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Le MOOC 2013 - Paris - Mai 2013. Workshop LeMOOC 30 juin 2013 Synthèse MOOC est l’acronyme anglais de “Massive Open Online Courses”. Ce terme désigne ainsi des cours en ligne ouverts à tous sur internet et pouvant, de ce fait, attirer plusieurs milliers voire plusieurs centaines de milliers de participants, dans certains cas. Face à la vague déferlante de Moocs anglo-saxons, qui ont rencontré, en quelques mois, un succès mondial, des acteurs français et européens ont réagi et lancé leurs premières initiatives. Ils se sont rassemblés, pour partager leurs expériences et identifier ensemble de nouvelles opportunités, lors de ce premier workshop “Le Mooc” organisé par le GT LL (groupe Thématique Logiciel Libre) de Systematic, avec le soutien d’Inria, de l’IRILL, des universités Paris 6 et Paris 7, et de la société Abilian.

Le workshop était organisé en quatre parties, couvrant ainsi les différentes dimensions des MOOC : Résumés des Présentations Keynotes Keynote de Kirsten Winkler (Winkler Media /Edukwest) Video Video Video Video. La révolution MOOC | Un site utilisant Blogs Blog.educpros.fr. Intégration de plateformes de cours en ligne dans les cursus : la taille critique atteinte par endroits Depuis quelques billets, je vous parle de digitalisation au sein de mon établissement d’exercice.

Nous menons à Cergy des expérimentations avec Datacamp, où nos étudiants se sont inscrits à une plateforme de cours complets, assez riche, qui permet de se former à différentes techniques dans des langages de programmation comme R ou Python. En parallèle, j’ai exploré un peu l’offre de Coursera Campus à l’occasion de la réflexion sur le confinement, qui permet d’avoir accès, pour des sommes équivalentes, à des offres de cours dans des disciplines variées. En d’autres termes, comme je le disais l’autre fois, ces plateformes permettent plus ou moins, enfin, de tenir la promesse initiale des MOOC. Continue reading Pourquoi l’on ne peut pas « cartographier » l’esprit des apprenants grâce aux learning analytics Continue reading Continue reading Continue reading Continue reading Continue reading.

Le deuxième "MOOC" francophone fait fureur. "Massive Open Online Course", "Cours de masse en ligne et gratuit", tel est le concept qui se cache derrière cet acronyme. Dans la réalité, cela représente un cours suivi par plus de 3600 étudiants en même temps, chacun depuis son PC, partout dans le monde et gratuitement. Depuis 2008, toutes les universités américaines ont pris progressivement le pli du télé-enseignement. Non seulement pour leurs étudiants régulièrement inscrits, mais aussi pour quiconque souhaite suivre un cours de haut niveau. Et cela gratuitement (d’où le mot "open") et quel que soit le nombre de participants : dans le monde anglophone, il est courant que 100 000 personnes suivent le même cours en même temps… d’où le terme de "massive".

Les MOOC font désormais partie des activités courantes dans une société où apprendre n’est plus une activité réservée à une période, l’enfance et la jeunesse, mais s’exerce tout au long de la vie. Pour progresser dans sa carrière ou tout simplement pour le plaisir. Patrick Bartholomé. Lancement du premier MOOC certificatif français. MOOC et méta-MOOC sont sur le réseau… | Cinémadoc. En ce moment, les cours en ligne ouverts à tous (MOOC) ont la cote et provoquent par-là même des éloges disproportionnés (enfin le savoir est mis à disposition de tous!) Et des critiques plus ou moins argumentées (par exemple ou encore et pour une veille active).

Les principales critiques portent à la fois sur le fait que ces cours reproduisent en ligne la domination des grandes universités anglophones et sur le fait qu’ils perpétuent le principe d’une transmission unidirectionnelle du professeur-expert (les « têtes parlantes ») vers des étudiants-ignorants. Malgré leur succès (lié dans cette perspective à leur gratuité, à la convergence des médias numériques et à un effet de mode), les MOOC constitueraient en quelque sorte une régression par rapport aux tentatives précédentes de cours en ligne. Il manquerait à ces projets une réflexion sur ce que signifie enseigner en ligne à une cohorte composée de plusieurs milliers d’étudiants. Cette note constitue aussi un retour sur expérience. Fab Lab à l'université. Le futur de l’enseignement supérieur est dans la formation de communautés d’apprentissage en réseau. Beaucoup de mouvement sur la planète MOOC dans les derniers jours. D’abord, on apprend par l’entremise du Figaro étudiant que la prestigieuse École Polytechnique en France offrira trois cours en français sur Coursera dès la rentrée d’automne 2013.

Un peu plus tôt en février, le blogue de Coursera avait publié un billet dans lequel on annonçait que la plateforme aux trois millions d’utilisateurs mettait le cap sur la francophonie. Le Wall Street Journal annonçait quant à lui au début février que Coursera avait ajouté 29 institutions participant à son offre de cours et EdX (700 000 utilisateurs), six institutions dont l’Université McGill, première au Québec si je ne m’abuse, à tenter l’aventure des dispositifs commerciaux leaders de « l’industrie des MOOCs ». « La téléprésence n’est pas plus la présence incarnée nécessaire à l’expertise que la syntaxe d’un ordinateur n’est du sens.

Le nouveau modèle d’affaire des universités est là. C’est ce que je ne nous souhaite pour bientôt. N.B. Mooc : la standardisation ou l’innovation. Le développement des cours en ligne massifs et ouverts (Mooc pour massive online open courses) attise autant l’enthousiasme que le rejet. Pourtant, comme nous l’avons déjà signalé, ils n’ont rien de magique et paraissent bien souvent plus une réponse économique qu’éducative. En accentuant la concurrence entre universités et entre les étudiants eux-mêmes… les Mooc semblent répondre à un problème pédagogique par une solution économique très spécifique. Or, l’enjeu éducatif n’est pas là. C’est ce que nous explique dans cette tribune Dominique Boullier, professeur de sociologie à Sciences Po, coordinateur scientifique du MediaLab et directeur exécutif du projet d’innovation pédagogique Forccast.

Le projet des Mooc consiste à standardiser l’apprentissage. Or l’enjeu de l’éducation de demain n’est pas de développer un enseignement massif et formaté, mais de développer un enseignement distribué et collaboratif. La course à la plate-forme Image : Day of the Mooc par Michael Branson. Les cours en ligne vont-ils révolutionner l'enseignement supérieur. Les cours ouverts et massifs, traduction du pittoresque acronyme anglais MOOC (prononcé MOUC), très à la mode, sont actuellement évoqués dans tous les séminaires et plans stratégiques des établissements supérieurs d'enseignement. Il s'agit de mettre à disposition de tous les participants des cours, des ressources, parfois en vidéo, parfois en temps réel, à l'exemple des grandes universités américaines, et d'inventer un nouveau parcours d''acquisition des connaissances, à la carte, derrière un écran, avec questionnaires, devoirs à rendre, ou tout simplement pour se former.

Avec très peu de recul sur leur valeur pédagogiques et sur les connaissances réellement acquises, ces cours obtiennent un immense succès dans le monde, surtout s'ils proviennent d'une prestigieuse université américaine. Un pionnier : Khan Academy Vidéo de la Khan academy sur l'addition simple Coursera Udacity Un MOOC francophone : itypa Quelle monétisation? Deux écoles s'affrontent actuellement autour des MOOC.