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Biologie synthétique (suite)

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Biomassacre - La biologie de synthèse menace la biodiversité et les modes de subsistance - Biologie de synthèse - Cnam - Gerd Moe-Behrens. Synthetic 'upgrade' for fruit fly's DNA - life - 13 August 2012. The genetic code of the fruit fly Drosophila has been hacked into, allowing it to make proteins with properties that don't exist in the natural world. The advance could ultimately lead to the creation of new or "improved" life forms in the burgeoning field of synthetic biology. The four letters of the genetic code, A, C, T and G, are read in triplets, called codons, by the cell's protein-making machinery. Each codon gives an instruction for the type of amino acid that gets added next in a protein chain, or tells the machinery to stop. Jason Chin at the Medical Research Council Laboratory of Molecular Biology in Cambridge, UK, and colleagues previously showed that it was possible to reassign one of these stop codons to incorporate an "unnatural" amino acid instead, and last year they engineered nematode worms to manufacture such proteins.

Complex proposition However, fruit flies are a much more complex proposition. Bulletproof flies Share on emailShare on gmailShare on stumbleupon. The SynBioLogist. SynBioFromLeukipposInstitute. La biologie de synthèse au secours des espèces ? Stella D'Amore , le 09 Avril 2013 dans Actualités Sous l'intitulé « Comment la biologie synthétique et la conservation vont-elles modeler l'avenir de la nature ? » , un colloque rassemble cette semaine, à Cambridge, des « biologistes de synthèse» et des spécialistes de la conservation de la biodiversité. Ces deux communautés ont des choses à se dire, au-delà des titres médiatiques sur la résurrection d'espèces. Une grenouille endémique de Porto Rico (Eleutherodactylus juanariveroi). Crédit : Carlos Pacheco, USFWS En 2004, une étude parue dans Nature réalisée sous la direction de Chris Thomas et reposant sur un échantillon de régions couvrant 20 % de la surface terrestre montrait que les changements climatiques entraîneront à eux seuls la perte de 15 % à 37 % des espèces vivantes d'ici 2050, suivant les scénarios.

Améliorer les pratiques Les « pâles copies » d'espèces Stella d’Amore, coordinatrice des Assises du vivant 2013, VivAgora. 4 décembre : La biologie de synthèse entre sciences et société. Colloque Sciences de la vie en société 2012. La biologie de synthèse entre sciences et société L’objectif de ce colloque pluridisciplinaire est de réunir des chercheurs en sciences humaines et sociales et en sciences de la vie autour de la biologie de synthèse. La rencontre permettra de discuter du phénomène d’émergence, d’identifier les grandes questions qui se posent et d’explorer l’agenda des recherches à la croisée entre sciences de la vie et sciences humaines et sociales. La biologie de synthèse s’affirme depuis le milieu des années 2000 comme une nouvelle frontière techno-scientifique. Elle est fondée sur la progression rapide des connaissances en biologie et en chimie du vivant et sur les convergences entre nanotechnologies et sciences de la vie et de l’information.

Elle est définie comme l’ingénierie de composants et systèmes biologiques qui n’existent pas dans la nature ou de ré-ingénierie biologiques existants. Elle vise la conception intentionnelle de systèmes biologiques artificiels. Contacts : Adresse de correspondance : La biologie de synthèse, vous connaissez ? 04 dec 2012 Le 3ème colloque Sciences de la Vie en Société de Genopole® d'Evry se tiendra le 4 décembre 2012 à Paris.Le thème retenu cette année sera "La biologie de synthèse entre sciences et société". La biologie de synthèse s'affirme depuis le milieu des années 2000 comme une nouvelle frontière techno-scientifique. Elle est fondée sur la progression rapide des connaissances en biologie et en chimie du vivant et sur les convergences entre nanotechnologies et sciences de la vie et de l'information.

Elle est définie comme l'ingénierie de composants et systèmes biologiques qui n'existent pas dans la nature ou de ré-ingénierie biologiques existants. Elle vise la conception intentionnelle de systèmes biologiques artificiels. Cette phase d'émergence est caractérisée par l'incertitude portant sur la définition des objectifs, des objets et des enjeux de la biologie de synthèse et par la prolifération de discours sur ses promesses et ses dangers.

Plus d'info. La biologie synthétique : une révolution ? Mai 2010. Washington. Craig Venter annonce devant un parterre de caméras qu’il a recréé la vie. En fait, il n’a pas vraiment fabriqué un être vivant de toutes pièces : seul le génome de la bactérie Synthia, généré par ordinateur, est artificiel. Pour autant, le travail de l’équipe de Craig Venter est une première dans le domaine de la biologie : sa bactérie est le premier être vivant qui n’a pas d’hérédité. Une version cartoon de l’article par Benoît Crouzet Désormais les scientifiques ne se contentent plus de « bidouiller » des gènes qu’ils transfèrent d’un organisme à l’autre. Pour tenter de comprendre les enjeux de la biologie de synthèse, à l’interface entre biologie, informatique, mathématique, physique et chimie, le mieux était de rencontrer des personnes en prise directe avec le sujet.

Une approche originale du vivant Mais malgré cet aspect valorisant, ce domaine émergent suscite quelques craintes. Craig Venter Un accès à tous ? Qui a accès à quoi ?