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En Europe, dès le mois de juin, les lobbys prendront définitivement le pouvoir. On peut parler d'entourloupe ou de manipulation, et de déni de démocratie car la Commission Européenne n'a pas à décider pour les peuples. On pourra désormais en tout cas parler d'Europe Bananière. La commission Européenne s'arroge le droit de légiférer dans le fonctionnement du domaine judiciaire, ce qui est totalement en dehors des attributions qui lui sont concédées par les Traités Européens et qui relève totalement de la souveraineté des Etats Européens. De plus , pour être sûr que personne ne soit en mesure de s'y opposer, elle fait en sorte que cette consultation ne soit pas faite dans les langues nationales, en violation totale de toutes les règles de fonctionnement des traités Européens. On peut dans ce contexte parler de tentative de Coup d'Etat par des Non-élus que sont les technocrates de Bruxelles. Ce qui nous attend à court terme. -90 minutes pour prendre connaissance du questionnaire et y répondre, -Réponses et questions ne pouvant être sauvegardées !

Caro pour WikiStrike. TPP : comment les Américains vont aussi bouffer le Pacifique. Cette année, lors de son discours sur l’état de l’Union, Obama a déclaré que le TPP (Transpacific partnership, prononcez « Tipipi ») et l’APT (Accord de Partenariat transatlantique) étaient ses priorités pour 2014. Deux sigles obscurs qui recouvrent deux négociations commerciales autour de deux océans avec un seul acteur commun : les Etats-Unis, soucieux de s’imposer au centre du jeu commercial mondial. Auteur du Choc des empires (1), le journaliste Jean-Michel Quatrepoint estime que le traité transatlantique « est le pendant du traité sur le Pacifique, lancé il y a maintenant trois ans ». Objectif de chacun des traités : créer des zones de libre-échange sans droits de douane mais avec un ensemble de normes communes en matière de règlementations environnementales, de droits et de brevets. La fin de la « Chinamérique » Au début des années 2000, les Américains ne regardent en effet plus du côté de la vieille Europe, mais rêve alors d’un monde dominé par la « Chinamérique ».

Dominique Jamet et DLJ Paris mobilisés contre le Traité transatlantique ! Nicolas Dupont-Aignan réagit au Traité transatlantique en commission à l'Assemblée nationale. Intervention de Nicolas Dupont-Aignan en commission des Affaires étrangères mercredi 14 mai L’Europe a en effet besoin de renouveau. Je voterai les amendements d’André Chassaigne et la résolution. Elle a le mérite de révéler l’engrenage dans lequel nous nous trouvons et de clarifier les positions politiques des uns et des autres. Au Parlement européen, lors du premier vote de 2012 les députés socialistes et PPE ont voté identiquement ; au second vote, les premiers se sont abstenus pour laisser passer la résolution votée par les seconds. Aujourd’hui, seule une suspension des négociations peut amener à changer les choses.

Il y a trois personnalités qui ont changé la politique européenne : – le général Charles De Gaulle avec sa politique de la chaise vide ; – Margaret Thatcher qui bloquait le système pour obtenir son argent ; – Helmut Kohl qui n’a pas informé ses voisins avant de procéder à la réunification allemande. Le traité transatlantique, un typhon qui menace les Européens, par Lori M. Wallach. Imagine-t-on des multinationales traîner en justice les gouvernements dont l’orientation politique aurait pour effet d’amoindrir leurs profits ? Se conçoit-il qu’elles puissent réclamer — et obtenir ! — une généreuse compensation pour le manque à gagner induit par un droit du travail trop contraignant ou par une législation environnementale trop spoliatrice ? Si invraisemblable qu’il paraisse, ce scénario ne date pas d’hier. Il figurait déjà en toutes lettres dans le projet d’accord multilatéral sur l’investissement (AMI) négocié secrètement entre 1995 et 1997 par les vingt-neuf Etats membres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) (1).

Divulguée in extremis, notamment par Le Monde diplomatique, la copie souleva une vague de protestations sans précédent, contraignant ses promoteurs à la remiser. L’accord de partenariat transatlantique (APT) négocié depuis juillet 2013 par les Etats-Unis et l’Union européenne est une version modifiée de l’AMI. Rigueur et compétitivité : un cocktail toxique pour l'Europe. En Europe, le rouleau compresseur des « réformes » néolibérales est placé sous le signe de TINA, le petit surnom de Margaret Thatcher : There Is No Alternative (« il n’y a pas d’alternative »). Le programme des gouvernements, qu’ils soient conservateurs ou sociaux-démocrates, y est partout le même : austérité, compétitivité.

Un dogme scandé à longueur de journée dans les médias, et ce malgré ses résultats catastrophiques : aggravation du chômage, de la crise économique, tensions sociales… à quoi s’ajoute le retour en force de l’extrême-droite. Et pourtant, les alternatives existent. D’importants mouvements sociaux se lèvent en Europe depuis les pays les plus touchés par la crise, qui contestent les privatisations, les reculs sociaux, la mise en pièce de la société et de la nature par le rouleau compresseur néolibéral. Quand la compétitivité intoxique la société « Compétitivité », le mot est sur toutes les lèvres. Mais la compétitivité n’est pas qu’une affaire fiscale ou sociale. Appli : vous ne comprenez rien au traité européen ? On l’a lu pour vous.

Coup d’envoi ce mercredi C’est ce mercredi que le Conseil des ministres examine le projet de loi qui doit permettre de transposer le traité en droit français. Il sera examiné en même temps qu’un projet de loi organique sur le pilotage des finances publiques, qui prévoit, selon Le Monde, la création d’un Haut conseil des finances publiques. Les députés s’empareront des deux textes à partir du mardi 2 octobre.

Au Sénat, où la majorité de gauche est très courte, le soutien d’une partie de la droite sera indispensable à l’adoption du texte. La bénédiction du Conseil constitutionnel constituera la dernière étape. Comment défendre ce que l’on a violemment attaqué ? C’est le casse-tête de François Hollande, condamné à faire ratifier ce mois-ci le traité européen de discipline budgétaire, puis la loi organique mettant en œuvre la « règle d’or » de retour à l’équilibre des finances publiques, qu’il a longtemps combattus.

Texte : Jean-Gabriel Fredet (Le Nouvel Observateur) ; application : Rue89. Sarkozy, Hollande et Bayrou: les traîtres de Lisbonne. En ces temps électoraux, j’ai plaisir à raconter qu’en 2005 je votais pour la première fois. Comment aujourd’hui motiver « la génération 2005 » à glisser son bulletin dans l’urne, quand on voit le sort qui lui est réservé? Comment comprendre que parmi les candidats à la présidentielle de 2012, trois d’entre eux, classés parmi les favoris, comptent parmi ceux qui ont trahi le peuple français? En effet, si en 2005, la majorité des français votait contre le projet de Traité constitutionnel européen, trois ans ont suffi aux responsables politiques pour reprendre la main.

Une date doit rester graver dans les esprits: le 4 février 2008, vote de la réforme constitutionnelle par le Parlement réuni en Congrès. Réforme préalable à la ratification du Traité de Lisbonne, petit frère jumeau du Traité constitutionnel. Sachez, chers concitoyens, que s’il vous arrivait un jour, par mégarde, d’oser stopper ou seulement ralentir le prétendu sens de l’histoire, vos « représentants » choisiront pour vous: 120 économistes disent non au traité budgétaire européen. Un collectif de plus de 120 économistes appelle, dans une tribune publiée mardi dans Le Monde, à dire "non" au traité budgétaire européen, accusant le président François Hollande de commettre une "erreur tragique" en poursuivant la "politique d'austérité" de ses prédécesseurs.

Ces économistes, dont les chercheurs au CNRS Frédéric Lordon et André Orléan, mais aussi Paul Jorion, professeur à la Vrije Universiteit de Bruxelles, et Jacques Généreux, professeur à Sciences-Po et membre du Parti de gauche, estiment que le traité européen sur la stabilité, la coordination et la gouvernance "grave dans le marbre des mesures d'austérité automatiques". Or, selon eux, "l'austérité est à la fois injuste, inefficace et antidémocratique". Il "n'y a en fait apporté aucun changement", car "l'ajout d'un pseudo-pacte de croissance aux montants réels dérisoires" ne change pas la donne, assurent-ils. TSCG - Traité européen : les 5 mensonges d’Ayrault. Afin de faire croire à une renégociation qui n’a jamais eu lieu, Jean-Marc Ayrault multiplie depuis la rentrée les mensonges au sujet du Traité budgétaire européen TSCG.

Car c’est bien le texte signé le 2 mars 2012 par Nicolas Sarkozy qui va être soumis au vote de l’Assemblée nationale début octobre et du Sénat fin octobre. 1/ Mensonge sur la rénégociation du traité Ayrault, le 26 août à l’université d’été PS de la Rochelle : « Les lignes ont profondément bougé. Les choses ont bougé parce que François Hollande a été élu président. » => Pas une ligne, ni une virgule du Traité TSCG n’a bougé depuis son adoption au sommet européen du 30 janvier 2012 puis sa signature par Sarkozy le 2 mars. 2/ Mensonge sur la taxe sur les transactions financières 3/ Mensonge sur la règle d’or Ayrault sur France Inter le 2 septembre 2012 : « Il n’y a pas d’inscription dans le marbre, de cette obligation d’équilibre budgétaire ». 4/ Mensonge sur la souveraineté du parlement => C’est faux car le traité prévoit : Traité budgétaire : Hollande se félicite que la gauche se soit "réunie" pour le vote.

Les députés français ont adopté mardi par 477 voix contre 70 le projet de loi qui autorise la ratification du traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG) au sein de l'Union économique et monétaire. Il y a eu 21 abstentions, tandis que 9 députés n'ont pas pris part au vote. Le traité a recueilli une majorité de gauche des votes exprimés (282 voix de gauche pour une majorité des exprimés à 274 votes). François Hollande a salué mardi la ratification et le fait qu'il ait été adopté sans que les voix de droite aient été déterminantes.

"La gauche s'est réunie pour voter ce traité, elle n'aurait pas eu besoin des voix de la droite", a déclaré le président, qui venait de recevoir à l'Elysée le chancelier autrichien Werner Faymann. Toutefois, le texte n'a pas été voté par une majorité absolue de voix de gauche parmi l'ensemble des députés (celle-ci étant fixée à 289).

Le Sénat examinera à son tour ce projet de loi de ratification à partir du mercredi 10 octobre. Traité européen : la liste intégrale des votes des députés. Les députés français ont adopté mardi par 477 voix contre 70 le projet de loi qui autorise la ratification du traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG) au sein de l'Union économique et monétaire. Il y a eu 21 abstentions, tandis que 9 députés n'ont pas pris part au vote. Le traité a recueilli une majorité de gauche des votes exprimés (282 voix de gauche pour une majorité des exprimés à 274 votes). La majorité absolue de l'ensemble des députés est elle à 289 députés. pour Ci-dessous, groupe par groupe, la liste complète des députés et leur vote Faites dérouler la liste pour trouver un député, cliquer sur une colonne pour trier celle-ci. L’imaginaire défilé anti-traité européen  {*style:<b> Le pacte budgétaire réussit l’exploit de fédérer contre lui des personnalités aux antipodes.

</b>*} Si les opposants à la ratification du pacte budgétaire européen décidaient demain de défiler dans la rue, quelques images seraient pour le moins cocasses. Imaginez Olivier Besancenot et Nicolas Dupont-Aignan main dans la main, ou Marine Le Pen et Razzy Hammadi entonnant, complices comme jamais, les même slogans hostiles au Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG) de la zone euro. Evidemment, ce genre d’images est impossible en réalité. Mais le front anti-traité européen est bel et bien hétéroclite. Le texte fédère contre lui des personnalités aux sensibilités politiques diamétralement opposées. Europe1.fr a imaginé ce que donnerait, de gauche à droite, cet improbable défilé unitaire. Ses arguments. "Ma conviction profonde est que ce traité, comme les autres, se fracassera face au mur des réalités Le PS et l'UMP refusent le débat ?

Dans la peau d’un socialiste noniste. Voici la lettre que le président du groupe « socialiste, républicain et citoyen » Bruno Le Roux a envoyé à ses collègues le 3 octobre dernier. Hier, vingt-neuf d’entre eux n’ont pas obtempéré à cette « invitation » soit en votant contre (20) soit en s’abstenant (9). Je ne sais si l’une ou l’un d’entre eux a souhaité répondre à cette missive. Mais j’imagine en revanche ce que moi, dans cette situation, j’aurais écrit en retour. Monsieur le Président, Cher collègue, Le 3 octobre dernier, tu as bien voulu m’inviter à me conformer à la discipline de groupe dans le cadre du vote solennel de ratification du Traité Merkozy et de celui de la loi organique qui suivra. Tu rappelles aussi le besoin de cohérence de la majorité. J’en viens enfin à évoquer ce qui ne figure pas dans ton courrier mais qui m’est donné à comprendre depuis des jours par des allusions de ton entourage ici à l’Assemblée ou des messages ambigus en direction d’élus de mon département.

Fidèlement. Le PS se renie sur le TSCG ! Le Mécanisme européen de stabilité, une construction à caractère fasciste. Traité européen : ceux qui ont voté contre. Au Parti socialiste La semaine dernière, ils étaient treize à s'opposer au pacte budgétaire européen, officiellement appelé le TSCG, lors du vote du groupe socialiste à l'Assemblée nationale. Après avoir envoyé une missive aux députés, Bruno Le Roux, patron des députés socialistes, espérait mardi matin que le nombre de voix de gauche passe la barre des 50% de députés (soit 289 sur 577). Finalement, 282 élus de gauche ont adopté le texte, 45 l'ont rejeté dont... 20 voix dans le groupe PS. Soit plus qu'attendu. La plupart des élus socialistes l'ayant rejeté sont membres de l'aile gauche du parti, à commencer par Pascal Cherki ou Jérôme Guedj, qui faisaient la publicité de leur position. Se sont abstenus : Isabelle Bruneau, Olivier Dussopt, Daniel Goldberg, Régis Juanico, Jean-Philippe Mallé, Dolores Roqué, Suzanne Tallard, Stéphane Travert et Michel Vergnier.

Chez Europe Ecologie - Les Verts Chez les communistes Groupe radical, républicain, démocrate et progressiste A l'UMP. Analyse du scrutin n°30 - Première séance du 09/10/2012. Traité MES, Pacte budgétaire, Six-Pack, TSCG, Two-Pack: c'est quoi tout ca? Huit ans après le TCE, le cancer européen progresse encore.