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Denis_ah

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Le marché du véhicule d’occasion s’offre un sursaut en juin 2023. Après une longue série de mois en repli, le marché des voitures d’occasion a stoppé l’hémorragie en France en juin. 468 262 transactions ont été recensées par les experts de AAA Data, soit une progression de 3,4 %. Au cours du premier semestre 2023, le marché du VO a enregistré une baisse de 4,4 % par rapport à la même période de référence 2022, pour 2,6 millions d’unités. Alors que le marché français des voitures particulières neuves a enregistré une nouvelle hausse à deux chiffes en juin 2023, + 11,5 % à 190 848 immatriculations, le marché des véhicules d’occasion a connu un léger rebond après des mois de repli. Les experts de AAA Data indiquent que 468 262 transactions de VO ont été enregistrées (+ 3,4 %). « Le marché a été porté par le segment des VO de 10 ans et plus (+ 5,6 %) et celui des VO de 5 à 10 ans (+ 5,8 %).

Les VO récents, de moins de 5 ans, restent en négatif en juin (- 1,3 %) », précisent-ils. Les VO anciens et diesel gardent leur attractivité. Le marché du véhicule d'occasion plonge en mai 2023. En mai, le marché du véhicule d’occasion a connu une chute de 8,3 %, avec 416 874 immatriculations contre 454 757 à la même période l'année précédente. Par rapport à 2019, le marché du VO accuse un repli de 13,6 %. En revanche, le marché du véhicule neuf a enregistré une progression de 14,8 % par rapport à mai 2022, avec 145 538 unités écoulées, mais il affiche une baisse de 25 % par rapport à la période pré-Covid. Le rapport VO/VN remonte ainsi à une valeur de 3,2.

En mai 2023, les marques françaises continuent de perdre du terrain, avec une baisse de 2,4 % par rapport à la moyenne du marché d'occasion. Plus précisément, Renault perd 2,5 % en part de marché, Peugeot recule de 0,2 % et Citroën de 5,7 %. Parallèlement, comme le mois précédent, les marques allemandes premium se maintiennent au-dessus de la moyenne du marché, avec une hausse de 2,1 % pour BMW, 4 % pour Audi et 4,2 % pour Mercedes, toujours en parts de marché. 2023 : bonne année pour vendre ou acheter une voiture d'occasion ? Après la crise liée à la pandémie de Covid-19, le marché de l’automobile a connu de vrais remous avec une offre et une demande totalement modifiées ainsi qu’avec la pénurie de certains composants contenus dans nos véhicules comme ça a été le cas aux États-Unis.

Il n’est donc pas toujours simple de se demander si le moment pour acheter ou vendre une voiture est opportun. Soumis à de nombreux changements, l’industrie automobile a elle aussi, dû s’adapter à diverses nouveautés. Et si l’on souhaite acquérir un prêt immobilier, on sait rapidement si les taux sont ou non, intéressants. Dans le milieu automobile, tout n’est pas aussi simple et c’est bel et bien là, le nœud du problème. Ces derniers mois, vendre une voiture était bien plus intéressant que d’en acheter une, notamment à cause d’une demande très élevée. À l’inverse du marché du neuf Depuis le commencement de l’année 2023, le marché automobile du neuf a connu un vrai retour au premier plan. Marché du véhicule d’occasion : tout le monde veut sa part du gâteau.

L’une des principales raisons qui motivent l’achat d’un VO est la diversité des modèles disponibles et leur prix. Une étude récente d’Harris Interactive pour Heycar, plateforme d’achat/vente de VO, montre que le marché de l’occasion devrait connaître un nouvel essor en France, et le marché après-vente avec lui. Pour 81 % des sondés, l’acquisition d’une occasion permet de faire des économies, et pour 64 % d’être responsable envers l’environnement. En ce qui concerne l’expérience client, l’enquête révèle que pour l’achat, les Français préfèrent les garages physiques (appartenant aux grands constructeurs ou les garages généralistes), aux plateformes de mise en relation entre particuliers. Une bonne nouvelle pour les constructeurs qui ont remis le véhicule d’occasion au centre de leurs priorités. Le VO a le vent en poupe chez les particuliers comme chez les professionnels Cependant une crise entraînant une autre… Une tendance de fond et mondiale assombrit le tableau.

Prix, services, naturalité... Le petfood s'adapte aux nouvelles attentes. Fermer et accepter LSA respecte votre vie privée​ Le contenu de notre site est le résultat du travail de toute notre équipe de journalistes qui vous apportent chaque jour une information qualitative, vérifiée et la plus exhaustive possible. Ce travail est réalisable grâce aux revenus publicitaires et d’abonnement. C’est pourquoi nous vous invitons à vous abonner ou à naviguer en acceptant les cookies.​​ Abonnez-vous et accédez à l’intégralité des contenus du site Si vous choisissez de bénéficier de l'offre payante, vous pourrez, si vous le souhaitez, naviguer sur notre site sans qu'aucun cookie personnalisé ne soit déposé. Lire la suite Découvrir notre offre d’abonnement​ Déjà abonné ? Consultez le site et bénéficiez d’une expérience utilisateur optimisée, grâce à un meilleur ciblage de la publicité et une personnalisation des contenus rédactionnels​ ​ Petfood : les tendances 2022 de l'animalerie en ligne.

Tendances en petfood : miroir des attentes en alimentation humaine. Le marché du petfood en pleine tourmente. Un Manifeste publié par le collectif de professionnels de la nutrition du chien et du chat et soutenu par la FACCO, dénonce des dérives de communication dans le petfood. Un foyer sur deux possède au moins un animal de compagnie ! En pleine croissance depuis une dizaine d’années, le marché du petfood est aussi au cœur d’une polémique concernant la qualité et le contenu de la nutrition des animaux de compagnie. En effet, un Manifeste publié par le collectif de professionnels de la nutrition du chien et du chat dénonce des dérives de communication dans le petfood. Ce Manifeste est soutenu par la FACCO (Fédération des fabricants d’aliments pour chiens, chats, oiseaux et autres animaux familiers), membre de la FEDIAF – Fédération Européenne des Industries d’Aliments pour animaux Familiers.

En ligne de mire les startups du petfood Des « arguments mensongers« 147 millions d’euros investis dans la recherche. LA CROQUETTERIE - Un marché porteur. Etude FACCO 2014 (Chambre Syndicale des Fabricants d’Aliments Préparés pour Chiens, Chats, Oiseaux et autres Animaux de Familiers.) Des animaux familiers présents dans un peu moins d’un foyer français sur deux. Le chat poursuit sa progression au sein des foyers français La nouvelle enquête FACCO/TNS SOFRES conduite à l’automne 2014 confirme la progression du chat dans les foyers français. En deux ans, la population féline a augmenté de plus de 11% passant de 11,4 à 12,7 millions. Simultanément le nombre de chiens a diminué de 2% dans l’hexagone. Malgré cette baisse de la population canine, l’amour des français pour les animaux ne se dément pas.

Avec 12,7 millions de chats, 7,3 millions de chiens, 5,8 millions d’oiseaux, 34,2 millions de poissons et 2,8 millions de petits mammifères, le nombre total d’animaux familiers reste stable par rapport à 2012. L’espérance de vie du chat continue de s’allonger.