background preloader

Culture islamique

Facebook Twitter

Les Eléments de l’art arabe : Le trait des entrelacs. Cercles et entrelacs : format et décor des corans maghrébins médiévaux. Ve/xie.

Cercles et entrelacs : format et décor des corans maghrébins médiévaux

Pour tenter d'y voir plus clair, l'historien du livre devrait trouver une aide précieuse dans l'étude des corans : ils forment en effet un groupe de manuscrits relativement étoffé et représentatif en raison de la constance avec laquelle ils ont été copiés à travers les âges. Rares sont cependant les cas où le lieu de copie est indiqué : la plupart du temps, l'origine d'un exemplaire est déduite de sa provenance.

Ainsi, au Maghreb, la Grande mosquée de Kairouan a-t-elle conservé une importante collection de corans sur parchemin. La fondation de la ville par les conquérants musulmans, au plus tard en 62/682, fournit en principe un terminus post quem à l'activité de copie sur place ; les plus anciens manuscrits datés ou datables remontent seulement à la seconde moitié du IHe/lXe siècle. 4. 5. Bourgoin: Les éléments de l'art arabe: le trait...

Maroc

Recherche. Contact et accès Share: Facebook Twitter Google Plus Contact : Tel : 03 28 35 04 00 Mail : antennenpdc@imarabe.org ...

Recherche

Introduction - Le goût de l'orient. Le Goût de l’Orient constitue un hommage aux savants et collectionneurs d’Aix-en-Provence et de ses alentours, qui, depuis Nicolas Fabri de Peiresc à l’époque de Louis XIII jusqu’à Arsène Roux au Maroc au début du XXe siècle, ont essayé de comprendre les sociétés et l’histoire du monde méditerranéen, en s’appuyant sur les objets et le matériau des langues très diverses parlées dans ce vaste monde.

Introduction - Le goût de l'orient

Ces savants ont fait venir auprès d’eux des objets et documents archéologiques et culturels du bassin méditerranéen, comme Peiresc et Fauris de Saint-Vincens à Aix-en-Provence, pour comprendre le monde à partir de fragments, constituant des collections qui servirent de support d’étude. D’autres, au contraire, firent l’expérience du voyage, comme le botaniste Joseph Pitton de Tournefort, le grand orientaliste de Provence Jean-Michel Venture de Paradis, mais aussi le médecin Clot-Bey ou l’architecte Pascal Coste.

C’est à cette redécouverte que l’exposition vous convie. L'Art décoratif musulman, Gabriel-Rousseau, 1934. Entre l’Inde et l’Asie centrale : les mausolées islamiques du Sind et du sud Penjab. 1Au début du VIIIe siècle, la vallée de l’Indus a été gagnée à l’islam par le sud, lors de la conquête des villes du delta par des troupes arabes envoyées sur l’ordre du calife al-Walīd pour punir des actes de piraterie perpétrés dans la région contre des musulmans.

Entre l’Inde et l’Asie centrale : les mausolées islamiques du Sind et du sud Penjab

Remontant le fleuve, les conquérants arabes s’emparèrent de toutes les villes jusqu’à Multan. Mais dans les siècles qui suivirent, le territoire conquis par les Arabes se rendit pratiquement indépendant du Califat, sous la double action des tendances autonomistes de ses gouverneurs et de l’emprise isma’ilienne, soutenue par les Fāṭimides. Pascal Coste, toutes les Égypte - Pascal Coste. Escargotière – Figuig - Fès - C. Agabi et J.-C. Santucci - Éditions Peeters. 1Fès, l’une des deux capitales historiques du Maroc avec Marrakech (sans oublier Meknès et Rabat), s’élève dans la partie nord-ouest de la riche plaine du Saïs, non loin du confluent de l’oues Fès et du Sebou.

Escargotière – Figuig - Fès - C. Agabi et J.-C. Santucci - Éditions Peeters

Fès est situé au point d’intersection des deux grands axes de communications déterminés par le relief : un axe nord-sud Méditerranée-Sahara (ou plus précisément Détroit de Gibraltar-Tafilalet) et un axe est-ouest qui joint les plaines atlantiques au Maghreb central. A ces conditions géopolitiques favorables s’ajoute un don d’une richesse capitale en pays maghrébin : une eau abondante. Très tôt, le cours de l’oued Fès, qui traverse la vieille ville, fut canalisé, domestiqué, contraint à activer des moulins à eau et divisé en d’innombrables séguias qui arrosent cultures maraîchères, vergers et jardins d’agrément.

LES ARTS DECORATIFS AU MAROC - Page 7. Construction et la décoration monumentale chômaient des maîtres mouraient qui n'avaient transmis leurs secrets à per­sonne.

LES ARTS DECORATIFS AU MAROC - Page 7

Lorsque les sultans saadiens et alaouites voulurent faire exécuter de grands ensembles, ils ne purent trouver qu'un nombre restreint de mauvais artistes qui couvrirent les murs des palais d'une décoration hâtive et médiocre. Les emprunts faits à l'étranger furent trop rares pour en­rayer cette décadence: l'Orient musulman fit surtout sentir son influence dans les arts mobiliers. Celle de l'Europe, sauf en quelques points spéciaux et dans les villes de la côte, fut nulle sur le décor. Lorsque les artistes ont conscience de leur pauvreté d'invention et qu'ils veulent faire un effort, c'est à la tradition qu'ils font appel. Mais pour en reprendre les formes et les pro­cédés, ils s'adressent aux monuments de leur ville. C'est à Marrakech surtout qu'iI faut étudier, sous ses divers aspects, l'art saadien.

LES ARTS DECORATIFS AU MAROC - Page 7. L'univers symbolique des arts islamiques - Patrick Ringgenberg. Encyclopédie islamique Tahoor : Page d'accueil. Selon ce que rapportent les biographes, le mariage de ‘Abdallâh et d’Amîna (as) a lieu environ vingt ans après l’excavation de la source de Zamzam (soit un an après la rançon donnée en échange du sacrifice de ‘Abdallâh).

Encyclopédie islamique Tahoor : Page d'accueil

A ce moment, Amîna (as) a quatorze ans et ‘Abdallâh entre vingt et vingt-deux ans. Dans la biographie d’Ibn Is-hâq, on trouve ceci : « ‘Abd al-Muttalib emmène son fils ‘Abdallâh chez Wahab ibn ‘Abd Manâf ibn Zuhra, qui compte à cette époque parmi les nobles au sein des Banî Zuhra. Là, il demande en mariage pour son fils la fille de Wahab (Amîna), puis les marie. » Selon une tradition rapportée de l’Imâm ‘Alî (as), après le mariage de ‘Abdallâh et de Amîna, Amîna se fait dire dans le monde des visions : « L’embryon que tu portes fait partie des nobles. A sa naissance, nomme-le Mohammad. » Le Château de la Grange - San de Sénart. L'association des amis du Château Propriété du Conseil Général du Val de Marne, le château et son parc ont accueilli au XXème siècle l'Institut hospitalier Gustave Roussy.

le Château de la Grange - San de Sénart

Loué par la commune de Savigny, il est devenu un foyer d'activités culturelles, animé par l'association des « Amis du Château de la Grange » qui y organise régulièrement concerts, visites et reconstitutions historiques. Ses écuries sont utilisées par la police équestre municipale. En 2004, une maison de retraites pour malades Alzheimer s'est installée dans les locaux de l'ancien Institut Gustave-Roussy. Un grand programme de restauration est prévu d'ici 2007 pour ouvrir le domaine à des multiples activités sociales et culturelles. Alquds Manuscripts.

Arabesques et entrelacs 2. Ateliers IMA : Arabesques et entrelacs, 1, rue des Fossés Saint-BernardPlace Mohammed V - Institut du monde arabe - PARIS - 05 mai 2012 - 28 juin 2012. 05 mai 2012 - 28 juin 2012, Institut du monde arabe , 1, rue des Fossés Saint-BernardPlace Mohammed V , PARIS - France Familles Enfants, à partir de 6 ans Paré d'un nouvel éclat, le nouveau musée de l'IMA permet aux participants une découverte de précieuses calligraphies et enluminures à travers les manuscrits qui leur sont présentés.A l'atelier, ils s'initient à l'art de la belle écriture, au maniement du calame (roseau taillé en biseau), à l'élaboration à l'encre dorée de compositions et d'ornements plus ou moins complexes et réalisent une belle page à la façon d'un manuscrit ancien.

Ateliers IMA : Arabesques et entrelacs, 1, rue des Fossés Saint-BernardPlace Mohammed V - Institut du monde arabe - PARIS - 05 mai 2012 - 28 juin 2012

Enluminures en Islam. Culture islamique. Formes et motifs. Duomo de Monreale, Sicile, Italie. Enluminures en Islam.