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CHAMPIGNONS

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Champignons racines mychorizes. B.R.F - le potager BIO. Definition : le B.R.F. ou Bois Raméal Fragmenté : Ce sont de jeunes rameaux d'arbres ou d'arbustes broyés pour les réduire a l'état de petites particules appelées: le broyat . Historique : Dans les années 70, des ingénieurs agronomes québecois ont eu l'idée de valoriser l'énorme stock de déchets forestiers issus d'élagage sous les lignes électriques. A titre d'expérience , dans le but de reconstituer un taux d'humus déficient dans le sol de nombreuses exploitations agricoles, ils ont broyé et incorporé ces déchets forestiers . Les résultats furent aussi inattendus que spectaculaires .

La structure de la terre s'en est trouvée profondément modifiée en présentant une floculation très améliorée, une grande résistance à la sécheresse et avec une fertilité décuplée. Pendant 30 ans par l'Université de Laval , au Québec et par la Belgique, pour étudier le processus . Le BRF fonctionne de la même façon que l'écosystème forestier. Et des branches qui se décomposent lentement. QUE BROYER? Jardinons sol vivant, le blog de Gilles Domenech. Broadcast Yourself. Culture de mycélium sur carton à partir d'un champignon.

Voici une autre méthode que l’agar-agar ou la culture liquide pour cloner le mycélium d’un champignon. Le carton est un milieu de culture « sélectif » car il est pauvre en nutriment et sucre. La plupart des contaminants ont besoin de sucre dans le substrat pour se développer alors que le mycélium (d’espèces poussant sur du bois) peut se contenter de carton. Lors du clonage d’un champignon sur carton, votre mycélium pousse sur un substrat qui augmente les chances de stérilité de la culture. Commencez par découper un morceau de carton (brun et non imprimé) d’environ 3cm de coté et essayez de décoller la couche supérieur (si le carton est trop collé, trempez le dans de l’eau chaude pendant une minute.)

Grattez à l’aide d’un scalpel ou d’une lame propre la colle qui reste sur la partie ondulée du carton. Faites trempez ensuite vos morceaux de carton dans une petite casserole à feu doux pendant 10 minutes en évitant l’ébullition. Et à le déposer sur votre carton. Autres articles à consulter: Mise en condition de fruitaison. Nous disposons maintenant d'un milieu de culture entièrement envahis par le mycélium. Il faut maintenant lui indiquer qu'il est temps de se transformer en corps mature en le soumettant à certaines conditions. Ces conditions sont : Introduction de lumière (pour les espèces photosensibles). Baisse du taux de CO2 par ventilation. Haute humidité maintenue. Légère baisse de la température. Le paramètre le plus critique et le plus difficile à maintenir sera l'humidité, souvenez-vous en !

Mais avant ceci, il faut préparer la chambre de fruitaison, transvaser le milieu dans le récipient de fruitaison et appliquer une couche de protection. La chambre de fruitaison En voici les principales caractéristiques : C'est un récipient fermé. Le but de la chambre de fruitaison est de maintenir un fort taux d'humidité (90-95%) pour permettre au mycélium de tirer l'eau dont il aura besoin au moment voulu.

Voici des exemples de récipient, classé par ordre de taille : Exemple de petite configuration Application. Expérimentation mycorhizes. Sommaire : Introduction Je ne sais plus au cours de quelle lecture je suis tombée la première fois sur la notion de mycorhizes. Cette notion en tout cas m’a interpellée et je me suis donc lancée à la recherche d’un livre sur le sujet. Je me souviens d’une conversation téléphonique mémorable avec une libraire parisienne sans doute d’origine québécoise (« je vous entends comme au fond de la mer ») pour transmettre mon numéro de CB et acheter « Mycorhizes, la nouvelle révolution verte ».

Eh oui, c’est un livre québécois ! Des informations vraiment intéressantes à connaître sur les mycorhizes Il y a des informations vraiment intéressantes à connaître sur les mycorhizes. Par exemple, de nombreux jardiniers connaissent la symbiose bactériorhize qui existe entre les nodules racinaires des légumineuses (haricot, luzerne, acacia…) et les bactéries rhizobium, permettant la fameuse fixation de l’azote atmosphérique. A quoi va servir cette symbiose aux plantes et aux champignons ? Essai à l’Oasis. Les différentes étapes de la culture fongique. J’ai essayer d’effectuer une traduction d’un schéma de Paul Stamets (extrait de Growing gourmet and medical mushrooms) expliquant les différentes phases de la culture fongique. Il permet de bien visualiser les étapes à reproduire pour mener à bien une culture de champignons comestibles.

Le premier objectif lors d’une culture de champignons est d’obtenir une source de mycélium pur sur gélose afin de d’inoculer un substrat de colonisation à base de céréales. Vous pouvez commander directement ce substrat de colonisation ou essayer de produire votre mycélium à partir d’une empreinte de spores, mais aussi en clonant un morceau de tissu d’un champignon. Toute cette première étape doit être effectuée en respectant au maximum les précautions de stérilité afin d’éviter une contamination de la culture par d’autres organismes.

Une solution nutritive contenant un gélifiant (agar-agar) doit être chauffée puis coulée dans un récipient en verre ou en plastique appelé boite de Pétri. Etapes de la culture de champignon. La culture de champignons est une activité passionnante qui permet de valoriser beaucoup de matériaux comme la paille, le fumier, le bois, mais aussi de recycler plus d'une centaine de déchets agricoles (café, bananes, caoutchouc, sciure et copeaux de bois, coquille de graines de coton, tournesol, cacahuète, etc.) afin de produire de la nourriture. De nombreuses espèces de champignons comme le Reishi, le Shiitake ou le Maitake sont utilisées à des fins médicinales et font l'objet de recherches pharmaceutiques. D'autres espèces facilitent la bioremédiation de l'environnement en décomposant certains déchets chimiques et industriels (pétrole, pesticide, engrais) et peuvent décontaminer les sols et les eaux de leurs polluants.

D'autres champignons dit mycorhiziens, poussent en symbiose avec des plantes, céréales ou légumes et ont un effet bénéfique sur la croissance des végétaux en permettant une meilleure assimilation des nutriments et de l'eau par les racines. Schéma de Paul Stamets.