L’encyclopédie Wikipedia stockée sur quelques brins d'ADN. Les technologies de stockage informatique n’ont cessé d’évoluer, passant de fils avec des aimants aux disques durs jusqu’aux puces mémoire en 3D.
Mais la prochaine révolution pourrait utiliser une approche aussi vieille que la vie sur Terre : l’ADN. La start-up Catalog est parvenu à faire tenir les 16 Go que représente la version anglophone de l’encyclopédie Wikipédia sur des brins d’ADN. Une performance accomplie grâce à un générateur d'ADN, une machine qui peut tenir dans une cuisine, à condition de se débarrasser du réfrigérateur, du four et du plan de travail… Bien qu’il soit peu vraisemblable que cette technologie remplace prochainement la mémoire flash des smartphones, Catalog pense qu’elle devrait intéresser les entreprises qui ont besoin d’archiver de grandes quantités de données.
Catalog emploie des brins d'ADN synthétiques préfabriqués qui sont plus courts que l'ADN humain, mais en utilise beaucoup plus pour pouvoir enregistrer beaucoup plus de données. Source : Cnet.com. Microsoft développe une solution de stockage durable sur du verre. Les supports de stockage ont évolué de multiples façons ces dernières années pour proposer de grandes améliorations notamment au niveau de la capacité, de la taille du support ou encore de la rapidité de lecture des données.
Microsoft cette fois se penche sur deux caractéristiques des supports de stockage : la fragilité et la capacité à garder des données dans le temps. Warner Bros Entertainment cherche en effet un moyen de stocker des données importantes comme de vielles vidéos historiques ou des enregistrements audio archivés. Cela doit être fait de façon durable et sans contrainte de conservation, ce qui n'est pas le cas des bandes audio ou des négatifs sur lesquels ont été enregistrés les films. Ceux-ci se dégradent avec le temps et nécessitent de conserver une certaine température, ils sont aussi sensibles à toute manipulation.
Stockage de données : mais en fait, qu'est-ce que c'est ? Le stockage de données est l’ensemble des méthodes et technologies permettant d’entreposer et de conserver les informations numériques.
Découvrez tout ce que vous devez savoir à ce sujet : définition, fonctionnement, différents supports… D’ici 2025, selon IDC, le volume de données généré par l’humanité sera multiplié par cinq et atteindra 163 zettabytes. En conséquence directe, nos besoins en espace de stockage vont augmenter de façon drastique. Il sera non seulement nécessaire d’augmenter la capacité des supports actuels, mais aussi d’en inventer de nouveaux. L’IRM le plus précis du monde dévoile le champ magnétique d’un seul atome. Les scientifiques découvrent une nouvelle façon de stocker de l'information dans... un atome.
Nos disques durs ne seront bientôt plus en mesure d'enregistrer la quantité phénoménale de données que nous produisons chaque jour.
La solution ? Stocker l'information dans des atomes. L'humanité produit aujourd'hui tellement de données en l'espace d'une seule seconde que si notre rythme ne décroît pas rapidement, nous serons contraints de trouver au plus vite une nouvelle façon de stocker l'information. La meilleure piste dont les scientifiques disposent à ce jour est aussi incroyable que révolutionnaire et avait déjà été pressentie par le célèbre scientifique Richard Feynman : elle consisterait à encoder l'information dans un atome. Les atomes sont les plus petits objets que nous connaissions sur lesquels ils nous serait possible de coder un bit d'information (1 ou 0). Moment cinétique orbital et mémoire atomique Une révolution encore hypothétique. Mémoire atomique : une nouvelle méthode pour stocker des données dans un atome unique. Le stockage de l’information est un défi technologique que tente des ingénieurs et physiciens tentent de repousser chaque jour.
Avec l’augmentation constante de la production des données et la miniaturisation concomitante des appareils électroniques, le développement de techniques permettant de stocker l’information à très petite échelle devient inévitable. C’est dans ce cadre qu’une nouvelle étude présente une méthode permettant potentiellement de stocker des données dans un seul atome à température ambiante. Un pas de plus vers le stockage de données sur un atome unique. Des physiciens de l’EPFL ont utilisé la microscopie à effet tunnel à balayage pour tester avec succès la stabilité d’un aimant constitué d’un seul atome.
Malgré l’essor des lecteurs à semi-conducteurs (SSD), les dispositifs de stockage magnétique tels que les disques durs conventionnels et les bandes magnétiques sont encore très répandus. Stocker des données sur des atomes. Nous stockons de plus en plus d’informations et de fichiers.
Il y a seulement trois ou quatre ans, nous pensions qu'un téraoctet d'espace de stockage était très (trop) grand. Aujourd'hui, cette capacité devient la norme. A l’avenir, il sera peut être possible d’en enregistrer encore plus sur des supports miniatures. À l’heure actuelle, les éléments qui stockent les bits sur les disques durs sont mille fois plus gros qu’un atome. Demain, on stockera peut être justement sur des atomes ! Cloud hybride : Pure Storage achète Compuverde pour se renforcer sur le stockage. Pure Storage a déclaré avoir acquis Compuverde, une entreprise qui fabrique des logiciels de gestion du stockage conçus pour le stockage de fichiers dans des déploiements de cloud hybride.
Les termes de l'accord n'ont pas été divulgués. Stockage NVMe : Amazon acquiert la startup E8 Storage. Après CloudEndure en début d’année, Amazon Web Services continue de faire son marché dans l’écosystème israélien du cloud computing en mettant la main sur E8 Storage.
L’information a été rapportée par Globes selon qui AWS aurait déboursé entre 50 et 60 millions de dollars pour cette start-up fondée en 2014 et qui propose des solutions de stockage NVMe en rack pour le cloud et les entreprises. Mais selon des sources proches du dossier, la somme payée par Amazon serait nettement inférieure au montant évoqué. D’après Crunchbase, E8 storage a levé un peu de 18 millions de dollars depuis sa création. “La solution abordable, fiable et évolutive d'E8 Storage est idéale pour les charges de travail à faible latence les plus exigeantes, notamment les analyses en temps réel, les applications financières et commerciales, la génomique et les systèmes de fichiers à grande échelle”, explique la jeune pousse pour décrire son offre.
HPE Discover : mise à jour de GreenLake et nouveau stockage "Primera" Les annonces faites à HPE Discover s'inscrivent parfaitement dans la nouvelle stratégie de HPE définie l'année passée.
Google achète Elastifile pour renforcer le service de stockage de fichiers de GCP. Google fait l'acquisition d'un fournisseur de stockage de fichiers, Elastifile, ont annoncé les entreprises mardi. Les termes financiers de l'accord n'ont pas été divulgués, mais Elastifile, basé à Tel Aviv, a levé environ 65 millions de dollars en capital-risque lors de son dernier tour de financement. Elastifile, qui est déjà entièrement natif sur la plate-forme Google Cloud Platform, adresse le stockage de fichiers pour les applications d'entreprise fonctionnant dans le cloud.
Son service permet aux entreprises d'augmenter élastiquement leur capacité de stockage à la demande. Il offre également un service appelé ClearTier qui permet une hiérarchisation intelligente entre le stockage de fichiers et le stockage d'objets. Dropbox lance un service de stockage à froid. Dropbox vient d’annoncer la mise en service d’un stockage à froid grâce auquel il va pouvoir conserver à moindre coût les données utilisateurs les moins sollicitées.Ce service est le fruit de Magic Pocket, l’infrastructure exaoctet sur laquelle Dropbox a commencé à travailler en 2016 afin de pouvoir réduire sa dépendance à Amazon Web Services.