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Music on line

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L’industrie de la musique à l’ère du digital. L’internet a complètement révolutionné l’industrie de la musique en lui offrant le mode numérique. Ce dernier représente désormais 20% du marché total selon le Syndicat national de l’édition phonographique (Snep) avec une progression de 3 %, (37,6 millions d’euros pour le premier semestre 2009), par conséquent les ventes de CD ont chuté de 15 à 20% en 2008 selon toujours le Snep.

Le premier coupable de la chute des ventes, désigné par l’industrie de la musique, est le téléchargement illégal, qui représente une vraie menace, étant donnée que c’est l’un des produits de substitution; l’une des cinq forces de Porter qu’on essayera de traiter. Toutefois la vente des jeux vidéo est en hausse, de plus en plus, les gens passent plus de temps à jouer qu’écouter de la musique. Paradoxalement l’Internet peut stimuler les ventes de CD, selon une analyse (Gopal, Bhattacharjee et Sanders (2006)) ; les internautes consomment du titre, il se concentre sur le “single”, sur le “hit”. Youcef Ait Ighil. MusicMe - Médiathèques 2012.

Présentation Deezer 2012 - William Belle. Microsoft, prochain géant de la musique en ligne ? Microsoft défie (encore) Apple en s'incrustant sur le marché de la musique en ligne. La firme de Redmond a annoncé, lundi 15 octobre, une mise à jour de son service de musique pour sa console Xbox 360, et une extension de celui-ci au futur Windows 8.

Baptisé "Xbox Music", ce service propose au choix de télécharger de la musique ou d'écouter des morceaux en streaming. Microsoft marche ainsi sur les plates-bandes à la fois de l'iTunes d'Apple, roi du téléchargement de musique, et des services d'écoute en direct Deezer et Spotify. Plus de 30 millions de morceaux pourront être écoutés gratuitement mais avec des publicités, ou sans nuisance contre un abonnement de 9,99 dollars par mois (ou 99,99 dollars par an). "Microsoft va jouer dans la cour des très grands" "Il s'agit d'une offre très sérieuse qui devrait inquiéter la concurrence", estime Philippe Torres, responsable conseil et stratégie numérique de L'Atelier-BNP Paribas.

"Microsoft n'a pas d'avenir dans la musique" Que nenni ! La diffusion de musique sur Internet, un univers d'astuces et de compromis. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Guénaël Pépin La musique en ligne gagne en qualité… techniquement. Dans la dernière mise à jour de son logiciel de synchronisation iTunes, Apple a doublé la qualité maximale autorisée pour la musique diffusée sur les iPod, iPhone et iPad via son service de stockage iTunes Match.

Ce mouvement met en lumière les contraintes techniques avec lesquelles doivent composer les services de streaming musical, comme Deezer ou Spotify, pour faire la balance entre coûts et qualité face à l'augmentation du nombre de leurs utilisateurs. Les services légaux comptent leurs abonnés en millions. Avec de tels volumes, les besoins de ces services ne cessent de croître, notamment en termes d'innovation technique. Le service anglais de recommandation et de radios personnalisées Last.fm diffuse les morceaux en MP3 128 kbps (128 kilobits par seconde, soit 16 kilo-octets), le compromis "standard" entre poids et qualité de rendu. Musique en ligne: le numérique réalise 25% du marché. Les chiffres clés et faits marquants du marché de la musique enregistrée en France en 2012, selon les données dévoilées lundi au Midem par le Snep, principal syndicat des producteurs de disques, font état d'un marché global (ventes éditeurs de CD/DVD musicaux nettes de remises, revenus numériques et droits voisins) en baisse de 4,4% par rapport à 2011, 589,7 millions d'euros.

Au sein de ce marché, les ventes physiques ont reculé de 11,9% (CD et DVD) à 363,7 millions d'euros. Les ventes dématérialisées (streaming, téléchargement) sont en hausse de 13% à 125 millions d'euros. Et les recettes issues des droits voisins (perçus pour la diffusion de titres en radio, dans les lieux sonorisés, pour la copie privée) ont progressé de 7,5%, à 101 millions d'euros. Le streaming représente 42% des revenus du numérique Les abonnements à des services de musique en ligne ont bondi de 36,6% en 2012 et les revenus du streaming financé par la publicité ont progressé de 22,9%. (12) Musique en ligne, International, Majors - Facebook vient défier Apple dans les contenus Dans la musique, Facebook a obtenu le soutien de nombreuses plateformes d'écoute en ligne, dont Rhapsody, Rdio, Spotify et le français Deezer. [...] L'application musique permet d'écouter en direct un morceau écouté par un ami. En matière de vidéo et pour son service Watch, Facebook a noué des partenariats avec les sites américains Hulu et Netflix ainsi qu'avec la plate-forme française de partage de vidéos Dailymotion. [...]

Et voila que maintenant il fait des partenarit a la pelles pour jouer des couteaux contre apple pour ce qui est des musiques en ligne et les reste et quand on pense que google se met lui aussi a créé un résaux social pour copier facebook qui en fin de compte ne ressemble a rien a facebook. [...] «La loi Lang doit s'appliquer au livre numérique» Les éditeurs de musique ont commis une erreur très importante. celle de verrouiller et de limiter le développement du marché de la musique en ligne. [...] La musique en ligne : Actus, Dossiers et Forum sur Clubic. High-Tech : Le cri de détresse de la musique en ligne française.

Les plates-formes musicales s'estiment lésées face aux géants du Web et demandent des mesures d'urgence. Les services français de musique en ligne veulent arracher les moyens de survivre. À quelques jours du Midem, le marché international de la musique qui se tient à Cannes, ils s'estiment étranglés par les trop faibles marges laissées par les ayants droit et désavantagés face aux géants du Web. Le succès du français Deezer et de son rival suédois Spotify masque en effet la fragilité du secteur. L'an dernier, la Fnac a abandonné sa musique en ligne à iTunes, tandis qu'AlloMusic a fermé. «Aujourd'hui, il n'y a plus de place pour de nouveaux entrants, ni d'espace économique pour se développer», avertit Axel Dauchez, patron de Deezer et président du Syndicat des éditeurs de service de musique en ligne (ESML), qui regroupe des sites comme MusicMe, Beezik, Virgin Mega, mais aussi Orange et SFR.

Les plates-formes françaises formulent une série de propositions. Un fonds d'urgence. "Taxe Google" pour la musique: les majors s'expliquent. A la veille de l'ouverture ce samedi à Cannes du Midem, le rendez-vous annuel de l'industrie musicale mondiale, la filière multiplie les prises de parole pour demander à son tour une compensation financière des acteurs de l'internet tels que Google. Le PDG d'Universal Music France Pascal Nègre, le directeur général de la Sacem Jean-Noël Tronc, l'Union des producteurs français indépendants, et le Snep, qui représente les grandes maisons de disque, sont tous montés au créneau, dans le sillage des éditeurs de presse qui ont obtenu l'ouverture de négociations avec Google, sous l'égide du gouvernement.

"Il n'est pas logique que toute la valeur ajoutée produite par l'ensemble des acteurs soit captée uniquement par une seule catégorie d'acteurs. (...) (La filière musicale) alimente le débat et une certaine forme de pression", a déclaré Fleur Pellerin, ministre déléguée à l'Economie numérique, lors de l'émission "Preuves par trois" AFP/Public Sénat. Nous sommes en train de le chiffrer. Vente-privee.com va se lancer dans la musique en ligne en 2013. Le groupe français de déstockage en ligne vente-privee.com va se lancer dans la musique en ligne et la coproduction de concerts en 2013, a annoncé mercredi son P-DG Jacques-Antoine Granjon, confirmant une information de Challenges.

"On est effectivement en train de travailler sur une solution de téléchargement de musique en ligne. Nous espérons pouvoir lancer cette opération au cours du premier trimestre 2013", a expliqué le P-DG du site, qui propose déjà des CD et des places de concert. Le site vente-privee.com devrait ainsi proposer à ses clients de télécharger des musiques et des albums de plusieurs artistes via des sites de téléchargement partenaires. "Cela restera des produits proposés à prix réduit comme on le fait déjà par ailleurs sur l'ensemble du site. Ce sera des opérations événementielles, donc ponctuelles et ne concernant que quelques artistes. "Nous ne sommes aucunement dans un esprit de concurrence vis-à-vis des majors.

Le gouvernement divisé sur la "taxe Google" pour la musique. Alors que la filière musicale demande la création d'une "taxe Google", Aurélie Filippetti s'est dite déterminée à faire participer les acteurs de l'internet au financement de la création, tout en se montrant prudente sur les mécanismes à mettre en oeuvre, dimanche au Midem. Depuis plusieurs jours, l'industrie musicale demande que les acteurs de l'internet compensent le "transfert de valeur" qui s'opère selon eux au détriment des industries culturelles, par exemple sur le modèle de la "taxe Google" qu'essaient d'obtenir les éditeurs de presse.

"Ce n'est pas de la subvention" "Aujourd'hui, les grands acteurs de l'internet doivent participer au financement de la création, comme dans les années 80 on a mis à contribution les chaînes de télés pour pré-financer le cinéma", a affirmé la ministre de la Culture dans un entretien à l'AFP.

"D'une part, il n'est pas normal que des entreprises bénéficient de distorsions fiscales parce que c'est de la distorsion de concurrence. " Actualités - signature de l’accord médiation Hoog. Frédéric Mitterrand se félicite de la signature de l’accord « 13 engagements pour la musique en ligne », concluant la médiation qu’il avait confiée en février dernier à Emmanuel Hoog sur la gestion des droits de la musique en ligne. Le 17 janvier, Frédéric Mitterrand avait reçu les signataires de cet accord, entérinant ainsi la médiation que le Ministre avait confiée en février dernier à Emmanuel Hoog sur la gestion des droits de la musique en ligne.

Des avancées majeures. L’accord comporte des avancées majeures, sous la forme de mesures concrètes immédiatement applicables. Il permettra de favoriser l’accès aux droits des éditeurs de services de musique en ligne, dans des conditions plus stables, plus équilibrées, et plus transparentes, s’agissant en particulier des conditions générales de ventes, des mécanismes d’avance et de minima garantis.

Touspourlamusique.org. MusicMe. Musique en ligne : Le lancement du portail « Armonia » par la SACEM. Alors qu'un projet de directive se dessine à l'échelle européenne afin de promouvoir l'usage de la musique sur Internet, la France, l'Espagne et l'Italie créent le portail ARMONIA. Qui n’a jamais pesté, comme amateur de musique, contre l’étroitesse des catalogues de musique en ligne (ex, Apple ou Amazon, Spotify, Deezer, etc.), le peu de concurrence du marché et les prix peu attractifs, à l’heure où nos disquaires de quartier ont été remplacés par un Nicolas ou un Sushi Shop, et où le mythique Virgin des Champs-Elysées fait faillite ?

Je parle bien sûr de ceux qui, comme votre serviteur, ne font pas profession de télécharger ou écouter illégalement de la musique sur internet, par principe et respect des créateurs, ou n’ont pas le goût de télécharger des logiciels pirates qui inondent le bel ordinateur familial de virus à tête de mort, ni de surfer sur des sites abreuvant tout un chacun de pop-up en cascade et autres publicités suggestives. Notes de bas de page: