossible de porter un bébé. Le ciel me tombe sur la tête, moi qui ai toujours rêvé d'en avoir. Porter cette douleur à l'âge où on devient femme est difficile. Je rencontre Arnaud en 2006. L'étude des profils des mères porteuses Nous tentons notre chance au Canada. Quatrième profil, Anne-Marie. La signature du contrat pour la GPA Nous apprenons à nous connaître par webcam et mails interposés. L'étape avocat est indispensable, un contrat est signé. L'annonce de la grossesse La 2e FIV est programmée fin avril 2010.

Dans l'attente du jour J, je suis une future maman presque comme les autres. La naissance est prévue le 31 janvier 2011, notre avion s'envole le 3. Un deuxième bébé ? Un autre bébé ? [Vidéo] Témoignage: Sarah, mère de deux enfants nés par GPA. Une mère porteuse raconte comment elle a porté les enfants de deux couples de Français. Avec la newsletter quotidienne du HuffPost, recevez par email les infos les plus importantes et les meilleurs articles du jour.

En savoir plus Tout a commencé par le coup de fil d'une amie d'enfance, courant 2007. "Elle avait des problèmes de fertilité et nous avons évoqué toutes les possibilités qui s'offraient à elle. Par miracle, elle a réussi à tomber enceinte mais j'ai continué à m'intéresser à ce que je pouvais faire pour aider ceux qui veulent un enfant et ne peuvent en avoir", se souvient Sandrine. Au téléphone, depuis les Etats-Unis où elle habite depuis 1998, cette Française de 43 ans raconte comment elle a fini par franchir le pas et devenir une mère-porteuse. Comprendre la GPA et la PMA en trois minutes.