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Folksonomies. Le terme de folksonomie est apparu récemment sur le web pour désigner le phénomène d’indexation des documents numériques par l’usager.

Folksonomies

On rencontre également fréquemment le mot tag qui désigne en quelque sorte un mot-clé. Le terme de folknologie est aussi employé, mais plus rarement. L’usage du mot folksonomie semble donc plus opportun. L’architecte de l’information Thomas Vander Wal a forgé ce terme en combinant la taxinomie (règles de classification, taxonomy en anglais) et les usagers (folk). Ce phénomène ne cesse de prendre de l’ampleur avec l’avènement des nouvelles technologies du web, dites « web 2.0 », qui donnent plus de possibilités d’expression à l’internaute.

Le phénomène est-il durable ou n’est-ce qu’un effet de mode ? Caractéristiques Les folksonomies constituent la possibilité pour l’usager d’indexer des documents afin qu’il puisse plus aisément les retrouver grâce à un système de mots-clés. L’ouverture d’esprit caractérise la folksonomie, comme le web 2.0. Conclusion. Organisation des connaissances et des ressources documentaires. De tout temps, l’homme a cherché à organiser son environnement, condition essentielle à ses apprentissages, à son évolution et à sa survie.

Organisation des connaissances et des ressources documentaires

C’est généralement sans même s’en rendre compte qu’il manipule simultanément plusieurs principes et plusieurs modes d’organisation en les adaptant à son environnement, à un événement ou à un problème. Confronté quotidiennement à une multitude d’objets, d’individus et de situations jamais encore rencontrés, l’humain peut les reconnaître et réagir adéquatement en analysant leurs caractéristiques et en les comparant à ce qu’il connaît déjà. Bien qu’il puisse s’actualiser sous plusieurs formes, le processus d’organisation suppose presque toujours une opération de classification. On ne saurait malgré tout considérer comme équivalents et interchangeables l’organisation et la classification, la classification n’étant qu’une méthode d’organisation parmi d’autres.

L’acte de classifier, aussi invisible et banal soit-il, n’est pourtant pas sans conséquence. Contexte des Principes internationaux de catalogage. La volonté d'harmoniser les pratiques catalographiques au niveau international est apparue très tôt dans le monde des bibliothèques : dès 1961 par la promulgation de "Principes internationaux de catalogage" (plus connus comme "Principes de Paris") sous la double égide de l'UNESCO et de l'IFLA ; puis en 1969 avec la Conférence de Copenhague qui a abouti, en 1971, à la publication de la première Description bibliographique internationale normalisée (ISBD).

Contexte des Principes internationaux de catalogage

Les années 1990 voient la généralisation des catalogues en ligne, et se concluent par la publication du modèle FRBR en 1998, qui met résolument l'utilisateur de ces catalogues au cœur des préoccupations des professionnels et propose une modélisation : des informations contenues dans les notices bibliographiques, des relations qu'entretiennent ces informations. Vers la fin du RSS ? Davidolib signalait hier que Facebook a l’intention d’interrompre la possibilité d’ajouter des articles par import de flux RSS sur les pages à partir du 31 octobre.

Vers la fin du RSS ?

De manière générale, l’interopérabilité de Facebook avec d’autres outils est très orientée. Ainsi, on peut exporter des événements au format iCal, mais je n’ai jamais réussi à y faire entrer un flux d’agenda Google… Mais tout de même, plusieurs constatations concordent : Firefox a retiré son icône RSS de la barre d’URLpourtant on peut toujours "personnaliser" la barre d’outil pour y remettre cette icôneTwitter a viré le lien "RSS" sur la page d’un profilpourtant les flux continuent d’exister — juste, il faut les chercher trouver Google annonce que Google Reader va disparaître de la barre de navigation depuis Gmailmais on pourra toujours y accéder en cliquant sur le lien "Encore plus" .

Si j’en crois l’article Wikipedia, le format RSS date de 1999. Facebook, Twitter, Google, Firefox ont cessé d’y croire. Et donc ? . Like this: