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Et si on tuait le Parti Pirate ? Les élections viennent de s’achever dans toute l’Europe et, pour le Parti Pirate, le message est clair : un seul élu, en Allemagne, avec 1,4% des suffrages dans un pays où le Parti Pirate se situait entre 7% et 8% il y a à peine deux ans. Dans les autres pays, le Parti Pirate voyage entre 0,5% et 4,5% sans jamais franchir le seuil électoral. Autre nouvelle importante : l’important travail parlementaire accompli depuis 4 ans par Amelia Andersdotter et Christian Engström, travail également salué par d’autres partis et jamais remis en question, même par leurs plus féroces opposants, ne leur permet pas d’être réélus. Rick Falkvinge, fondateur historique du Parti Pirate, se veut optimiste. Ou bien apprend-il à manier la langue de bois des politiciens qui ne reconnaissent jamais la défaite.

Personnellement, je pense que le problème est beaucoup plus profond. La politique, deux métiers distincts Un groupe déjà replié sur lui-même Un parti comme les autres Réformer la démocratie Une légitimité nulle. Pourquoi je suis un pirate ! English translation Chers industriels de la musique, du cinéma et du divertissement, je suis un pirate. Je suis l’archétype de l’internaute que vous combattez.

Je télécharge tout et ne vous reverse pas un seul centime. Je ne vais même pas aux concerts. Vous me détestez et c’est réciproque. Lorsque j’ai découvert l’Internet haut-débit, j’étais innocent, naïf. Car vous ne proposez pas un service pertinent Aujourd’hui, lorsque je veux découvrir un artiste ou un film, je vais sur The Pirate Bay, je lance une recherche et je clique. Je serais prêt à payer pour un tel service s’il est aussi simple, aussi rapide et, contrairement à la Baie, s’il me garantit la qualité de ce que j’écoute.

Je ne parle même plus des CDs, qui encombrent mon salon, qui sont un fardeau à chaque déménagement, qui coûtent un prix démesuré, qui se dégradent avec le temps et qui, dernièrement, sont bardés de verrous numériques rendant le tout inutilisable. Car vous ne redistribuez pas mes sous correctement Piratement vôtre, Le blog de Lionel Dricot. À travers l’histoire de l’humanité, on observe que la notion de richesse évolue de manière constante. Pour chaque besoin, la richesse se définit d’abord comme avoir assez pour survivre. Puis beaucoup, trop et, enfin, plus du tout. Les classes pauvres suivent la même évolution avec un temps de retard sur les riches qui ont elles-mêmes […] Le paradoxe Google Depuis quelques temps, je dis que Google est devenu son principal concurrent.

Dans la recherche en ligne, core business historique de Google, le problème est évident à cause des pubs : soit le moteur de recherche de Google est très bon et le premier lien correspond à la pub affichée (donc la […] Alors qu’on parle sans arrêt d’emploi, de chômage, de licenciement voire de plein-emploi, il est peut-être important de se poser une question de base, essentielle : qu’est-ce que le travail ? Car si le concept paraît évident, il s’avère que la définition est floue et varie très fort d’une personne à l’autre. Version en français. Le fatal amalgame de l’économie et du social. Depuis plusieurs semaines, la Belgique est secouée par des mouvements de grève.

Sur les réseaux sociaux comme dans la rue, les positions se polarisent : il y a les pro-grève, généralement favorables aux syndicats et aux divers mouvements politiques de gauche et les anti-grève, défenseurs des petits commerçants et indépendants injustement affectés. Les deux clans s’invectivent, notamment sur des mesures absurdes. Les débordements agressifs ou menaçants des grévistes font le buzz sur le net, relayés avec délectation par une presse avide d’anecdotes sensationnalistes. Les pro-grève, de leurs côtés, tentent faiblement de justifier, d’excuser ou de minimiser avant de rebondir sur les débordements des non-grévistes, généralement des conducteurs excédés fonçant avec leurs bolides sur les piquets de grève.

L’ambiance est délétère, toute intelligence a laissé place à un corporatisme haineux et animal ne laissant guère de place aux indécis ou aux partisans d’une forme de conciliation. Publié. « Unfriended », un film d’horreur tout en tchat. « Je n’irai plus sur Skype avant trois mois », soufflait une ado en sortant mercredi d’une séance de « Unfriended » (« Retiré de sa liste d’amis », dans la langue des réseaux sociaux). Phrase qui résume bien l’effet que produit ce film d’horreur 100% vu de l’écran d’un ordinateur, sorti en salle le 24 juin. En introduction, on voit sur YouTube une vidéo choquante (avec message d’avertissement initial), le suicide de Laura Barns, une lycéenne. Puis commence une vidéo antérieure, celle qui est le point de départ d’une campagne de cyberharcèlement dont a été victime la jeune fille – messages ignobles sur YouTube et Facebook – aboutissant à son suicide trois jours plus tard.

Nous sommes un an après exactement, et l’essentiel de l’histoire se déroule sur Skype, où une bande d’amis, six garçons et filles, discutent en vidéo… en présence d’un septième internaute, inconnu que personne n’a convié mais qui s’incruste. Menace hors champ « Unfriended » de Levan Gabriadze, 2015 Doublement enfermés. Les Indignés - Petit montage, la vidéo est à voir en entière. EMI.