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Découvertes Scientifiques / Scientific Discoveries

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Découvertes médicales récentes / New health discoveries

Vacances scientifiques. Une nouvelle molécule pour guérir les AVC et doubler la neurogenèse ? L’une des pistes pour pallier à diverses pathologies cérébrales, telles que les maladies d’Alzheimer et de Parkinson ou, entre autres, les accidents vasculaires cérébraux, est d’agir au niveau d’une neurotrophine peptidique (naturellement synthétisée dans le cerveau) appelée BDNF et de ses récepteurs cellulaires, dont les rôles métaboliques multiples sont très largement bénéfiques et nécessaires pour le fonctionnement du cerveau, puisque le « Brain Derived Neurotrophic Factor » induit la neurogenèse ou naissance de nouveaux neurones ainsi qu’une meilleure connectivité en agissant sur leur plasticité.

Augmenter les niveaux de BDNF revient à améliorer la mémoire, la pensée abstraite, les fonctions exécutives, et l’ensemble des caractéristiques cognitives, et cela sans aucun danger connu. Depuis 2007, un prototypage moléculaire a ainsi été breveté. Ces résultats sont obtenus chez la souris, et sont probablement reproductibles chez l’humain. ADN, le disque dur de demain ? - Maxisciences. Deux chercheurs de l'université de Harvard sont parvenus à stocker 700 To de données informatiques dans un gramme de matière.

Pour cela, ils ont directement utilisé de l'ADN. L'idée de stocker des données informatiques dans de l'ADN n'est pas nouvelle. Pourtant, cette fois, les choses s'accélèrent avec la parution, dans la revue Science, des travaux de deux chercheurs de l'université de Harvard. Ceux-ci ont réussi à stocker la copie numérique de l'ouvrage que publiera bientôt l'un d'entre eux dans quelques microgrammes de matière faite de molécules d'ADN synthétisées, rapporte clubic.com. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Selon ces scientifiques, la densité de stockage atteinte est telle que l'on pourrait stocker dans environ 4 grammes d'ADN l'ensemble des informations produites dans le monde en 2011, ce qui correspond à 1,8 zettaoctet (soit 1,8 x 1021 octets) !

Mais quel support utiliser ? ADELE : stocker de l'électricité en comprimant l'air ! > Technologie. Stocker de l'électricité de manière efficace, en toute sécurité et en grande quantité - voila certainement l'un des défis clés à résoudre dans les prochaines années. Les membres du projet ADELE** dont fait partie RWE, mais aussi General Electric, Züblin, et le Centre National allemand pour la Recherche aéronautique et spatial (DLR) ont signé à Berlin un accord de coopération et de développement allant dans ce sens. "L'expansion massive et voulue de l'énergie éolienne nécessite des solutions intelligentes pour garantir un approvisionnement continu en électricité. A travers le projet ADELE, nous prenons les devants afin de développer rapidement un modèle de stockage efficace ", a déclaré le Dr Jürgen Großmann, directeur exécutif chez RWE. Lors de périodes où l'offre excède la demande électrique sur le réseau éolien, de l'air sera comprimé et stocké dans de grandes poches souterraines.

La chaleur résultante sera elle aussi emmagasinée dans un système de stockage d'énergie thermique. L'énergie fulgurale. Quelle que soit l'époque, l'activité humaine n'a pu se passer de sources énergétiques. A certains égards, l'histoire de l'énergie est un raccourci de l'histoire des hommes : une saga passionnante et totalement méconnue. Stupeur à tous les étages. Au fil des âges, on a recouru à différentes sources d'énergie : avant les énergies renouvelables, avant le nucléaire, avant le pétrole, nos ancêtres ont utilisé l'hydro-électricité, le charbon, l'énergie animale ou humaine.

Regarder un peu en arrière nous donne une impression de progrès. Passer de l'âne au nucléaire semble en être un. Mais si l'on regarde beaucoup plus loin en arrière, l'impression de progrès s'estompe. Les Atlantes ont utilisé l'inépuisable énergie de la foudre : ils produisaient de l'énergie dans des centrales fulgurales comme Areva en produit aujourd'hui dans ses centrales nucléaires. On peut admettre que leur civilisation fut plus avancée sur le plan spirituel, par exemple. Secrets of the Brain. Van Wedeen strokes his half-gray beard and leans toward his computer screen, scrolling through a cascade of files. We’re sitting in a windowless library, surrounded by speckled boxes of old letters, curling issues of scientific journals, and an old slide projector that no one has gotten around to throwing out. “It’ll take me a moment to locate your brain,” he says. On a hard drive Wedeen has stored hundreds of brains—exquisitely detailed 3-D images from monkeys, rats, and humans, including me.

Wedeen has offered to take me on a journey through my own head. “We’ll hit all the tourist spots,” he promises, smiling. This is my second trip to the Martinos Center for Biomedical Imaging, located in a former ship-rope factory on Boston Harbor. The magnets that now surrounded me began to rumble and beep. As they see the brain in action, neuroscientists can also see its flaws. On my return trip to his lab Wedeen finally locates the image from my session in the scanner. “It’s all grids,” says Wedeen.

Neutrinos : plus rapides que la lumière ? › Physique. <p>Reconstitution de l'impact d'un neutrino enregistré dans une brique et analysé par un laboratoire de la collaboration OPERA <em>(Crédits : CNRS/CERN/OPERA)</em></p> Des chercheurs du CNRS auraient découvert l'existence de neutrinos... qui vont plus vite que la lumière. Si ces mesures sont confirmées, alors les répercussions théoriques seront immenses. Le Journal de la Science a exploré certaines de ces répercussions grâce au concours du physicien Thibault Damour. C'est un séisme qui est en train de se produire dans le monde de la physique.

Et pour cause, puisque le physicien Dario Autiero, chercheur à l'Institut de physique nucléaire de Lyon, et son équipe s'apprêtent à publier un résultat ahurissant : l'existence de neutrinos, ces particules élémentaires de masse quasiment nulle, qui se déplaceraient plus vite que la lumière ! Comment les chercheurs ont-ils obtenu ce résultat ? 60 nanosecondes de moins que la lumière Un résultat à confirmer par d'autres mesures Mais il y a plus. Percer les secrets des plantes pour sauvegarder la biodiversité ! Pour une réelle sauvegarde de notre biodiversité, encore faut-il saisir tous ses secrets et ses enjeux ! Quoi de mieux que de les enseigner à nos enfants. Tel est le programme de “Plantastic”, une exposition ludique et attractive présente cette année, jusqu’en septembre 2013, au Vaisseau à Strasbourg. A l’intérieur d’un espace entièrement modelé de 450 m2, le visiteur a la possibilité de pénétrer dans un univers coloré, au milieu de plantes surdimensionnées qui viennent dévoiler leurs secrets.

A travers des manipulations, des jeux, des images animées, les jeunes, âgés en moyenne de 3 à 15 ans, “apprennent tout en s’amusant”, selon le slogan du Vaisseau. Bien qu’aucune réelle fleurs, graines, feuilles ne soient exposées, les décors vous font traverser et découvrir le monde végétal dans son ensemble : de la naissance de la plante, à sa reproduction, en passant par le phénomène de la photosynthèse, pour finir sur l’utilisation des plantes par l’homme. Fondation Sciences Citoyennes | Pour faire entrer les sciences en démocratie...

UCS: Independent Science, Practical Solutions | Union of Concerned Scientists. Les Gènes Volants : mise en évidence de la dissémination à grande échelle des éléments transposables par transferts horizontaux. Le grand dégel arctique ouvre la voie à des migrations microbiennes risquées. Vue aérienne la baie de Quervain au Groenland© AFP/Archives Anne Chaon Chicago (AFP) – La fonte accélérée des glaces arctiques résultant du réchauffement climatique ouvre la voie à des mouvements migratoires sans précédent d’agents pathogènes qui posent un risque pour les mammifères marins et potentiellement pour les humains, mettent en garde des scientifiques. « Avec le changement climatique, nous réalisons qu’il existe une possibilité sans précédent pour que des agents pathogènes se déplacent vers de nouveaux environnements et y provoquent des maladies », a expliqué jeudi à la presse Michael Grigg, parasitologue à l’Institut américain des allergies et des maladies infectieuses.

Un autre parasite communément trouvé chez les chats, appelé Toxoplasma gondii a été découvert chez des baleines blanches (beluga) dans les eaux arctiques, du jamais vu, a indiqué le scientifique. Pour lui, il s’agit du premier exemple de parasite venu du Nord et migrant vers le Sud. Higgs Boson Found? Without "God Particle," No Galaxies—And No Life. Just hours from now, physicists could announce they're 99.9936 percent sure the Higgs boson exists, according to experts on the hunt for the so-called God particle. The combined findings of two teams at the proton-smashing Large Hadron Collider (LHC) should help explain why objects in our universe have mass — and in so doing, why galaxies, planets, and even humans have any right to exist. ( Explore a Higgs boson interactive. ) Just what the scientists—from the ATLAS (A Toroidal LHC Apparatus) and CMS (Compact Muon Solenoid) experiments—will reveal, though, is a closely guarded secret.

"There are very few people even in ATLAS and CMS who know what's going to be presented on Wednesday. The rumor mill, though, got a late-breaking boost Tuesday, when, according to Science News , an official CERN video clip surfaced briefly, publicly, and—presumably—prematurely. On Higgs Hunt, It's "Easy to Fool Yourself" Results in particle physics are ranked on a scale from zero to five "sigma.

" How Jellyfish Relaxation Can Lead to Energy-Efficient Vehicles. In the popular imagination, jellyfish are just blobs—listless drifting things, without eyes, ears, or even a brain for figuring out how to get from one place to another. Scientists have long argued against this misguided notion. They say the familiar medusa-style (or bell-shaped) jellyfish are highly effective at getting where they need to go, employing both jet propulsion and a rowing motion. They travel efficiently enough, in fact, that jellyfish often outcompete the fish that appear to be their bigger, faster, smarter rivals.

So how do they do it? The secret to jellyfish locomotion, according to a new study in the Proceedings of the National Academy of Sciences, isn’t about how hard the jellyfish works. It’s about how it relaxes. Until now, scientists understood jellyfish movement this way: When a jellyfish contracts, it shoots out water from within the bell. Even to scientists, though, this explanation of how a jellyfish gets around has never been entirely satisfying. CEA. Génétique : la découverte qui vous concerne. Jeudi dernier, le 6 septembre 2012, une série d’articles scientifiques de portée historique a été publiée dans les plus grandes revues scientifiques : Nature, Science, Genome Research, Genome Biology, Journal of Biological Chemistry.

Ce sont les conclusions d’un immense projet de recherche, financé par le gouvernement américain, impliquant 440 scientifiques de 32 laboratoires, qui a duré neuf ans : le projet ENCODE, Encyclopedia elements of the human genome, qui visait à décrire de façon complète les fonctions de chaque élément du génome humain. Vous êtes concerné par les découvertes publiées. Mais comme il est difficile d’y comprendre quoi que ce soit en lisant la presse (et ne parlons pas de la télévision), voici de quoi y voir clair sur cette découverte « révolutionnaire » et ce que vous pouvez en attendre pour votre santé. Bref rappel sur l’ADN Lorsque vous avez été conçu, vous n’étiez qu’une seule cellule, issue de la rencontre d’un spermatozoïde et d’un ovule.

Le virus qui guérit.