Les internautes français passent 4 heures par mois sur les réseaux sociaux. E-mail marketing : les performances secteur par secteur. Tendances. 693 millions de visiteurs uniques sur Facebook. Facebook n'influence pas les achats. Publié le 06 avril 2011 Le réseau social est en manque de crédibilité concernant les commentaires sur les produits de consommation. L’internaute préfère les avis des associations de consommateurs et des autres consommateurs aux recommandations de leurs amis sur les réseaux sociaux… Popularité ne rime pas forcément avec confiance. C’est un peu ce que révèle l’étude menée par Lightspeed Research (groupe WPP). Les réseaux sociaux ont beau être extrêmement populaires en tant que mode de communication, ils ne réussissent pourtant pas à capter les acheteurs en ligne en quête d’avis sur un produit… Google 1, Facebook 0 Les Européens interrogés ne considèrent pas les réseaux sociaux tels que Facebook comme une source d’information utile lorsqu’ils souhaitent se renseigner en ligne avant de procéder à un achat : seuls 5% des internautes français recherchent des avis en ligne sur les réseaux sociaux.
On ne mise pas sur son réseau, mais sur les autres consommateurs. Méthodologie: Radiographie de l'internaute français. Qu'est-ce que la curation ? Ce terme en vogue sur Internet désigne l'art de collecter, organiser et mettre en valeur tous types de contenus autour d'une thématique donnée. Définition. La nouvelle tendance du Web en 2011 s'appelle la "curation". Ce terme tiré de l'anglais "curator" (en ancien français, la "curation" désigne le traitement d'une maladie) désigne tout type de gardien d'un héritage culturel (conservateur de musée, bibliothécaire, etc.) chargé de rassembler et d'organiser différents éléments d'une même collection pour mieux la diffuser au public.
Appliqué à l'Internet, la curation consiste à collectionner, agencer et partager les contenus les plus intéressants (textes, images, vidéos, etc.) autour d'un même thème. Une forme de e-documentaliste 2.0. L'émergence de ce terme témoigne de l'insuffisance des seuls moteurs de recherche pour trouver du contenu vraiment pertinent sur une thématique donnée. Le concept de curation en lui-même n'a rien de nouveau. Les enfants et les nouvelles technologies. Aujourd’hui, avant même d’apprendre à nager, faire du vélo ou autre, les enfants savent manier une souris, surfer sur le Net, jouer aux jeux vidéo.
C’est ce que prouve l’étude(1) menée par AVG Internet Security Company. 44 % des enfants âgés de deux à trois ans sont capables de jouer sur un ordinateur et ils sont 58 % (âgés de deux à cinq ans) à savoir utiliser un jeu d’arcade. Alors que seulement 9 % des enfants sont capables de nouer leurs lacets, ils sont 19% à jouer sur des applications de smartphones. 25 % des jeunes enfants savent ouvrir un navigateur internet, alors qu’ils ne sont que 20 % à savoir nager sans aucune assistance. Pour ce qui est des aptitudes technologiques, pas de différence notée entre les sexes. Filles (58 %) et garçons (59 %) jouent à des jeux vidéo et savent comment téléphoner depuis un portable. Le magazine numérique meilleur support que le papier ? Dynamique, notable, incitative, voilà comment est qualifiée la publicité interactive qui se trouve dans les magazines numériques, selon l’étude quali* commandée par Adobe, Digital Ad Engagement: Perceived Interactivity as a Driver of Advertising Effectiveness.
D’après celle-ci, la publicité interactive a un impact plus important sur l’attention et l’intention d’achat des internautes. Selon l’étude, les annonceurs doivent donc prendre en compte cinq catégories indispensables selon eux : l’interactivité et l’impact perçus, la compréhension du message, l’attitude vis-à-vis de la marque et l’intention d’achat des participants. Il est conseillé de privilégier l’utilisation d’outils interactifs (graphiques animés, sons, diaporamas, animations…) qui retiendraient beaucoup plus l’attention des lecteurs et permettraient de créer des attitudes positives vis-à-vis de la marque. La convergence multi-canal, la clé de succès de 2011. Les e-commerçants vont devoir s’orienter vers les toutes dernières technologies pour se démarquer de la concurrence. C’est pourquoi 2011 sera marquée par le m-commerce, la personnalisation et la convergence multi-canal.
Le smartphone a aussi bien révolutionné le comportement des distributeurs que celui des consommateurs. Avant 2009, il était difficile de savoir si le commerce mobile décollerait vraiment, c'est pourquoi de nombreux distributeurs ont laissé leurs sites de téléphonie mobile à l'état de démo ou version bêta. Le succès de l'iPhone et de la gamme Android a fondamentalement changé la donne, marquant le début de l'ère des smartphones. En 2010, les vendeurs ont restructuré leur stratégie mobile, impatients de lancer de nouvelles applications de m-commerce sur le marché. 2011 verra également l'arrivée de nouvelles applications pour tablettes (type iPad) car ces formats de navigation très conviviaux deviennent de plus en plus populaires auprès des consommateurs. Pub et Internet, bilan 2010 et perspectives 2011.
Le big bang de la M-Publicité. Le mobile va pouvoir devenir un support publicitaire incontournable grâce à l’arrivée de la mesure d’audience Médiamétrie. Explications. La pénétration du mobile en France est importante avec plus de 61 millions de terminaux. En parallèle, le nombre de mobinautes ne cesse d'augmenter, dépassant plus de 14 millions de personnes. Il est donc étonnant de constater une timidité de la part des annonceurs et agences médias, n'investissant en moyenne qu' 1% de leur budget publicitaire digital dans l'Internet mobile, et ce malgré le poids que représente une telle audience. Encore à ses débuts, ce marché bien que très prometteur, manque de repères solides.
C'est la parution, fin octobre dernier, de la première mesure d'audience de l'Internet mobile en France au 3ème trimestre 2010 par Médiamétrie, qui va contribuer à l'explosion tant attendue de la publicité sur mobile à partir de 2011. Il est rare qu'une première embarcation ne prenne pas l'eau.