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Stocking the Investment Pipeline in Sustainable Seafood Impact IQ – There’s now a good answer for... Impact Fund Invests in Aquaculture to Preserve Oceans Within a few years, most of the fish we eat will be... Seafood Startups Stress Sustainability. Veolia et la Grameen Bank tirent les enseignements de leur projet au Bengladesh. Après la téléphonie et la nutrition, Muhammad Yunus, fondateur de la Grameen Bank, a ciblé un nouvel objectif au Bengladesh : la distribution d'eau potable pour les populations rurales, en partenariat avec Veolia. En effet, si l'eau ne manque pas dans ce pays, la plupart des nappes phréatiques sont contaminées - de manière naturelle- à l'arsenic, rendant l'eau impropre à la consommation. La Grameen Bank a donc élargi, depuis 2009, son champ d'action à la distribution d'eau potable, après avoir lancé avec Danone en 2006 la Grameen Danone Foods. L'objectif poursuivi par Muhammad Yunus, dans ses différents projets, est constant : développer des activités économiques et sociales sur le principe du "social business" .

Cette fois, c'est avec Veolia que la Grameen Bank a crée une filiale, la Grameen-Veolia Water, dont l'objectif est de fournir de l'eau potable aux populations les plus pauvres dans une zone rurale du Bangladesh. Cmplexité des projets « social business » Une maladie « honteuse » Du C02 dans les résultats financiers annuels de Danone | Les Pieds sur Terre. A French start-up develops and sells a wind turbine that produces drinking water from the moisture present in the wind, using a high environmental quality approach. Its founder, Marc Parent, has an ambition: he aims to use his invention to solve the problem of access to water in remote and poor communities. “Give us wind, we give you water” is the slogan of Eole Water, a French start-up based in Sainte Tulle, in the south of the country. Its founder, Marc Parent, is also the inventor of the company’s flagship product, the WMS1000: a wind turbine that produces drinking water from the moisture present in the air – “WMS” stands for “Water Maker System”.

Holder of a patent for his invention, Marc Parent is currently testing the WMS1000 in extreme conditions, in Abu Dhabi. Addressing the access-to-water issue with advanced technology Eole Water’s windmill is now able to produce up to 1500 litres of water a day, depending on weather conditions. Taking the next step. Travailler Mieux. Stress au travail : 10 propositions et un classement. Jeremy Fain - Comptabilité carbone: définir le périmètre.

Dès lors qu’il s’agit de comptabilité carbone, la question du périmètre de collecte et d’analyse des données est cruciale. Cruciale mais épineuse. A tel point qu’il s’agit d’une source majeure de complexité scientifique, qui a des impacts significatifs dans la conception, la gouvernance et la normalisation des méthodologies de comptabilité carbone au niveau mondial. Tentons toutefois la gageure d’en lister un échantillon pertinent parmi les méthodologies de comptabilité carbone les plus préconisées et donc usitées par les entreprises, parmi l’éventail des possibles.

A savoir celles au niveau gaulois du , conçue et promue par l’ADEME, et au niveau international , promulguée par le GHG Protocol, un groupe de travail animé par la World Resources Institute. Nous ne sommes pas peu fiers chez Verteego Carbon de compter Damien Arbault, responsable de notre bureau d’études, comme advisory member pour la session.

. - le fret vers les clients. Le Fonds Danone pour la Nature lance un projet au Sénégal. Les projets Bop version 2.0. Dès 2004, Stuart Hart*, professeur d'économie américain, publiait avec son collègue C.K. Prahalad, initiateur du modèle « BOP », l'ouvrage intitulé « The fortune at the bottom of the pyramid », désignant les quatre milliards de personnes en situation de grande pauvreté, à la « base de la pyramide » mondiale et le rôle des entreprises sur ce marché invisible en matière d'accès à l'eau, à l'énergie, à la santé, etc. Le but, in fine, étant de rendre accessibles des produits et services à une population certes vaste mais vivant avec moins de 2 dollars par jour... et pour cela revoir les modèles traditionnels de l'économie de marché ou de l'aide au développement.

Expériences mitigées Sept ans après la publication de l'ouvrage de C.K. Innover. Les BOP et le social business sont des laboratoires d'innovation » Novethic : Quelle différence entre Bop et social business ? François Perrot : Il y a souvent confusion et ces deux notions sont mouvantes. Le BOP* correspond d'abord à une catégorie de gens ayant moins de 3000 dollars de revenus par an, mais par extension il désigne aussi l'ensemble des stratégies mises en place par les multinationales pour cette cible. On est toutefois en train de revenir à son sens premier, car il existe des dizaines de stratégies, de la plus « business » à la plus philanthropique. Le social business est, lui, défini strictement par son inventeur Muhammad Yunus : il s'agit d'une entreprise dont la finalité est la résolution d'un problème social, ce qui implique que tous les bénéfices soient réinvestis dans la structure pour, au final, baisser le coût pour les consommateurs.

Mais les acteurs du social business ne mettent pas forcément le curseur aussi loin. Quelle est leur articulation avec l'économie « conventionnelle » ? Peut-être d'y aller de façon trop visible.