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Entreprise2.0

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Entreprise 2.0 > Vers une vision plus mature de l’Entreprise 2.0. Voilà 2 ans que je rédige ce blog et 3 ans 1/2 que j’ai rédigé ma grande définition de l’Entreprise 2.0.

Entreprise 2.0 > Vers une vision plus mature de l’Entreprise 2.0

Depuis tout ce temps, les mentalités, pratiques et théories ont eu largement le temps d’évoluer. Si je devais résumer cette évolution, je dirais qu’elle repose sur 3 notions-clés (les outils, les processus métier et les collaborateurs) marquant les stades d’évolution de l’Entreprise 2.0 en tant que notion. La première étape correspond à une découverte de nouveaux outils (blog, wiki, réseaux sociaux, plateforme de collaboration…). C’est dans ce contexte que j’ai rédigé mon article fondateur qui dresse (entre autres) une liste exhaustive de ces outils. Ce qui nous mène à la seconde étape où il est question d’injecter des pratiques “2.0″ dans les processus métiers. Tout ceci est très intéressant, mais entre les outils et les processus, il manque tout de même un ingrédient essentiel : les collaborateurs. Entreprise 2.0: la tentation de l’utopie » Article » OWNI, Digital Journalism. Fervent défenseur de l'Entreprise 2.0, Cecil Dijoux nous explique qu'il n'est pas impossible de convaincre un milieu plutôt rétif en France à changer ses habitudes.

Entreprise 2.0: la tentation de l’utopie » Article » OWNI, Digital Journalism

De l'angélisme pragmatique. Parmi les activistes Entreprise 2.0, il y a deux familles : les révolutionnaires et les évolutionnaires [en]. Pour les premiers, il ne fait aucun doute que les plateformes collaboratives émergentes sont des outils révolutionnaires et que leur intégration au sein des entreprises va avoir des conséquences spectaculaires sur l’organisation de ces dernières. Pour les seconds, ces outils doivent s’intégrer aux processus existants car, révolutionnaires ou pas, l’objectif de ces outils est d’apporter quelque chose de quantifiable à l’entreprise.

Les premiers ont parfois tendance à être transportés par une certaine ferveur pouvant devenir embarrassante, et sont parfois taxés par les seconds d’utopisme, d’angélisme ou de niaiserie. Entreprise 2.0 vs les Bisounours Ce billet est inspiré par deux articles. L’entreprise entre sentiment d’appartenance et besoin de posséder. Résumé : on parle beaucoup du besoin de renforcer le sentiment d’appartenance du collaborateur.

L’entreprise entre sentiment d’appartenance et besoin de posséder

Une notion comprise de tous mais à la mise en œuvre complexe : l’appartenance (et est-ce le mot adéquat) est le fruit d’une adhésion partagée des uns et des autres à un projet alors que l’entreprise, dans sa volonté de sécuriser les choses a souvent tendance à essayer de posséder le salarié. Avec les effets totalement inverses sur la motivation et l’implication des uns et des autres.

Que l’on parle d’appartenance, d’engagement ou de quoi que ce soit d’autre, une politique RH 2.0 allant dans le bon sens se doit d’essayer de rapprocher plutôt qu’isoler, enfermer et posséder. Pas si évident. On dit nombre de salariés en manque de repères, à la fois dans leur vie professionnelle et personnelle mais également dans l’articulation entre les deux.

Parce que parler d’appartenance est une chose, mais savoir à quoi on appartient en est une autre. Appartenir à l’entreprise ? Appartenir à un groupe ?