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Viols

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Mortalité foetale: hausse de + de 4000% après la vaccination des femmes enceintes. La documentation reçue de la Coalition Nationale des Femmes Organisées (NCOW) stipule qu’entre 2009 et 2010, les rapports d’effets secondaires communiqués au VAERS sur les vaccins multi-souches contre la grippe et additionnés de mercure ont augmenté de 4.250% chez les femmes enceintes. Eileen Dannemann, directrice du NCOW, a expliqué clairement que, bien que ces chiffres étaient connus des Centres de Contrôle des Maladies (CDC), le vaccin inactivé multi-souche contre la grippe additionné de mercure (Thimerosal) a, une fois de plus, été recommandé comme étant un vaccin sûr pour les femmes enceintes (pour cette saison.)

Outrée par le mépris total du CDC pour la vie humaine, Madame Dannemann a accusé le CDC de « », précisant que ces personnes sont responsables de la mort de milliers de bébés à naître. Dans une lettre qu’elle écrivait au Dr Joseph Mercola, Madame Dannemann précisait: Selon Madame Dannemann, le NCOW a pu obtenir accès à ces rapports mensuels. Madame Dannemann poursuit : 1. 2. Un archevêque espagnol : ‘Violez les femmes, parce qu’elles le méritent’ Javier Martinez, l’archevêque de Grenade, a légitimé le viol pour les femmes qui ont avorté dans son sermon de Noël. l’auteur portugais Manuel António Pina , s’en émeut et condamne fermement ses propos dans le Jornal de Notícias (via Google Translate) : Javier Martinez en Paus Benedictus XVI L’homélie intégrale de l’archevêque est ici (texte en espagnol; pdf) source : express.be Ajouter un commentaire.

Affaire Chloé : quand les mots disent la violence inconsciente vis-à-vis des femmes. L'interview de Chloé au micro de M6 dans "66 Minutes", reprise par France 2 (YOUTUBE/M6) Hier était une journée dédiée à la lutte contre les violences faites aux femmes. Il y a quelques années, j’ai entendu par hasard à la radio Gisèle Halimi, commentant tel ou tel fait divers, prononcer cette phrase qui m’a marquée par sa justesse : "Il y a dans notre pays une grande tolérance vis-à-vis des violences faites aux femmes. " Elle ne parlait pas d’une tolérance particulière au niveau de la prise en charge policière ou judiciaire de ces violences, mais au niveau des discours et des représentations qui circulent, consciemment ou inconsciemment, dans notre société française. Quand la culpabilisation s'immisce dans le langage Depuis une bonne dizaine d’années, peut-être plus, de nombreux programmes ont été mis en œuvre pour lutter contre ces violences, aussi bien par la prévention que par la répression.

"Les femmes le cherchent bien" - C’est le criminel qui "avoue", celui qui est coupable, non ? Tournantes : après un verdict stupéfiant, la contre-enquête. Le procès en appel de huit hommes accusés de viols collectifs sur deux adolescentes à Fontenay-sous-Bois s'est ouvert ce mardi 26 novembre, 15 ans après les faits, devant la cour d'assises des mineurs de l'Essonne. Il y a un an, après le procès en première instance, "Le Nouvel Observateur" avait eu accès au dossier.

Contre-enquête (article publié le 3 décembre 2012). Le dossier compte vingt-trois tomes. Des milliers de pages de procès-verbaux. Des récits dont la lecture donne des haut-le-coeur. C'est une jeune femme qui raconte. Si elle proteste, ils "mettent des baffes" et, pour bien lui apprendre la vie, la marquent en lui écrasant une cigarette sur le sein. Elle dit qu'elle ne peut pas se plaindre, car elle a peur des représailles contre sa mère, son frère. Un verdict incompréhensible Le verdict prononcé par la cour d'assises des mineurs de Créteil qui jugeait cette affaire dite des "tournantes de Fontenay", treize ans après les faits, a provoqué un scandale national.

Isabelle Demongeot : "On va se battre jusqu'au bout" Après la condamnation, vendredi 23 novembre à Lyon, de son ex-entraîneur de tennis Régis de Camaret poursuivi pour viols et tentatives de viols, Isabelle Demongeot a ressenti un "véritable soulagement". Puis un "extraordinaire sentiment d'apaisement". Avec, toujours, en parallèle, "une partie" d'elle-même qui restait "en alerte" par rapport à la décision, ou non, d'un appel. Lundi 3 décembre, l'ancien entraîneur condamné à 8 ans de prison pour les viols de deux jeunes femmes qu'il a entraînées, mineures, dans son centre de Saint-Tropez, a annoncé qu'il avait décidé de faire appel. "On est aujourd'hui beaucoup plus fortes qu'avant" Ou plutôt son avocat Emmanuel Daoud l'a fait savoir, déclarant seulement que son client "a décidé de faire appel de sa condamnation", mais qu'il pouvait cependant "se désister à tout moment.

" "On va vraiment aller au combat", poursuit-elle avec la même détermination. Cet appel "va peut-être inciter d'autres femmes à témoigner" "Je déclare avoir été violée" : "l'Obs" lance le manifeste des 313.