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Généralités

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Are We in Danger of Become the Fast Food of Social Change? Why give a damn: The days of lone heroes and quick fixes are over, and never were what we hoped they would be.

Are We in Danger of Become the Fast Food of Social Change?

Our problems are too complex to fix quickly, and too big to fix alone. For everyone trying to change the world on a deadline, give it up. The author of this post, Cheryl Heller, designs change and growth for business leaders and social entrepreneurs. She is Founding Chair of MFA Design for Social Innovation at SVA. We needed the Slow Food movement to remind us that meals can heal us through their rituals of connectedness and their nourishing substance.

I watch the accelerating popularity of social innovation with hope as well as concern. The notion that you can have a meetup and change the world is ludicrous. My inbox erupts with invitations to meetups, conversations, conferences, webinars and courses promising to provide the kind of wisdom it takes years to earn. The real point here, as with food and money, is that it’s actually not about fast or slow at all. "Fabriquer son futur: les nouvelles tendances de l'innovation numérique et sociale" Qu'ont en commun les Fab Labs, le mouvement des "Makers", l'économie collaborative et le BoP?

"Fabriquer son futur: les nouvelles tendances de l'innovation numérique et sociale"

Bien plus que des buzz words, ces nouvelles tendances sont des lames de fond dans nos sociétés qui sont à rapprocher à bien des égards. Symptomatiques d'un mouvement global vers une nouvelle vision et pratique de l'innovation plus ouverte et inclusive, davantage ancrée dans l'écosystème et s'adressant au plus grand nombre, elles préfigurent des transformations profondes dans nos modèles économiques.

Dans son livre Makers, Chris Anderson décrit l'avènement d'un nouveau monde industriel porté par les fab labs (Fabrication laboratory) ou "Makerspaces", ces espaces ouverts à tous pour réparer, prototyper, fabriquer tout type d'objet de l'artisanat traditionnel à l'électronique high-tech, avec des imprimantes 3D et des découpeuses laser. Des lieux pour "geeks"? Peut-être, encore. Crise économique ou mutation de notre mode de vie pour un mieux vivre? Dans la Harvard Business Review, Umair Haque, qui dirige Havas Media Labs, mais aussi l’un des penseurs les plus influents selon Thinkers50, se demande comment l’on doit définir ce qu’est le bien vivre de nos jours .

Et il constate que nous sommes arrivés à la limite d’un mode de vie. L’industrie basée sur l’énergie n’est plus qu’une dépendance à des ressources énergétiques de plus en plus gourmandes financièrement et dont la surexploitation menace de plus en plus notre survie ; les industries alimentaires fabriquent l’obésité ; l’éducation, des jeunes endettés ; l’industrie pharmaceutique, de nouvelles afflictions, comme de nouvelles maladies mentales ou des effets secondaires toujours plus virulents. Quant aux média, ils produisent des nouvelles qui nous désinforment et nous appauvrissent intellectuellement, au lieu de développer notre sens de la démocratie. Comment définir le mode de vie issu de l’eudémonisme ?

Il proposera : - . - . - . - . - . Voyage dans l’innovation sociale scandinave (3/3) : De la micro-expérimentation à la macro-transformation. Suite et fin de notre voyage dans l’innovation sociale en compagnie de la 27e Région.

Voyage dans l’innovation sociale scandinave (3/3) : De la micro-expérimentation à la macro-transformation

L’occasion de revenir sur les limites de la méthode pour voir si elle peut dépasser « le local, le micro, le proto » et avoir une action d’envergure, générale, globale, systémique… Innovation sociale : Comment passer à l’échelle ? L’innovation sociale se présente souvent comme un ensemble de micro-projets isolés, comme autant d’actions concrètes sur un territoire donné dans un temps limité ayant une action circonscrite. Elle pose la question, comme nous le signalions l’année dernière en énumérant les limites de l’innovation sociale, du passage à l’échelle, de la pérennisation des actions et de leur généralisation pour dépasser les projets de proximité… Image : François Jégou au Medea Lab de Malmö, photographié par la 27e Région.

Du rôle du design dans les politiques publiques. Co-conception, créativité, bottom-up, les politiques publiques ont beaucoup à apprendre du design.

Du rôle du design dans les politiques publiques

Synthèse. Publié en avril 2010 à la Documentation Française, le Design des politiques publiques est la première édition de la 27ème région, « laboratoire de transformation publique ». Issus du milieu du design, les acteurs de cette structure se proposent de réviser la conception de projets à caractère public à travers des méthodes liées au design. Comment cette discipline que l’on range habituellement dans le monde de la forme et de l’image peut-elle intervenir dans le débat public ? N’est-ce qu’une question de relooking ou y aurait–il réellement un design de politiques ? L’innovation par la co-conception avec les utilisateurs Les designers de “l’innovation sociale” considèrent le design selon une définition plus large que celle que l’actualité nous laisse entendre.

Le design n’est pas une profession, mais une attitude, affirmait-il. Bottom up Le rôle du designer Pas de design sans créativité. "Comment favoriser l'innovation sociale?" L'innovation sociale gagne en attention.

"Comment favoriser l'innovation sociale?"

Les initiatives sont nombreuses, grandes entreprises et acteurs publics s'en saisissent -les dernières Assises de l'Entrepreneuriat ont mis l'accent sur l'importance de la dimension sociale de l'innovation, avec l'annonce d'un nouveau fonds dédié. La question sociale est aujourd'hui considérée comme un nouveau champ d'expérimentation pour l'innovation tout autant qu'une source d'inspiration et une finalité pour celle-ci: l'innovation doit apporter une réelle plus-value dans la société.

Le récent rapport remis au gouvernement, "L'innovation, un enjeu majeur pour la France", va dans ce sens: l'innovation y est définie comme un processus par lequel "sont créés des produits, des services ou des procédés nouveaux qui font la démonstration qu'ils répondent à des besoins (marchands ou non marchands) et créent de la valeur pour toutes les parties prenantes". Bonne nouvelle, la prise de conscience est donc faite.