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Historique - L'Apparition du Cinéma en France. Tout commence en 1895, quand, au milieu de nombreuses autres inventions, deux ingénieux bricoleurs, nommés Auguste et Louis Lumière, mettent au point leur cinématographe : un étrange appareil permettant d'enchaîner des images à une vitesse suffisante pour leur donner vie. Se doutent-ils, le 28 décembre, au grand café du boulevard des Capucines à Paris, lors de la toute première projection, qu'ils faisaient naître ce que l'on désignera plus tard comme la septième forme de la création artistique? Toujours est-il qu'en ce début d'hiver, les curieux qui s'aventurent à payer 1 franc, pour voir 10 films d'une minute environ chacun, sont rares et l'on ne compte pas plus de deux spectateurs par séance. Pourtant, dès le lendemain, sans qu'aucune publicité ne soit faite, à croire que le bouche à oreille a bien fonctionné, de plus en plus de monde, intrigué par cette petite révolution, se presse aux portes de la salle obscure improvisée.

Histoire du cinéma. Rouleaux narratifs Le principe du « rouleau narratif », grand dessin panoramique déroulant sur papier ou sur soie, fut largement utilisé en Chine et au Japon à partir du Xe siècle par des conteurs comme support narratif. Ces grands dessins cinétiques, servaient à planter le décor, à suivre la progression de l'intrigue et permettait aux spectateurs de voir les déplacements du héros dans les dédales des palais ou des villes… Il pouvait bien sûr y avoir un rouleau pour chaque « plan séquence » du récit, et être accompagné ou non par des musiciens.

Théâtre d'ombres Le théâtre d’ombres, quant à lui, est un art très ancien représenté dans tous les pays du monde. Il utilise principalement deux types de marionnettes : celles qui jouent directement à la vue du public celles dont l’ombre, projetée par une source lumineuse, se découpe sur un écran (silhouettes découpées ou personnages formés par l’ombre de la main). Suite > Une histoire du tourisme. D'un luxe de riches à un loisir de masse. Les hommes ont toujours voyagé. Migrations de peuplement, conquêtes militaires, échanges commerciaux, pèlerinages religieux mettent en mouvement des hommes et, dans une moindre mesure, des femmes, depuis des temps immémoriaux. Mais les curiosités et l'éventuel plaisir de la pérégrination ne sont alors que des à-côtés du voyage, et non sa raison d'être.

Le tourisme - c'est-à-dire le voyage d'agrément - est apparu à la fin du XVIIe siècle en Angleterre. Les aristocrates anglais ont inventé la plupart des pratiques touristiques actuelles: aussi bien le tourisme culturel que le tourisme thermal; et ce sont eux qui ont "découvert" que la mer et la montagne, des milieux jugés auparavant hostiles à l'homme, lui offraient d'extraordinaires bains de jouvence et terrains de sport. Quatre siècles plus tard, le tourisme est devenu un loisir de masse. Mais au-delà de l'effet de nombre, les motivations de l'homo touristicus contemporain ne diffèrent guère de celles de ses prédécesseurs. Commentaires. Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales. Vacances - Loisirs. Du sport aux activités physiques de loisir : des formes culturelles et sociales bigarrées. 1Le sport, véritable vitrine des activités physiques, n'est pourtant qu'un maillon de la chaîne des pratiques physiques.

Des activités formelles aux activités informelles, une multitude de pratiques couvre le champ de la motricité ludique. Toutefois, avant de s'intéresser aux différentes formes de pratiques physiques qui jalonnent l'espace des jeux sportifs dans notre société moderne, il est indispensable de bien discerner l’originalité de l'espace des pratiques motrices ludiqueset d’en définir les contours. 1 . Situation motrice : « Ensemble de données objectives et subjectives caractérisant l'action motric (...) 2De prime abord, cet espace concerne des pratiques physiques liées de façon exclusive à des jeux sportifs et, en aucun cas, des activités motrices assimilées à un quelconque travail dans le cadre d’une vie professionnelle « classique ». 2 . 3 . Tableau 1 : Traits distinctifs attestés (●) de façon différentielle dans plusieurs situations sociales-types (Parlebas, 1981, p. 245).