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Racines et développements

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Diderot a-t-il inventé le Web ? William Gibson. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour l’article homonyme, voir Gibson. William Gibson William Gibson en 2008 Œuvres principales Biographie[modifier | modifier le code] Sa mère a beaucoup de mal à l'élever seule. En 1966, sa mère meurt à son tour. En 1968, il s'enfuit au Canada pour éviter d'être envoyé au Viêt Nam et s'installe en 1972 à Vancouver. Désillusion, défiance du capitalisme, constat d'échec patent de la Contre-Culture, tout cela va l'entrainer vers une fiction sombre, en accord avec sa vision du monde. Constatant une certaine cohérence dans les thématiques, ce mouvement informel va prendre, sous la plume des critiques de l'époque, et notamment de Gardner R.

C'est Gibson, avec Neuromancien, qui décroche le premier un immense succès littéraire. No Maps for These Territories, un documentaire de Mark Neale, centré sur la vision du monde de William Gibson, a inauguré le 21 siècle, au Festival international du film de Vancouver, en octobre 2000. « [...] Critique: Neuromancien (Neuromancer) de William Gibson. William Gibson, c'est une sorte de dieu pour les Geeks (nous en avons beaucoup). Bat00 nous livre ici son avis sur une œuvre devenue culte, Neuromancier. Un mot sur l’auteur William Gibson, inventeur du terme cyberespace, devient la figure de proue du Cyberpunk avec la publication du Neuromancien en 1984.

Également auteur de nouvelles, deux d’entre elles seront portées à l’écran : Johnny Mnemonic en 1995 et Hôtel New Rose en 1998. Ces œuvres traites des changements technologiques et de leurs conséquences funestes et moins prévisibles sur la société. Le site web de William Gibson : williamgibsonbooks.com Vous pouvez également le suivre sur son compte Twitter. En résumé Case est un des meilleurs pirates informatique jusqu’au jour où il décide de doubler son employeur.

Mon point de vue Attention : chef d’œuvre ! William Gibson nous livre un univers qui inspira aussi bien le film Matrix que le manga Ghost In The Shell par exemple. Bonne lecture ! Une déclaration d'indépendance du cyberspace (John Perry Barlow) John Perry Barlow. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. John Perry Barlow Il est l'un des cofondateurs de l'Electronic Frontier Foundation et est connu pour sa Déclaration d'indépendance du cyberespace, publiée en 1996. En août 2013, John Barlow est admis au temple de la renommée d'Internet, dans la catégorie des innovateurs. Bibliographie[modifier | modifier le code] Richard Barbrook, La liberté de l'hypermédia - Une réponse à John Perry Barlow, in Libres enfants du savoir numérique, éditions de l'Éclat, 2000, pp.55-76, texte intégral.Ahmed Dahmani, José Do-Nascimento, Jean-Michel Ledjou, Jean-Jacques Gabas, La démocratie à l'épreuve de la société numérique, Karthala, 2007, page 67.NSA : "despotique mais incompétente" ?

, Arrêt sur images, 10 juin 2013, texte intégral.Karim Benyekhlef, Une possible histoire de la norme, Thémis, 2008, pp.98-99.Jose Do-Nascimento, L’Internet entre acteurs publics et privés - Vers une régulation centrifuge ou centripète ? Article connexe[modifier | modifier le code] Cause commune. Cause commune : l’information entre bien commun et propriété vient d’être réédité en livre numérique chez publie.net avec une préface originale. L’édition papier a paru aux Editions Fayard dans la collection Transversales (février 2005).

Pour des informations sur les traductions choisissez la langue correspondante dans les menus de bas de page. Achetez le livre numérique : chez publie.net Achetez le livre papier : Achetez le chez votre libraire préféré, ou si ce n’est pas possible en ligne (Alapage, Amazon, Decitre, FNAC) … et / ou téléchargez le La version PDF du livre Cause commune : l’information entre bien commun et propriété est mise à disposition sous un contrat Creative Commons Télécharger (format PDF) Quatrième de couverture L’information et ses technologies refaçonnent notre univers technique, social et éthique, mais ces bouleversements se font dans deux directions opposées selon que l’on choisit d’en encourager l’appropriation privée ou d’en faire des biens communs.

Revue de presse. La gratuité c'est le vol déclare le ministre des finances - Fram. Appel d’air est un livre des éditions ActuSF (collection Les Trois Souhaits) qui regroupe une trentaine de courtes nouvelles de science-fiction interrogeant le devenir de la France au lendemain des élections présidentielles de 2007. Un fidèle lecteur m’a envoyé un message pour me suggérer de recopier celle de Roland C. Wagner. Why not, me suis-je dit plongés que nous sommes en cette obscure période Hadopi. On est donc en pleine science-fiction (et dans le pastiche frondeur) mais est-on si loin que cela de la réalité au niveau des mentalités ? Nos sociétés, telles qu’elles sont actuellement organisées, n’ont-elles pas du mal à composer avec ces échanges non marchands souvent tirés vers le haut par l’usage des nouvelles technologies ? Vous en trouverez la lecture publique récitée non sans verve par son auteur sur le site Dailymotion (issu du même recueil, on notera également Mentions légales de Catherine Dufour)[1] La gratuité c’est le vol Roland C.

JP Barlow, EFF : "A l'e-G8, j'ai l'impression d'être d'une autre planète" Véritable ovni sur la planète Internet, John Perry Barlow est un des co-fondateurs de l'Electronic Frontier Foundation. L'organisation non-gouvernementale à but non lucratif a été fondée en 1990 dans le but de défendre la liberté d'expression sur Internet. Après avoir sévèrement critiqué la position de Pascal Nègre et Frédéric Mitterrand, JP Barlow nous explique pourquoi il constitue une épine dans le pied de l'e-G8. A quoi sert cet e-G8 Forum ? John Perry Barlow : Le business des musiciens n'est pas le même que celui de la musique. L'e-G8 ne ressemble pas, à mon sens, à un dialogue.

Les personnes ici présentes demandent aux internautes comment agir, ce qu'il faut faire. Le fait de mettre une souveraineté sur le cyberespace me gêne. Combattre le piratage, un mauvais combat ? Au lieu de combattre le piratage, il serait, à mon sens, utile de trouver un modèle qui fonctionne et d'investir. Barlow vs Pascal Nègre. Première Copy Party le 7 mars à La Roche-Sur-Yon ! Mais que se passera-t-il donc le mercredi 7 mars prochain à la Bibliothèque Universitaire de La Roche-Sur-Yon ? Ce sera tout simplement la première « Fête à la Copie » ! Rien que le titre on dirait une provocation dans le climat (peu serein) actuel mais en fait pas du tout ! En effet, point de contestation sévère et illicite mais une action conviviale, pédagogique, et 100% légale, pour sensibiliser le public aux problématiques complexes que sont, entre autres, la copie privée, le droit d’auteur, le partage des oeuvres, le libre accès, ainsi que le rôle actuel et futur des bibliothèques.

La législation a tendance à se crisper actuellement face aux nouveaux usages permis par les réseaux. Merci de relayer l’info si, comme nous, vous trouvez l’évènement original et pertinent, car son succès dépend autant de l’affluence le jour J que de l’intérêt médiatique qu’il aura pu susciter. Interview #CopyParty pour le Framablog Framasoft : Bonjour, pouvez-vous vous présenter succinctement ? Lionel Maurel. Le piratage, véritable histoire de l'édition aux Etats-Unis. Il ya des paradoxes qui mettent le feu aux poudres. Ainsi, le piratage et la contrefaçon furent durant plusieurs années au coeur de l'économie et de la vie étasunienne - et auraient d'ailleurs aidé plusieurs maisons d'édition à faire fortune. D'une certaine manière, ce serait donc la contrefaçon qui aurait fait de l'industrie du livre ce qu'elle est aujourd'hui devenue...

Explications (fort nécessaires...). Remontons aux années 40, celles de 1800 : à cette époque, les ouvrages britanniques étaient publiés sans qu'aucun droit d'auteur ne soit versé. Les Britanniques faisaient de même pour les oeuvres françaises, et probablement que les Français avaient aussi leurs bêtes noires. Dans un article de CNet, on retrouve ainsi un petit historique de ce qui a été une situation de fait - et une situation de non-droit, durant des années. Le livre donne le ton, et du meilleur goût : Or, si le pays supportait ce type de comportement, ce n'est pas parce que le droit d'auteur n'existait pas. À l'abordage. Hacking. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans un sens large, le bidouillage ou hacking concerne les activités visant à détourner un objet de sa fonction première.

Le hacking a pour fonction de résoudre ou d'aider à résoudre des problèmes, et cela dans de nombreux domaines. Les hackers[modifier | modifier le code] Derrière le terme hacker « se cachent des utilisateurs à part, qui préfèrent fouiller dans les entrailles d’un ordinateur plutôt que simplement l’utiliser »[3]. Les motivations principales du hacker sont « la passion, le jeu, le plaisir, l’échange et le partage »[4].

Pirate ou hacker[modifier | modifier le code] De manière générale, les médias modernes semblent relier les hackers informatiques à des pirates informatiques, bien que la traduction de « pirate » ne correspond pas aux définitions de « fouineur » ou de « bidouilleur » que l'on peut trouver dans les institutions qui font référence en langue française[5]. Le Hacking moderne[modifier | modifier le code] Electronic Frontier Foundation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Electronic Frontier Foundation (EFF) est une organisation non gouvernementale internationale à but non lucratif, fondée en 1990 aux États-Unis par Mitch Kapor, John Gilmore, et John Perry Barlow, connu pour être l'auteur de la Déclaration d'indépendance du cyberespace.

Liberté d'expression[modifier | modifier le code] L'objectif essentiel de l'EFF est de défendre la liberté d'expression sur Internet. En effet, le développement de celui-ci ne peut se faire sans la prise en compte des sujets politiques, économiques et légaux. Calcul distribué[modifier | modifier le code] L'Electronic Frontier Foundation offre des prix de calcul coopératif[1] afin d'encourager les internautes à contribuer à la résolution de problèmes scientifiques par le calcul distribué : Position vis-à-vis des brevets[modifier | modifier le code] Voici une liste de brevets[réf. souhaitée] que l'EFF estime nuisible au développement et à l'usage public.

(en) Site officiel. Cyber-liberté : Un Internet Bis pour contourner les censures étatiques. Imaginaires d'internet et du web. Web et internet : histoire.