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Crowdsourcing

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Wired 14.06: The Rise of Crowdsourcing. Remember outsourcing? Sending jobs to India and China is so 2003. The new pool of cheap labor: everyday people using their spare cycles to create content, solve problems, even do corporate R & D. By Jeff Howe« back Page 4 of 4 Seeing that the company’s most successful products were a result of collaboration between different divisions, Huston figured that even more cross-pollination would be a good thing. Meanwhile, P&G had set a goal of increasing the number of innovations acquired from outside its walls from 15 percent to 50 percent. Six years later, critical components of more than 35 percent of the company’s initiatives were generated outside P&G. Story Tools Story Images Click thumbnails for full-size image: P&G is one of InnoCentive’s earliest and best customers, but the company works with other crowdsourcing networks as well. 4.

In the late 1760s, a Hungarian nobleman named Wolfgang von Kempelen built the first machine capable of beating a human at chess. La montée du “crowdsourcing” Après la mode de l’externalisation (outsourcing) qui, pour beaucoup d’entreprises high-tech a consisté à faire réaliser leur travail en Inde et en Chine à coûts réduits, voici venu le temps du crowdsourcing, qu’on pourrait traduire par « l’approvisionnement par la foule ». Le principe de fonctionnement de ces nouvelles entreprises est simple : utiliser le temps disponible des gens pour créer du contenu, résoudre des problèmes, voire même faire de la R&D, explique Jeff Howe pour Wired. Au travers de quatre exemples, il montre comment le monde du travail se transforme à l’heure des réseaux et se redessine, en partie, dans son management et son économie. Le succès est au rendez-vous : les revenus d’iStockphoto augmentent de 14 % par mois et le service indexe déjà quelques 10 millions d’images.

Le principe est simple : les amateurs arrondissent leurs fins de mois et les clients arrondissent leurs marges en payant moins cher les photos qu’ils utilisent. 1. Qu’en conclure ? Hubert Guillaud. Le gouvernement britannique mise sur le crowdsourcing. Depuis les élections présidentielles américaines, nous entendons parler de plus en plus de Politique 2.0. Suite à cette démonstration du candidat Obama, un peu partout dans le monde, des démarches communautaires ont été mises en place au niveau gouvernemental, au sein de partis politiques, etc. C’est un thème très intéressant où tout reste encore à faire comme l’ont souligné les contributeurs des différents plateaux de Techtoc.tv (Politique(s) 2.0 : upgrade vertueuse ou régression paradoxale ?

Épisode 1 / épisode 2 – E-Gouvernement : qu’est-ce qu’on attend ? ). Le gouvernement britannique souhaite mettre le citoyen au cœur des débats : En tout cas, c’est la volonté affichée par Nick Clegg – Vice 1er ministre du gouvernement de coalition – qui annonçait aux britanniques le 1er Juillet dernier la mise en place d’un projet de crowdsourcing sans précédent au royaume uni. Il va même jusqu’à présenter le projet comme « le plus grand bouleversement depuis le projet de Grande réforme de 1832 ».

Crowdsourcing.