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Social Networks

Facebook Twitter

Social Networks and their use for corporate communication.
Facebook, Twitter, YouTube, Instagram, ...

Telegraph. Les 50 chiffres à connaître sur les médias sociaux en 2016. Nous mettons régulièrement à jour plusieurs pages dédiées aux statistiques des réseaux sociaux. Mais chaque année, nous pensons qu’il est utile de réaliser un récapitulatif des 50 chiffres à connaître. Cela permet de faire le point, comprendre les forces en présence et mesurer les évolutions des réseaux sociaux et des applications de messagerie durant l’année. Les chiffres clés des réseaux sociaux en 2016 Sur 7,357 milliards de personnes dans le monde, on dénombre 3,715 milliards d’internautes.Sur 3,715 milliards d’internautes, 2,206 milliards utilisent les réseaux sociaux chaque mois.Sur 2,206 milliards d’utilisateurs des réseaux sociaux, 1,925 milliards sont actifs sur mobile.

Les 10 réseaux sociaux les plus populaires Voici le classement des réseaux sociaux les plus populaires dans le monde. On dispose aujourd’hui de trop peu de chiffres sur Snapchat pour qu’il soit ajouté à ce classement. Les 5 applications de messageries les plus populaires Les réseaux sociaux en France en 2016. Les médias sont toujours plus dépendants de Facebook - Le Temps. Avec Facebook, les médias ne savent plus très bien sur quel pied danser. Longtemps courtisés par le réseau social, les voilà désormais à la merci de ses fréquentes modifications. Depuis le début de l’été, deux changements majeurs ont été apportés à l’algorithme informatique qui détermine les éléments qui s’affichent sur les fils d’actualités des utilisateurs. S’il est encore trop tôt pour tirer des conclusions définitives, les éditeurs de presse craignent de voir leur trafic chuter. Début août, Facebook s’est ainsi attaqué aux publications «attrape-clic» («clickbaits» en anglais), dont le titre n’informe pas l’internaute, voire le trompe délibérément afin de l’inciter à cliquer.

L’impact de la deuxième modification effectuée par Facebook pourrait être bien plus large, touchant l’ensemble des médias. Partager plus de contenus personnels La société de Menlo Park justifie ce choix par le nombre croissant de liens mis en ligne par les éditeurs sur sa plateforme. Devant Google (Jérôme Marin) Finis Facebook et Instagram, voici les nouveaux réseaux (vraiment) sociaux. A l’ère du «digital first», un voyage organisé ne consiste plus seulement en une formule all inclusive, dont la souscription donne droit à un bracelet en plastique coloré à garder impérativement sur soi pour profiter de l’open bar. En plus des mojitos touillés au rhum bon marché, certains tour-opérateurs, comme Photo Trek Tour, Tricia & Co ou Island Photography aux Etats-Unis, proposent désormais les services d’un vrai photographe.

Histoire de ponctuer ses vacances d’images bien exposées et savamment retouchées, à poster sur son compte Instagram ou son profil Facebook sitôt une connexion wi-fi captée. Car voilà à quoi se résument les social networks en 2015. Une galerie d’images égocentriques où le «fish gape» succède à la «duck face», assortie d’une myriade de like, au choix: admiratifs, complaisants ou envieux.

Depuis que Mark Zuckerberg a voulu cataloguer en ligne les physiques de sa promotion de Harvard 2004, Facebook n’a pas changé d’un clic. Au bonheur des «peupladiens» We're on Snapchat: Add WhiteHouse.

Twitter

Plusieurs sites d'information suppriment leur espace commentaires. C’est une tendance de fond qui marque, peut-être, la fin d’une utopie. Celle d’une information en ligne interactive, où les commentaires sont censés enrichir, contester ou compléter le contenu des articles. Celle d’une information partagée qui ne serait plus le privilège des seuls professionnels. Mais voilà, ce monde idéal n’existe pas, et les commentaires en bas d’articles ont fini par déraper dans l’incivilité, la vacuité ou l’invective. D’où la décision de plusieurs sites américains de renoncer à cet espace dédié.

Fin septembre, le site «Vice» a franchi le pas, estimant que même si cette agressivité n’est le fait que d’une petite minorité, elle polluait le fil des commentaires, intimidaient les lecteurs constructifs et, à terme, desservaient les contenus. Colère des internautes Ce qu’il faut dire, c’est que les Etats-Unis, au nom de la liberté d’expression, n’ont jamais demandé à leurs internautes d’intervenir sous leur véritable identité, les autorisant à utiliser des pseudonymes. Digital, Social & Mobile in 2015. Landing.