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Interwrite - Insérer un fichier vidéo. Le tableau numérique interactif est un dispositif pédagogique résolument multimédia. Face au tableau, le professeur peut, d’un simple clic, lancer l’exécution d’une vidéo. Il lui suffit, pour cela, d’avoir prévu, lors de la préparation de son cours, l’accès au document désiré, selon les cas, soit à partir d’une page du tableau soit directement en lançant un lecteur vidéo installé sur l’ordinateur. Il pourra, s’il le souhaite, pendant le déroulement de la vidéo, effectuer des pauses, réaliser des annotations qu’il décidera d’effacer ou non à la reprise de la lecture...

Lecteurs multimédias intégrés (1) Certains TNI proposent un lecteur spécifique possédant ses propres outils d’annotation. Lecteurs multimédias intégrés (2) ... d’autres sont plus simples et ne possèdent qu’une barre de contrôle. Insérer un fichier audio. Le tableau numérique interactif est un dispositif pédagogique résolument multimédia. Face au tableau, le professeur peut, d’un simple clic, lancer l’exécution d’un document sonore. Il lui suffit, pour cela, d’avoir prévu, lors de la préparation de son cours, l’insertion du document désiré dans la page appropriée du tableau. Le logiciel Interwrite Workspace propose trois façons d’intégrer un fichier audio à une page de tableau : à l’aide de l’outil Fichier audio, par un lien vers un fichier son, par un lien vers un fichier (sans préciser la nature du fichier).

Selon la méthode, il faudra tenir compte de l’intégration ou non du fichier audio dans le fichier du tableau. Ceci est important pour le transport des fichiers d’un ordinateur à l’autre. Outil Fichier audio Lorsque l’on utilise, pour insérer un fichier audio dans une page de tableau, l’outil Fichier audio, on insère dans la page du tableau un lecteur audio (un magnétophone) spécifique au logiciel Workspace. Lien vers un fichier son. Le TNI, qu'est-ce que c'est ? - Doctice - Technologies de l'Information et de la Communication pour l'Enseignement. Avec l’arrivée du Tableau numérique interactif (TNI), de nouvelles pratiques et de nouveaux usages pédagogiques se développent. Le Tableau numérique interactif n’est pas l’outil qui rendra ringard le « tableau noir », mais son complément idéal. Le dispositif, simple, se compose de trois éléments indispensables : un tableau numérique, un vidéoprojecteur et un ordinateur.

L’enseignant pilote son ordinateur depuis le tableau grâce au stylet servant de souris et utilise les multiples fonctions du logiciel accompagnant le TNI : conservation de tous les écrits, annotations, bibliothèque d’images, de sons, de vidéos, etc. L’enseignant dispose d’une mine d’informations et prépare les leçons sur son ordinateur en insérant tous les documents qu’il aura choisis (vidéos tableaux animés, cartes, images, son...). Un cours plus vivant ! Il y a un an, le collège a fait l’acquisition d’un tableau numérique.

Vidéos. L'interactivité/interaction en classe avec le TBI. En associant la dimension d’interactivité à cet objet technique qu’est le tableau numérique, les concepteurs se sont en quelque sorte piégés : en effet si l’interactivité porte initialement sur la relation que l’usager entretien avec le tableau (et donc l’ordinateur associé), elle s’est aussi invitée dans la classe, c’est à dire dans la relation pédagogique : si le tableau est interactif, alors la classe le serait aussi ! Or ce n’est pas vraiment le cas… A regarder les vidéos d’usage, à lire les nombreux documents, ont peut indiquer qu’il y a trois catégories de situations principalement mises en place : celles dans lesquelles l’enseignant interagit seul avec l’écran/tableau, celles dans lesquelles ce sont les élèves qui passent, un par un, au tableau et qui interagissent, et celles dans lesquelles le tableau est utilisé pour accompagner l’interactivité du groupe classe.

Dans le cas présent, c’est la question de l’interactivité qui est au centre. A poursuivre B Devauchelle. Histoire des TBI. Avec 14000 TBI prévus en France à la fin de 2008, on est encore très loin des 400 000 du Royaume-Uni qui aura équipé 100% des salles de classes en 2010. Fin 2007, l'arrivée des tableaux interactifs à points de contact multiples ouvre de nouveaux horizons à la pédagogie.

Cela se traduit par exemple, par la première place prise par la société Hitachi en France au cours du premier semestre 2008 avec 47,8% du marché, pour la première fois devant Promethean qui occupait traditionnellement 1/3 de ce marché. Les produits multipoints devraient arriver à la fin 2008 chez les concurrents, soit un an plus tard. Par ailleurs, l'accord cadre signé par la société InterWrite Learning consistant à offrir 31 TBI aux IUFM et à favoriser la distribution de son logiciel gratuitement aux enseignants pourrait infléchir encore le marché qui est riche en rebondissements...

C'est aussi une caractéristiques des marchés émergents. Lignes d'usages - Les vidéos passent au tableau. Un confort visuel Lorsque, pour diffuser des vidéos, on utilise l’écran d’un téléviseur, le confort visuel n’est pas satisfaisant du fait de la dimension réduite de l’écran et de la taille des salles de classe. Seuls les élèves des premiers rangs voient les détails, ceux des derniers rangs font confiance à la parole de l’enseignant.

L’utilisation d’un vidéoprojecteur apporte un confort indéniable, la projection d’une œuvre peut se faire dans de très bonnes conditions, à la condition toutefois de disposer d’une surface de projection adaptée (au minimum un mur blanc, à défaut d’un écran). Le recours à un tableau numérique offre un cadre technique de grande qualité. En effet, le support de projection ne souffre ni des aspérités d’un mur ni des reflets ou des éblouissements provoqués par la projection sur un tableau blanc traditionnel. De plus, les TNI sont munis d’enceintes offrant une qualité sonore indéniable. Des annotations visibles Des instantanés… en mémoire. Lignes d'usages - Dévoiler progressivement des éléments de cours. Lorsqu’on devient un utilisateur régulier d’un tableau numérique interactif, on prend l’habitude de préparer à l’avance des pages de tableau contenant des éléments du cours que l’on souhaite montrer à certains moments prévus dans le déroulement de la séance.

On construit ainsi la trame de son cours sur plusieurs pages de tableau rassemblées dans un fichier « tableau blanc », fichier propre au tableau utilisé (un fichier d’annotation pour Interwrite, un fichier paperboard pour Promethean, un fichier notebook pour SMART, un Bloc-notes pour Mimio…). Le Rideau et le Projecteur À certains moments du cours, on peut souhaiter ne pas montrer la totalité d’une page de tableau et ne dévoiler son contenu que progressivement. On peut alors utiliser le Rideau. Celui-ci masque la totalité de l’écran et peut être ouvert horizontalement (de haut en bas ou de bas en haut) ou verticalement (de gauche à droite ou de droite à gauche).

Les limites du Rideau Une solution Des animations plus complexes... Zoom sur... - Un TNI, comment ça marche ? Un tableau numérique interactif (TNI) est un dispositif technique composé d’une surface de projection (le tableau), d’un ordinateur, d’un vidéoprojecteur et d’un logiciel qui « pilote » l’ensemble. Face au tableau numérique interactif, on se trouve devant l’image projetée de l’écran de l’ordinateur. Lorsque l’on agit sur le tableau, on utilise un système de pointage (le stylet électronique) analogue à celui utilisé sur l’ordinateur (la souris, le pavé tactile, etc.).

Ce système doit être en parfaite correspondance avec celui de l’ordinateur : la pointe du stylet doit être alignée, avec précision, sur le curseur à l’écran. Le calibrage Cette correspondance se fait par une opération que l’on nomme calibrage (Pour en savoir plus, consulter la MédiaFICHE "calibrer son tableau") . C’est la première opération à conduire après l’installation d’un TNI.

Lorsqu’on lance cette opération, une grille constituée d’un ensemble de points de repères apparaît. Le pointage La connexion La résolution d’écran. Plateforme pédagogique ESPE.