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Economie collaborative

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Vaincre les résistances pour créer les modèles de demain. Si la croissance folle de l’économie collaborative remet en question les liens entre les consommateurs, elle force aussi les grands groupes à s’adapter. Vous avez probablement suivi l’initiative que la SNCF avait lancée en décembre 2015 pour proposer un billet et pourquoi pas un logement et une voiture? Le site voyages-sncf.com, filiale de la SNCF, avait développé une offre couplant l’achat d’un billet de train et la location d’un logement vide en l’absence du voyageur via Airbnb, ou d’une voiture via Ouicar, dans le cadre d’un partenariat. Le site Internet avait concrétisé la mise en place d’un partenariat avec ces deux acteurs de l’économie collaborative, ainsi qu’avec Kidygo, qui propose de faire accompagner les enfants non accompagnés par un voyageur, en échange du paiement de son billet de train.

Inventer le voyage qui rapporte de l’argent. Une levée de boucliers. Pourtant, quelques jours après son lancement, cette offre a été retirée. Quels modèles sont à privilégier ? L’économie contributive pour les nuls. Propos transcrits de 0'44'' à 46'26"" La commande qu’on m’a passé c’est de parler de l’économie de contribution en partant de la question du logiciel libre, et en l’orientant autant que possible vers des propositions, pas simplement des considérations théoriques et conceptuelles. Il y a par exemple des plateformes de mesures qui nous permettraient de passer à ce que l’on appelle l’économie de contribution. Alors, je vais peut-être commencer par vous dire pourquoi oui en effet la question est bien celle du logiciel libre, en tout cas pour moi au départ. D’abord, je vais vous dire de quelle origine conceptuelle je suis.

J’ai été formé, moi, dans l’extrème gauche française, puis au parti communiste français où j’ai passé quelques années. Alors, pourquoi je me suis intéressé au logiciel libre ? Ensuite, je suis allé à l’IRCAM, où j’avais un peu plus de temps, il y avait un peu moins de monde, et là j’ai commencé à théoriser un peu. Qu’est-ce que je veux dire en disant cela ? Pourquoi ? Les plateformes équitables : pour faire émerger une économie collaborative, sociale, solidaire et soutenable. Mais d’où vient cette idée ? Après de premiers enthousiasmes immodérés, évoquer l’économie collaborative semble désormais susciter d’abord de la méfiance alors même qu’elle ne cesse de séduire toujours plus de consommateurs, de producteurs, de contributeurs.

Toutes ces contradictions sont largement commentées de façon plus ou moins objective et avec la P2P Foundation nous avons été parmi ceux avec Ars Industrialis, la FING, Without Model entre autres qui ont essayé d’apporter un éclairage contrasté sur cette émergence. La transition vers l’économie collaborative est donc paradoxale.

Elle promet des avancées économiques et sociales considérables alors même qu’elle chamboule parallèlement les piliers de notre économie. L’une des spécificités des plateformes netarchiques1, hiérarchie des réseaux, comme Amazon, Uber AirBnB serait de désintermédier des acteurs inefficaces, produisant peu de valeur ajoutée en assurant une relation directe entre producteur et consommateur. Sur le même thème. Les applications au service de l'économie du partage. L’économie du partage, l’économie collaborative ou encore la sharing économie est un concept qui se développe. Ce modèle montre une modification de nos modes de vie dans une ère plutôt marquée par l’individualisme et le désir de possession.

L’économie du partage prône l’échange et l’emprunt plutôt que l’achat. Découvrez plusieurs sites et applications, dans différents secteurs… Le transport Le car sharing ou encore l’auto-partage est un système aujourd’hui connu de tous. Blablacar Créé en 2006, 2 millions de membres en 2012. Keyzee En collaboration avec Suzuki, permet aux sociétés de gestion de flottes automobiles, de location de voitures ou encore aux particuliers de partager un véhicule. Buzzcar, Koolicar Services qui permettent de louer un véhicule entre particuliers. Djump Application qui permet aux particuliers de devenir taxi et d’arrondir leurs fins de mois, 450 chauffeurs aujourd’hui comptabilisés. Drive Now Le voyage Airbnb Permet la mise en relation entre touristes et hôtes.

GuesToGuest. Pourquoi le MEDEF s’intéresse-t-il autant à l'Economie Sociale et Solidaire ? Le Mouvement des entreprises de France, le Medef, est une très grosse organisation patronale fondée en 1998 en remplacement du CNPF et qui représente les dirigeants des plus importantes entreprises françaises. Cette structure possède à ce titre un poids considérable dans le débat social français. Alors pourquoi, cette "grosse Berta" de la vie économique française s'intéresse-t-elle autant au pauvre petit poucet de l'Ess ?

C'est une bonne question d'autant plus que le lien entre les deux mondes n'est pas simple à faire. Et pourtant, la machine à "enfoncer les portes" des ministères pour faire passer la bonne parole patronale est en marche depuis que la loi sur l'Ess est examinée par le Sénat. Mais qu'est-ce qui fait sortir le loup du bois ? Le Medef craint-il que l'Ess ne devienne le premier employeur de France ? Sûrement pas. Ce texte tend en effet à faciliter le rachat d'une entreprise en difficulté par ses salariés sous la forme d'une coopérative ouvrière de production (scop.). Et / ou. Saône-et-Loire : 5 euros pour sauver une entreprise familiale. Économie La fonderie Correia lance un appel au public pour ne pas fermer. La petite entreprise située à La Genête, en Bourgogne, n’a que cinq jours pour récolter 102 000 euros.

Sinon, elle mettra la clef sous la porte. B.L. Publié le 27/01/2014 | 13:23, mis à jour le 28/01/2014 | 07:16 © page facebook de la fonderie Correia La fonderie Correia, située à La Genête, en Saône-et-Loire, lance un appel à la générosité du public pour ne pas fermer. L’entreprise Correia a vu le jour en 1980. La fonderie de Saône-et-Loire accepte alors de réaliser plus de 8 400 accoudoirs pour les sièges VIP du stade Allianz Riviera à Nice. A la livraison, la fonderie Correia reçoit des félicitations pour son travail impeccable. Résultat : ce projet en or (qui représentait les deux-tiers de son chiffre d'affaire annuel) s’est transformé en piège mortel.

En savoir plus sur l'appel au secours de la fonderie Correia. Développement durable & autres considérations, le blog d'Isabelle Delannoy. Je suis en train de réactualiser Notre « mini-kit de survie de la nana bio » bientôt épuisé (Merci aux lecteurs !!!). Nous y ajoutons en fin d’ouvrage un petit précis récapitulant l’indispensable pour se lancer dans la cosmétique maison de façon rapide, peu onéreuse et efficace. Pour ne pas pénaliser ceux qui l’ont déjà acheté (et qui donc ont permis cette réédition, CQFD…), voici quelques billets vous partageant ces ajouts (le livret comprendra cosmétique, ménage, textiles et jardin, je vous partage ce dont je suis en charge : la cosmétique et le ménage) Mini-kit de l’essentiel pour créer ses propres cosmétiques Réaliser vos propres cosmétiques vous ouvrira les portes d’un monde de créativité et de bonheur des sens et de la connaissance.

La base huileuse : les huiles végétales Les huiles végétales forment la base essentielle qui va nourrir le ciment intercellulaire de la peau, indispensable à sa cohésion et à sa bonne santé. Peaux sèches : onagre, argan, bourrache (riches en acide gras) La consommation collaborative, c'est bien plus que le covoiturage ou un prêt de perceuse. Deux exemples reviennent rituellement quand on parle de consommation collaborative : le trajet d’une ville de province à une autre que l’on fait en covoiturage (au hasard ce jour, Montélimar/Vannes avec Marjolaine et sa 206 sur BlaBlacar) et le prêt de la perceuse qui n’est utilisée que douze minutes dans son existence.

Or, l’impact de la consommation collaborative n’est pas limité à ce type d’exemples ponctuels, mais a des conséquences beaucoup plus importantes et plus profondes en termes de comportement du "consommateur". Certes, on vient à la consommation collaborative pour des motifs financiers : il ne s’agit pas d’y faire fortune, mais de couvrir frais d’essence ou de péage dans le cas du covoiturage ou de rentabiliser son appartement quand on en est absent (cf Airbnb, Bedycasa ou Sejourning..)

Mais on revient à la consommation collaborative et on devient un utilisateur régulier pour d’autres raisons : Tendances - 11 idées clés pour l’avenir: l’économie collaborative. Publié le 25 septembre 2013 Développement d’une production/consommation collaborative, renforcement du pouvoir des paris et passage d’une production verticale à une production horizontale en interne comme en externe : 5ème idée d'avenir développée par Communication & Entreprise.

Cette cinquième tendance développée par Communication & Entreprise correspond au développement d’une production/consommation collaborative avec, d’une part, des entreprises faisant appel à des talents aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de leur organisation et, d’autre part, des consommateurs privilégiant davantage la location à l’achat, l’usage à la propriété et ayant été à l’initiative de la conception et de la fabrication de produits et de services. Le pouvoir des pairs se trouve, dans cette tendance, particulièrement renforcé. Signaux faibles > montée du souci de l’autre, de manière plus générale, avec la recrudescence du « care » dans les valeurs des entreprises. > Lire la suite > Lire la suite. Le blog de la Consommation Collaborative. Je partage, tu partages, il partage... Une vraie révolution Pour mesurer l’ampleur du mouvement, il faut se déprendre des croyances avec lesquelles nous avons fonctionné pendant longtemps.

L’idée, par exemple, que nous vivons dans une société de plus en plus individualiste, sous le règne du chacun pour soi. Ce qui se passe, en ce début de XXIe siècle, est de l’ordre d’un changement de paradigme, comme l’estiment nombre de philosophes, dont Patrick Viveret, Michel Serres, Edgar Morin ou Pierre Rabhi. Si la course au profit demeure, si les rapports sociaux restent marqués par une défiance aggravée par la crise, dans le même temps émerge une nouvelle « culture du nous ». Une aspiration à davantage de solidarité particulièrement visible sur les réseaux sociaux, où s’organise une communauté de « partageurs » de toutes sortes. . « Les problèmes que nous avons à affronter sont aujourd’hui trop complexes pour que nous puissions les régler seuls. Patricia : J'emprunte et je prête Patricia , 36 ans, consultante freelance.