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Impact des déchets radioatifs / ...of nuclear waste

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Nucléaire: dans le laboratoire souterrain de Bure, le temps change de dimension. BURE (France) – (AFP) – C’est sur une roche argileuse de l’est de la France vieille de 160 millions d’années que compte la France pour sécuriser pendant des millénaires le stockage souterrain des déchets radioactifs les plus dangereux, produits en seulement quelques décennies.

Nucléaire: dans le laboratoire souterrain de Bure, le temps change de dimension

Sur le site de Bure, où l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) est implantée depuis une quinzaine d’années, le temps semble prendre une autre dimension. A l’échelle du temps de vie de certains radionucléides, comme le chlore 36, dont la période radioactive (le temps nécessaire pour que la radioactivité diminue de moitié) dépasse 300.000 ans, ou l’iode 129 (période de 16 millions d’années). Situé à la limite de la Meuse et de la Haute-Marne, le laboratoire souterrain de Bure préfigure, à quelques 500 mètres sous terre, le futur Centre industriel de stockage géologique (Cigéo). Les autres déchets prévus à Cigéo sont dits « de moyenne activité à vie longue » (MA-VL).

Contaminated Nation: Inhuman Radiation Experiments. (Photo: joerodz)This year marks the 20th anniversary of the declassification of top secret studies, done over a period of 60 years, in which the US conducted 2,000 radiation experiments on as many as 20,000 vulnerable US citizens.[1] Victims included civilians, prison inmates, federal workers, hospital patients, pregnant women, infants, developmentally disabled children and military personnel — most of them powerless, poor, sick, elderly or terminally ill.

Contaminated Nation: Inhuman Radiation Experiments

Eileen Welsome’s 1999 exposé The Plutonium Files: America’s Secret Medical Experiments in the Cold War details “the unspeakable scientific trials that reduced thousands of men, women, and even children to nameless specimens.”[2] The program employed industry and academic scientists who used their hapless patients or wards to see the immediate and short-term effects of radioactive contamination — with everything from plutonium to radioactive arsenic.[3] The human subjects were mostly poisoned without their knowledge or consent.

Dr. 1. Great Haste Made Great Waste at Hanford. Stockage des déchets radioactifs: un contre-laboratoire dans un tunnel. Bugey - Déchargement de gravats radioactifs dans une carrière. Un déchargement de gravats radioactifs dans la nature Le 9 août 2011, la centrale nucléaire du Bugey, implantée sur la commune de Saint-Vulbas, à 35 km de Lyon, a procédé à l’évacuation d’une benne de gravats radioactifs, pensant qu’il s’agissait simplement de déchets conventionnels, vers une carrière régulièrement utilisée par EDF et autorisée à recevoir uniquement ce type de matériaux.

Bugey - Déchargement de gravats radioactifs dans une carrière

Quelques minutes après la sortie du camion, la direction de la centrale s’est rendue compte de son erreur. Cependant, le conducteur du camion n’a pas pu être prévenu avant d’avoir déchargé. Le service radioprotection du site s’est rendu sur place et a établi une cartographie radiologique. Cette erreur a généré un risque réel de dispersion de radioéléments dans l’environnement : au point de contamination le plus élevé, le niveau de radioactivité était environ 3 fois supérieur au niveau naturel observé sur le site… Des négligences qui conduisent inéluctablement à l’incident Déchargement Bugey - Jugement.