background preloader

Commission Charbonneau

Facebook Twitter

Saga du CUSM : « La plus grande fraude de corruption de l’histoire du Canada » | La commission Charbonneau. Le reportage de Caroline Belley Le sergent-enquêteur Jean-Frédérick Gagnon a expliqué le stratagème par lequel l'ex-PDG de SNC-Lavalin Pierre Duhaime et le président de sa division construction Riadh Ben Aïssa ont versé 22,5 millions $ en pots-de-vin à deux hauts responsables du CUSM afin de rafler le contrat de 1,34 milliard $ pour la construction en PPP du nouvel hôpital universitaire anglophone. Un texte de Bernard Leduc et François Messier Relire notre blogue en direct « C'est la plus grande fraude de corruption de l'histoire du Canada. » — Le sergent-enquêteur Jean-Frédérick Gagnon Dans le cadre de l'opération Lauréat, l'escouade Marteau a pu établir que l'ancien directeur général du CUSM, Arthur Porter, et son bras droit Yanaï Elbaz, ont chacun reçu 11,25 millions en 2010 par l'entremise d'une compagnie coquille des Bahamas, Sierra Assets Management, pour avoir aidé le consortium SNC-GISM à obtenir le contrat.

Le témoignage de M. La signature de M. Entre-temps, M. MM. Corruption: mandat d'arrêt contre une sommité internationale des PPP | Vincent Larouche | Affaires criminelles. St-Clair Martin Armitage, qui avait été recruté à grands frais par l'ancien patron du CUSM, Arthur Porter, est recherché en lien avec des accusations de complot pour fraude, fraude et abus de confiance dans le cadre du processus d'octroi du contrat de construction du CUSM à SNC-Lavalin. La théorie de la poursuite dans cette affaire est que des dirigeants de SNC-Lavalin ont arrangé le versement de 22,5 millions de dollars en pots-de-vin afin de faciliter l'obtention du gigantesque contrat public par leur firme. Le suspect de 56 ans se trouvant à l'étranger, l'UPAC a fait appel à INTERPOL, le regroupement mondial des services de police alliés, qui a publié un avis de recherche à son sujet.

Arthur Porter est toujours détenu au Panama, où il conteste la demande d'extradition du Canada à son endroit. La fripouille est un symptôme, pas une cause | Patrick Lagacé | Patrick Lagacé. Il y a deux ans, Enquête avait exposé les dessous de l'attribution d'une subvention de 11 millions pour une usine de traitement des eaux à Boisbriand par le ministère des Affaires municipales. On alléguait déjà, à l'époque, que la firme de génie Roche avait tout arrangé avec le gars des vues. L'appel d'offres de la Ville de Boisbriand pour les travaux. Les cocktails de financement pour Nathalie Normandeau, ministre des Affaires municipales. La subvention de 11 millions qui, après plusieurs refus des fonctionnaires, est finalement attribuée.

Et là, l'UPAC débarque avec des noms, avec des faits, avec des citations. Et c'est laid. Si ce que les flics avancent est vrai, la firme de génie Roche a été récompensée pour avoir pompé de l'argent dans les coffres du Parti libéral du Québec. L'argent des taxes comme levier servant à verser de l'argent dans la caisse d'un parti politique. Classique, mais là, on a des faits, on a des citations. La justice décidera s'il y a lieu de porter des accusations. Enquêtes de l'UPAC: les moissons de l'indolence libérale.

Photo: Jacques Boissinot/La presse canadienne Les ministres libéraux étaient à l’abri des pressions malgré les exigences du PLQ, qui les forçait à amasser des dons de 100 000 $ par année. Et les généreux donateurs devaient faire une croix sur les retours d’ascenseur puisque les règles d’octroi des contrats étaient respectées à la lettre… En décembre 2009, lors d’une mission en Russie, le premier ministre Jean Charest avait dû se défendre des allégations de financement illégal au PLQ. Le financement sectoriel par les firmes de génie conseil et les entrepreneurs était déjà sur le radar des journalistes. En obligeant ses ministres à ramener 100 000 $ par année dans les coffres du parti, M. C’est un peu l’indolence, l’entêtement et l’aveuglement de Jean Charest qui donne aujourd’hui autant de travail à l’Unité permanente anticorruption (UPAC). Pour ce politicien entêté, il n’était pas question de revoir les règles de financement de son parti. C’était en 2009. Par la voie de ses avocats, M.

Jocelyn Dupuis et son train de vie. Demain, c’est promis. Je me la coule douce pour la pause du midi. Assez les économies de bouts de chandelles, les demi-sandwichs et l’infect café filtre. Je m’offre un traitement royal. Un traitement à la Jocelyn Dupuis avec une entrecôte juteuse, une bouteille de Château-quelque-chose dans les trois chiffres et même un café brésilien… ou deux.

J’ai compris une grande leçon de vie au procès pour fraude et fabrication de faux de l’ex-directeur général de la FTQ-Construction (FTQ-C), qui a commencé mardi au Palais de justice de Montréal. Selon la poursuite, Jocelyn Dupuis a obtenu des remboursements de dépenses de 225 000 dollars de la FTQ-C, pour une courte période de 43 semaines en 2007 et 2008.

Des repas qui avaient coûté 42 dollars dans d’obscurs restaurants en bordure de la métropolitaine devenaient des festins de 442 dollars par la magie d’un coup de crayon. Lors de son témoignage à la commission Charbonneau, M. M. À propos de Brian Myles. Le marché de l'éclairage public détenu par une poignée de joueurs | La commission Charbonneau. La commission Charbonneau en direct EN DIRECT - Le marché de l'éclairage public est détenu par une poignée de fabricants et d'entrepreneurs qui entretiennent entre eux « des relations privilégiées », aux dépens des petits joueurs, a expliqué l'enquêteuse de la commission Jeanette Gauthier, confirmant ainsi le constat fait par Jacques Duchesneau, alors qu'il dirigeait l'UAC. Notre blogue en direct Un texte de Bernard Leduc et François Messier Ces relations privilégiées remontent souvent à plusieurs décennies et se caractérisent surtout des escomptes qu'octroient des fabricants à des entrepreneurs qui, ainsi privilégiés en vue des appels d'offres, peuvent augmenter leurs parts de marché, devenant du coup de plus gros clients.

Ainsi, afin de contrôler le marché, certains fabricants offrent des escomptes entre 30 % et 70 % sur leurs produits à certains entrepreneurs, un avantage certain pour une entreprise puisque les matériaux constituent entre 50 % et 90 $ du prix de la soumission. Le cabinet de Normandeau au coeur d'une conspiration criminelle selon l'UPAC | Vincent Larouche | Politique québécoise. C'est ce qui ressort des déclarations assermentées d'enquêteurs de l'Escouade Marteau, le bras armé de l'UPAC, rédigées pour obtenir des mandats de perquisition à la permanence du PLQ en juillet 2013. Elles étaient jusqu'ici frappées d'un interdit de publication, mais un juge vient d'autoriser leur dévoilement à la suite de démarches initiées par plusieurs médias, dont La Presse. Elles ne contiennent que des allégations, qui n'ont pas été testées en cour. Personne n'est accusé dans ce dossier pour l'instant. >> À lire: le PQ exige des explications Les documents révèlent que beaucoup de gens sont passés à table.

Deux enquêtes Dans le cadre d'une enquête baptisée Lierre, les enquêteurs se concentrent surtout sur l'octroi d'une subvention de 11 M$ par le ministère des Affaires municipales, des Régions et de l'Occupation du territoire (MAMROT) à la municipalité de Boisbriand, afin que Roche et Infrabec y construisent une nouvelle usine de traitement des eaux. Révélations. «Rambo» voulait être un «incontournable» sur la Côte-Nord | Daphné Cameron | Commission Charbonneau. Confiant et volubile, Bernard «Rambo» Gauthier a entamé son témoignage avec aplomb à la commission Charbonneau aujourd'hui. Le représentant syndical a été questionné sur ses méthodes musclées, qui consistaient notamment à envoyer des groupes de travailleurs interrompre des chantiers lorsqu'il éprouvait un désaccord avec un employeur.

Les doléances de «Rambo» allaient du ratio trop faible de travailleurs locaux sur un projet au simple congédiement d'un employé membre de son syndicat. «On structure (les comités de chômeurs) pour ne pas que ça dégénère en malade comme ça dégénérait à l'époque. Je ne veux pas voir personne arriver avec une douze à côté d'une pelle, je ne veux plus vivre ça», s'est-il justifié devant la commission. «Vous ne voulez pas que ça dégénère trop, mais que ça dégénère juste un peu pour faire passer votre message», lui a alors demandé le commissaire Renaud Lachance. «Vous savez que ça peut fort bien dégénérer», a rétorqué la juge France Charbonneau. Magouilles, abus et menaces sur les chantiers du Québec | La commission Charbonneau. Le compte rendu de Catherine Kovacs Grutiers payés à ne rien faire pendant deux ans, paix syndicale achetée à coups de dizaines de milliers de dollars en liquide, entrepreneurs et travailleurs intimidés par le syndicaliste Bernard « Rambo » Gauthier sur la Côte-Nord, ça joue dur sur les chantiers du Québec.

Un texte de Bernard Leduc Relire notre blogue en direct Les enquêteurs de la commission Charbonneau ont rencontré, depuis un an, quelque 70 personnes sur des chantiers, notamment au Saguenay, en Abitibi et sur la Côte-Nord, qui avaient beaucoup à dire sur des problèmes vécus de discrimination, d'intimidation et d'extorsion. Si certains viendront sous peu à la barre, il seront au final peu nombreux à le faire : la commission a pris au sérieux leurs craintes de représailles et a plutôt décidé de confier à l'enquêteur Michel Comeau la responsabilité de rapporter les propos de la plupart d'entre eux. Lorsque les syndicats en mènent large... Le coût de la paix syndicale M.

Selon ce témoin, M. Rizzuto's construction links traced to '60s Montreal. Nicolo Rizzuto's involvement in Montreal's construction industry can be linked back to the 1960s. Photograph by: Marcos Townsend , The Gazette Before he reached the top of the Mafia in Canada, Nicolo Rizzuto owned a construction company that won municipal contracts in Montreal. The late patriarch of one of the world’s most powerful Mafia clans was a municipal contractor 50 years before the authorities decided to investigate whether organized crime had a hold on the construction industry and public contracts in the province, The Gazette has discovered through an examination of municipal archives, and business and real-estate records from half a century ago.

Rizzuto’s resumé included in his company’s bidding documents at the time claims he even participated in the construction of Montreal’s cherished Expo 67, the Universal and International Exposition of 1967 that put the city on the world map. Manno and Rizzuto also registered D.M. A housing construction firm, C.R.I.S. Un lobbyiste engagé pour remettre un chèque à Jean Charest ? | Pierre-André Normandin, Paul Journet | Commission Charbonneau.

La commission Charbonneau a levé partiellement l'interdit de publication imposée l'automne dernier sur deux témoignages. Lors de son passage devant l'enquête publique, l'entrepreneur Louis-Pierre Lafortune a été longuement questionné sur des conversations interceptées en novembre 2008 par la Sûreté du Québec dans lesquelles il était question de démarches auprès de Jean Charest. Dans les enregistrements, Louis-Pierre Lafortune discutait avec Dave Gagnon, président du fabricant d'éoliennes AAER, dans lequel il a investi 200 000$. L'entrepreneur lui vantait le travail effectué pour ses entreprises par un lobbyiste dont l'identité ne peut être révélée, celle-ci étant toujours frappée d'un interdit de publication. «Je lui ai donné un beau chèque pour monsieur Charest», entend-t-on Dave Gagnon déclarer.

Dans une autre conversation survenue une semaine plus tard, le président d'AAER précise que le lobbyiste a remis «une enveloppe à Jean Charest». Jean Charest devrait s'expliquer publiquement? L'album des voyages de Lavallée et Accurso présenté à la CEIC | Daphné Cameron | Commission Charbonneau. C'est un véritable album de voyage qui a été montré aujourd'hui à la commission Charbonneau, où Lavallée poursuit son témoignage. Le procureur Cainnech Lussiaà-Berdou a indiqué que la commission avait environ 110 photos en sa possession.

Certains portraits ont été croqués aux Bahamas, d'autres aux Barbardes, à Hawaï ou à Walt Disney. Robert Abdallah, cadre chez Hydro-Québec jusqu'en 2003 puis DG de la Ville de Montréal apparaît sur plusieurs clichés. L'ancien directeur général de la FTQ-Construction, Jocelyn Dupuis, et son prédécesseur Yves Paré aussi. Les dirigeants syndicaux Louis Bolduc, Eddy Brandone et Rénald Grondin ont participé à certains voyages. Tout comme le maire déchu de Mascouche, Richard Marcotte et l'entrepreneur Normand Trudel. Tony Accurso, décrit comme un «frère» par Lavallée, défrayait presque tout le temps la note. Jean Lavallée avait beaucoup de mal à identifier les dates et lieux des voyages. Accurso a-t-il eu un retour d'ascenseur? Tapis rouge à la SOLIM pour un sympathisant Hells | La commission Charbonneau. Les explications d'Isabelle Richer Personne à la SOLIM n'a jamais eu de malaise à faire affaire avec Ronnie Beaulieu dont le passé criminel était pourtant connu, du moins jusqu'à ce que les médias braquent leurs projecteurs sur le Fonds en 2009.

La SOLIM, qui l'aide d'abord pour un centre commercial à Port-Cartier, sera par la suite très accommodante avec lui dans le dossier Pascal avant de l'aider à acheter un bar de danseuses nues. Un texte de Bernard Leduc Relire notre blogue en direct Le témoignage de l'ex-PDG de la SOLIM, Guy Gionet, a permis d'en savoir davantage sur ces trois dossiers déjà abordés par la commission Charbonneau l'automne dernier. Le dossier Pascal a même fait l'objet, par le passé, d'un reportage d'Enquête. L'unanimité, en fait, était telle que, lorsque les accusations contre M. Guy Gionet affirme avoir rencontré au moins une dizaine de fois M. . « Les dossiers toxiques, c'était peut-être 5 % de l'ensemble des dossiers (à la SOLIM). » — Guy Gionet M. M. MM. M. M. M. Jean Lavallée suivra Gionet à la barre de la commission Charbonneau | La commission Charbonneau.

Jean Lavallée, photographié sur le bateau de Tony Accurso, lors d'un voyage aux Iles Vierges, le 25 février 2005. Photo : Photo fournie par la commission Charbonneau La commission Charbonneau doit commencer à entendre jeudi le témoignage du président déchu du C.A. de la SOLIM et longtemps président de la FTQ-Construction, sitôt le contre-interrogatoire de M.

Gionet terminé. un texte de Bernard Leduc Lire aussi : La chute, abrupte, du « dieu » Lavallée C'est la réaction en chaîne suscitée par le scandale des factures exorbitantes de Jocelyn Dupuis qui a causé la chute de Jean Lavallée, un homme dont la puissance avait longtemps surpassé celle de son ancien dauphin devenu, à terme, son adversaire acharné. En moins d'un an, soit entre l'automne 2008 - alors qu'éclate le scandale mis au jour par Ken Pereira - et l'été 2009, Jean « Johnny » Lavallée va ainsi tout perdre. Il doit néanmoins rapidement déchanter lorsque les médias s'intéressent à ses liens avec Denis Vincent. M. Denis Vincent M. La chute, abrupte, du « dieu » Lavallée | La commission Charbonneau. Le reportage de Catherine Kovacs Guy Gionet soutient s'être inquiété du risque que posait à la réputation du Fonds la présence de certaines personnes dans des dossiers de la SOLIM.

Mais Jean Lavallée lui a bien fait comprendre que son rôle de PDG se limitait à obtenir du rendement. Jean Lavallée paiera finalement le prix pour ses « dossiers toxiques » lorsque les médias braqueront leurs projecteurs sur ses liens avec Tony Accurso et Denis Vincent. Un texte de Bernard Leduc Relire notre blogue en direct Jusqu'à la crise médiatique du printemps 2009 qui le contraint à retourner sa veste, Guy Gionet, donc, a obéi. « M.

Il estime que s'il avait voulu confronter davantage le président du C.A. de la SOLIM sur le risque posé à la réputation du Fonds par certains individus, il aurait été contraint de démissionner. « Il avait l'autorité, mais pas le caractère! M. . « Il a l'autorité de décider si on fait autre chose ou pas. Incidemment, le dossier Magi rebondira au début 2009. M. M. M. M. M. M. M. FTQ-Construction: Dupuis a assuré sa succession avec le crime organisé | Pierre-André Normandin | Commission Charbonneau. Pereira confronté au crime organisé | La commission Charbonneau. L'opération Diligence au coeur de la Commission | Pierre-André Normandin | Commission Charbonneau. Collusion détectée, collusion maintenue à Québec | Pierre-André Normandin | Commission Charbonneau.

Sous-investissement et manque de planification à la Ville de Montréal | Karim Benessaieh. Les avocats et la corruption | Yves Boisvert | Yves Boisvert. Commission Charbonneau - Portrait du cartel de la construction à Laval. Gilles Vaillancourt aurait tenté de corrompre Thomas Mulcair | Fabrice De Pierrebourg | Politique canadienne. Un si bon maire | Vincent Marissal | Vincent Marissal. Importantes découvertes lors des perquisitions | FABRICE DE PIERREBOURG | Affaires criminelles. Corruption et collusion à Laval: une machine bien huilée | Fabrice de Pierrebourg | Affaires criminelles. Rafle de Laval : « On savait tout, mais on n'avait rien » - Alain Gravel. Accusations de gangstérisme contre Vaillancourt, Accurso et Cie | Fabrice de Pierrebourg et David Santerre.

Lutte anticorruption : l'OCDE accable la France. La corruption n'est pas une exception culturelle française. Commission Charbonneau - Gilles Cloutier implique un juge de la Cour supérieure. «C’est la faute aux médias» - Insultante ex-ministre. Pot-de-vin de 100 000 $ pour Guy Chevrette | Pierre-André Normandin | Commission Charbonneau. BJB1xJrCYAEVSGv.jpg:large (Image JPEG, 554x630 pixels) Commission Charbonneau - La FTQ se fait tirer l’oreille. Du Tremblay classique | Yves Boisvert | Yves Boisvert. CEIC: Gérald Tremblay sous les feux de la rampe | Pierre-André Normandin | Commission Charbonneau. Dix questions à Gérald Tremblay | Yves Boisvert | Yves Boisvert.

Zampino : des voyages en bonne compagnie | La commission Charbonneau. Cadeaux et voyages d'entrepreneurs «acceptables» pour Zampino | Pierre-André Normandin | Commission Charbonneau. Mystérieuse rencontre de Zampino dans un club privé | Pierre-André Normandin | Commission Charbonneau. Applebaum admet un manque de vigilance dans des déclarations d'intérêts. Le directeur au bois dormant | Yves Boisvert | Yves Boisvert. Financement des partis politiques : le directeur général des élections sonne l'alarme.

FTQ: d'une collusion à l'autre | Patrick Lagacé | Patrick Lagacé. Bonjour la police... politique | Patrick Lagacé | Patrick Lagacé. Ce que cachent ces démissions d'ingénieurs | Yves Boisvert | Yves Boisvert. Bernard Trépanier, le vendeur de billets | Michèle Ouimet | Michèle Ouimet. Bernard Trépanier nie catégoriquement le 3 % | Pierre-André Normandin | Commission Charbonneau. PaNormandin : Voici mandat de Trépanier... Dans le fief des Rizzuto, en Sicile | Yves Boisvert, envoyé spécial | Mafia montréalaise. Deux témoins à la commission Charbonneau quittent leur emploi respectif. Une culture dysfonctionnelle | François Cardinal | François Cardinal. Commission Charbonneau - Bernard Trépanier, l’homme qui rend des services.

PaNormandin : Et la 2009... Un désert dit... PaNormandin : Tableau le moins clair présenté... L'entrepreneur Milioto sera entendu la semaine prochaine | Pierre-André Normandin | Commission Charbonneau.