background preloader

Le contexte

Facebook Twitter

Un million d'ebooks pour les enfants d'Afrique. Dématérialisation du livre : le cas particulier de l'album. Fab lab : La prochaine révolution en bibliothèque, faites-la vous-mêmes! – Marie D. Martel. 11 octobre 2012 7h12 · Marie D.

Fab lab : La prochaine révolution en bibliothèque, faites-la vous-mêmes! – Marie D. Martel

Martel Depuis leur origine, les bibliothèques se sont assez patiemment adaptées aux vagues des nouveaux médias se succédant afin de partager l’information dont les usagers avaient besoin. Notamment pour cette raison : des citoyens informés sont les piliers de la démocratie. Les bibliothèques ont évolué à travers l’âge de l’accès (et ce n’est pas terminé), l’âge de la formation et, maintenant, voici que survient l’âge de la participation. Dans ce contexte, les bibliothèques se redéfinissent en tant que projet de curation et de création.

L’âge de la participation correspond aussi au moment où l’accès aux ressources numériques tend à faire décroître les superficies nécessaires pour le stockage des collections. Contre toutes attentes, il semble que la dématérialisation des documents tombe à point car des espaces sont précisément requis pour les nouvelles fonctions entourant la participation créative. L’âge de la participation (ou l’âge du faire numérique) 1. Fêter le patrimoine, mais laisser disparaître le domaine public. Ce week-end, nous célébrons donc les Journées européennes du patrimoine, et vous serez des milliers et des milliers à aller visiter des monuments et des lieux de culture en France.

Fêter le patrimoine, mais laisser disparaître le domaine public

Il faudrait sans doute s’en réjouir, mais je n’y arrive pas. Vraiment pas… Copy Party : Pourquoi, comment, quels outils ? J'ai écrit ce blog entre 2005 et 2018, de nombreux billets peuvent vous intéresser.

Copy Party : Pourquoi, comment, quels outils ?

Désormais je m'occupe de Design des politiques publiques. Retrouvez-moi sur mon nouveau blog ! Symbioses Citoyennes La Copy Party approche ! C’est le 7 Mars 2012. Pourquoi une Copy-Party ? Je l’ai expliqué dans un précédent billet, il ne s’agit en aucun cas d’un appel au piratage, mais d’une manière d’ouvrir le débat sur le rôle des bibliothèques dans un cadre légal et sur la rémunération de la création en phase avec les pratiques actuelles. Une Copy Party pour réaffirmer le rôle des bibliothèques dans la diffusion de la connaissanceLe droit d’auteur est essentiellement un droit d’équilibre, entre les intérêts des créateurs et ceux du public dans l’accès aux œuvres. Où ? Voici le communiqué de presse officiel : (cliquez pour lire l’intégralité!) De la copie privée en bibliothèque. Pour ou contre la copy-party ?

De la copie privée en bibliothèque

Des arguments sont présentés dans le n°2/2012 de la revue Documentaliste-Sciences de l’information, dans un article scindé en deux parties : Copy Party : prendre au mot la loi sur la copie privée et interroger les pratiques en bibliothèque. Officiellement annoncée sur le portail Nantilus de l’Université de Nantes, la première Copy Party, en exclusivité mondiale, va donc bien avoir lieu, mardi 7 mars prochain, à la Bibliothèque Universitaire de la Roche Sur Yon : Sur le site dédié à cette opération, Olivier Ertzscheid, sans qui la Copy Party n’aurait pu avoir lieu, nous explique tout de son histoire, de ses modalités et vous donne des informations pratiques si vous souhaitez vous aussi participer à l’événement.

Copy Party : prendre au mot la loi sur la copie privée et interroger les pratiques en bibliothèque

Silvère Mercier publie ce jour de son côté un billet irrésistible, avec un Storify consacré aux outils de la Copy Party qu’il vous faudra apporter si vous souhaitez profiter pleinement des nouvelles facultés que la loi sur la copie privée confère aux usagers des bibliothèques. Car la Copy Party, c’est avant tout une manière de prendre cette loi au mot, qui a introduit le principe que les copies privées, pour être légales, devaient à présent être effectuées à partir d’une source licite. Like this: J'aime chargement… La copie privée, une licence globale déguisée? Et si la licence globale, dont les ayants-droit ne voulaient pas et qui n'est plus aujourd'hui défendue par grand monde, avait en fait été instaurée il y a longtemps, déguisée en rémunération pour copie privée?

La copie privée, une licence globale déguisée?

C'est, à mots couverts, ce que dénoncent aujourd'hui les industriels du Simavelec (TV, vidéo, Hi-Fi...) et du SNSII (CD et DVD vierges, cartes mémoires, clés USB...). Pour eux, la rémunération pour copie privée - payée in fine par le consommateur - s'est transformée au fil des ans en taxe sur le piratage, la dévoyant de son objectif initial. Ils contestent son montant, et ont bien l'intention de profiter du changement de gouvernement et peut-être bientôt de majorité pour faire entendre leurs doléances. 189 millions d'euros en 2010 Une méthode de calcul opaque. Le cadre juridique de la Copy Party en dix questions. Plus que quelques jours avant la première Copy Party, organisée le 7 mars à la BU de La Roche Sur Yon.

Le cadre juridique de la Copy Party en dix questions

Et l’évènement fait parler de lui ! Une nouvelle rubrique a été ajoutée au site dédié à la Copy Party, dans laquelle j’ai présenté sous la forme d’une FAQ, le cadre juridique de cette manifestation. Copie Privée, la France championne d’Europe. Dans un rapport publié au profit de l’IPO (Intellectual Property Office) et soutenu par l’ESRC (Economic and Social Research Council), un universitaire du nom de Martin Kretschmer a dressé un tableau intéressant.

Copie Privée, la France championne d’Europe

Il est parti des sommes collectées par les sociétés de gestion collectives en 2009 pour rapporter les montants par habitant.