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Communautés en ligne

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Innovation

"Les communautés sont une source d'innovations pour l'entreprise", explique l’expert en économie collaborative Antonin Léonard. ENTRETIEN Tout le monde veut faire du collaboratif, notamment pour réussir à profiter des contributions des fans d’une entreprise, pour améliorer les produits... Des bonnes intentions aux résultats financiers, la transformation n’est pas aisée et les obstacles nombreux.

Antonin Léonard, co-fondateur de la communauté Ouishare nous explique pourquoi cees contributions sont de plus en plus appréciées et comment en faire des alliés aux bénéfices des entreprises. L’Usine Nouvelle : Vous organisez en mai prochain trois jours de rencontres sur le thème de l’âge des communautés (1). Pourquoi aujourd’hui ? Antonin Léonard : Les communautés ne sont pas une nouveauté. Ce qui a changé, c’est leur déploiement accéléré grâce à Internet, via les réseaux sociaux qui facilitent la mise en contact avec des personnes qui partagent un centre d’intérêt, une passion, des convictions.

Comment définissez-vous la notion de communauté ? Pourquoi les entreprises s’intéressent aux communautés aujourd’hui ? Ceux qui ne s’engagent pas dans des modèles ouverts et collaboratifs sont très mal placés pour la bataille du numérique. Gilles Babinet est entrepreneur, Digital Champion représentant la France à la Commission Européenne. Il vient de publier L’ère Numérique, un nouvel âge de l’humanité, 5 mutations qui vont bouleverser notre vie, chez Le Passeur. Nous avons eu envie d’avoir son point de vue sur les modèles ouverts et collaboratifs pour nourrir Open Experience, on n’est pas déçus ! Les démarches ouvertes et collaboratives jalonnent le propos du livre et vous les qualifiez d’ « évolution consubstantielle du numérique ».

Dans le même temps vous dressez un constat sans nuance sur la difficulté de certains acteurs à assumer l’ouverture et la collaboration. Comment favoriser et renforcer ces approches ouvertes, quels leviers mobiliser ? C’est vrai que certains acteurs économiques institutionnels éprouvent des difficultés majeures à prendre en compte les évolutions induites par le numérique. C’est très certainement l’expérimentation qui permet de renforcer ces démarches ouvertes et collaboratives. Plateforme collaborative. You Might Already Be Rich In The Newest Alternative Currency: Social. In 1991, Paul Glover created an alternative paper currency to trade goods and services within the Ithaca, New York, community. It sounds crazy, but with several million dollars in value, Ithaca Hours is a huge success, and is now one of the oldest and largest of numerous local currencies in the U.S. As commerce shifts from cash transactions to electronic payments and more exchanges move online, new forms of electronic currency in the spirit of Ithaca Hours are starting to take hold.

The most well-known is Bitcoin, which describes itself as "an experimental new digital currency that enables instant payments to anyone, anywhere in the world. " By allowing users to remain anonymous and by operating outside of any government or entity, Bitcoin has the potential to transform banking, international trade, and even illicit trade. As a general purpose currency, Bitcoin may be gaining traction steadily, but it’s still far from being widely used. What will make that happen? 1. 2. 3. Trust and user experience. Wikipedia, un dispositif médiatique de publics participants. Journée médiation culturelle des science sur le web. Accueil > Science & Société - CCSTI > Ressources > Pour les professionnels ©Université de Lyon Organisée par le service Science & Société en partenariat avec le collectif Le Grand Mix.

Table-ronde "Communauté" Lors de cette table ronde, il s’agissait de réfléchir à la façon de toucher les publics et de les mobiliser de façon continue et durable, afin notamment de permettre une véritable appropriation des espaces collaboratifs, et de faire en sorte qu’ils se sentent concernés et impliqués. Présentation de Maud Dahlem. Université de la Terre - écologie, économie, échanges et débats. Définition: Communauté sur le Web. Je dois remercier Kim Auclair et Dominique Dufour de leur entrevue qui m’a rappelée que je me suis engagé depuis longtemps à écrire ici quelques définitions.

Commençons donc par « Communauté sur le Web » parce que c’est un terme employé parfois à tors et à travers pour décrire beaucoup de concepts différents. # Dans un contexte professionnel, les mots sont des instruments de travail Je vais donc d’abord proposer une définition de « communauté sur le Web » en trois points; puis préciser le sens de certains mots; et enfin rappeler la différence entre réseaux sociaux et communautés Dans mon contexte professionnel, une communauté sur le Web est un site où: # 1 – des membres font quelque chose ensemble, avec au moins un lieu principal d’activités communes 2 – un « membre » est une personne inscrite dont l’identité est stable et dont toutes les contributions au site sont mémorisées et facilement accessibles à tous un « guide de participation »Quel est la raison d’être de cette communauté?

Blaise Grimes-Viort | Online Communities and Social Media. Référence: les communautés pour entreprises. J’ai eu le privilège de participer le 23 février dernier à une conversation entre Rich Millington et Blaise Grimes-Viort, de Londres, deux des plus grands spécialistes au monde des communautés sur le Web pour les entreprises. # On parle ici de communautés qui appartiennent aux entreprises: celles où l’on reçoit, sur un site spécialisé, des gens identifiés qui ont des activités communes autour de votre marque ou de vos produits.

Elles sont très distinctes des médias sociaux qui sont certes des outils formidables (j’y reviendrai), mais qui ne sont pas « chez vous » Rich Millington est l’auteur de Feverbee, sans doute le blog qui donne le plus d’information fiable et utile sur les communautés, donc aussi le plus consulté et respecté dans le domaine. Blaise Grimes-Viort est Directeur des communautés et de la participation de eModeration, un des premiers bureaux de services sur la gestion de communautés pour entreprises, avec 160 spécialistes opérant dans 50 langues.

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