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NASA. BBC Science. New Scientist | Science news and science articles from New Scientist. Science UK | LearnEnglish Teens. Passeur de sciences | Petites et grandes nouvelles dans l'actualité des sciences et de l'environnement. Physique-Chimie. Fossil Rock Anthem. Les évolutions de l'homme - Les ancêtres de l'homme. Présenter l'arbre généalogique de notre espèce et des autres hominidés n'est pas d'une grande simplicité ! L'évolution de l'homme est assez souvent comparée visuellement à un buisson ou à un arbre.

Une fois notre lignée séparée des grands singes il y a 7 millions d'années, plusieurs branches avec de nouvelles espèces d'hominidés s'écartent, se rapprochent, s'arrêtent brusquement... pour finir (?) Avec une seule espèce depuis quelques milliers d'années : Homo sapiens. Toute cette évolution n'est pas linéaire, beaucoup de lignées ont disparu sans laisser de descendance (comme les paranthropes), alors que d’autres sont apparues sans que l’on ait encore retrouvé leurs ancêtres. Des fossiles et de... l'ADN ! L’« homme de Flores », alias le « Hobbit », aurait disparu bien plus tôt qu’o... LE MONDE | • Mis à jour le | Par Hervé Morin Quand donc l’« homme de Flores » a-t-il disparu, et pourquoi ? On pensait jusqu’alors qu’Homo floresiensis, un fossile découvert en 2003 dans une grotte de l’île de Flores, en Indonésie, s’était éteint il y a environ 12 000 ans, à une époque où l’homme moderne était présent depuis longtemps dans la région.

Ce scénario est aujourd’hui remis en question par de nouvelles datations présentées dans la revue Nature. L’équipe responsable des fouilles initiales dans la grotte de Liang Bua a réétudié la stratigraphie du site, et considère désormais que le « Hobbit », ainsi surnommé en raison de sa petite taille (1,06 mètre), y a vécu entre − 100 000 et − 60 000 ans. Lire (en édition abonnés) : « Homo floresiensis » n’était pas malade Une espèce minuscule Cette surface a ensuite été recouverte par de nouveaux sédiments au cours des derniers 20 000 ans, et malheureusement, ce sont ces strates qui avaient été retenues pour les datations initiales. Decouverte de "Toumaï": premier fossile de la lignée humaine.

Comparaison Homme-chimpanzé. INFOGRAPHIES. Qui est "l'Homo naledi", découvert cette semaine en Afrique du ... Par Nicolas Enault Mis à jour le , publié le Est-il le chaînon manquant ? L'Homo naledi, découvert dans une grotte d’Afrique du Sud, pourrait être un trait d'union entre le genre Homo et celui des australopithèques. Il s'agirait d'une "nouvelle espèce du genre humain" selon les paléontologues qui l'ont présenté au public jeudi 10 septembre et qui l'ont classé dans le genre Homo, auquel appartient l'homme moderne sous l'appellation Homo sapiens. Il présente des caractéristiques avancées : des pieds modernes adaptés aux longues marches et des mains qui laissent supposer qu'il avait la capacité de manier des outils. Mais aussi des traits propres aux australopithèques, comme la célèbre Lucy : épaules et pelvis primitifs, et phalanges incurvées pour grimper aux arbres.

Quant à sa boîte crânienne, si elle présente une forme humanoïde avancée, elle reste deux fois plus petite que celle d'un humain moderne : 560 cm3 contre 1 650 pour les premiers sapiens et 1 350 pour l'homme actuel. Découverte d’un nouvel australopithèque en Ethiopie. Le passé des hominidés est décidément foisonnant de diversité : la découverte d’un nouvel australopithèque, Australopithecus deyiremeda, vient d’être annoncée dans la revue Nature du jeudi 28 mai. Vieux de 3,4 millions d’années, il vivait en Ethiopie à la même époque que les australopithèques de l’espèce afarensis, dont la célèbre Lucy, mise au jour à 35 km de distance seulement.

Mais il était aussi le quasi contemporain de plusieurs autres hominidés peuplant alors l’Afrique. Le nouveau venu a été découvert en mars 2011 par l’équipe de Yohannes Haile-Selassie (Muséum d’histoire naturelle de Cleveland, université Case Western Reserve), dans la région de l’Afar, à quelques centaines de kilomètres au nord-est d’Addis Abebba. Il n’est connu que par des fragments de mâchoires et quelques dents, appartenant à au moins deux individus, qui émergeaient à la surface du sol. Sa découverte va de fait compliquer un peu plus le tableau de famille des hominidés à cette époque, le pliocène moyen. Australopithecus sediba, nouvel australopithèque d'Afrique du Sud. C'est dans le numéro d'avril 2010 de la revue Science qu'une équipe internationale menée par des chercheurs de l'université du Witwatersrand (Afrique du Sud) a présenté les premières analyses de deux homininés fossiles découverts dans une grotte d'un massif dolomitique du Nord-Ouest de Johannesburg, à 15 km au NNE d'un autre site bien connu, Sterkfontein.

Un premier article [1] décrivait les fossiles, tandis qu'un second se concentrait sur le contexte géologique du site [4]. Ces deux nouveaux spécimens viennent compléter le riche registre d'Homininés extraits des formations sud-africaines, dans lequel figurait déjà plusieurs australopithèques sensu stricto, notamment Australopithecus africanus, et des australopithèques « robustes », ou Paranthropes (souvent considéré comme un groupe monophylétique issu des australopithèques), comme Paranthropus robustus (Figure 1). Le site et le cadre géologique et chronologique L'article de 2011 de R. Remarque. Selon Lee R. T. Quand l'évolution change le temps des êtres. Evolution of life - Un air de famille / L'arbre du vivant. The Human Lineage Through Time | Becoming Human.