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Développement durable -Gestion de l'eau

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Regards croisés sur l’aménagement des cours d’eau. Les cours d’eau et leur gestion constituent un objet d’étude vaste et complexe, qui intéresse autant les milieux académiques que politiques et techniques. Au cœur des préoccupations se trouve notamment la connaissance et la maîtrise du fonctionnement des rivières, dans un contexte d’interactions spatiales et temporelles croissantes et de plus en plus complexes avec les activités anthropiques. Ainsi, comprendre la dynamique fluviale, l’évolution des rapports homme - rivière ou les conséquences et les enjeux économiques, techniques ou sociaux de l’aménagement et de la gestion des cours d’eau, demande des compétences diversifiées et transdisciplinaires. La question concerne donc les historiens, comme les géographes, les sociologues, les juristes, les ingénieurs, les urbanistes, les biologistes, les hydrologues, les économistes, etc. Le partage d’expérience pourra aussi passer par le croisement des approches nationales, notamment dans une perspective transfrontalière.

Journée scientifique. Entre abondance et rareté : eau et sociétés dans le monde arabo-méditerranéen et les pays du Sud. Tunisian-Mediterranean Association for Historical, Social and Economic Studies (T.M.A. for H.S.E.S.) organisera le 28, 29, et 30 Avril 2014 à Béja (Tunisie), son sixième Colloque international sur le thème : « Entre abondance et rareté » : eau et sociétés dans le monde arabo-méditerranéen et les pays du Sud L’eau, c’est la vie, ou la base de la vie. Cette affirmation, dictée par le bon sens et fréquemment érigée en proverbe, mériterait-elle que l’on s’y attarde si la crainte (fondée ou non) de voir l’humanité un jour privée d’eau ne lui conférait une lancinante actualité ?

En fait, il s’agit là d’une manière réductrice de poser la question. Que les plus grands spécialistes parviennent à démontrer rigoureusement qu’aucune pénurie globale d’eau douce n’est à redouter dans un avenir prévisible devrait certes soulager la conscience de la partie de l’humanité qui jouit d’un confort matériel minimal. I. Facteurs naturels et action humaine : qu’est-ce que la « rareté » de l’eau ? II. III. IV. 2016, l'eau ne coule plus de source. Rencontres scientifiques et citoyennes, destinées à faire se rencontrer de larges publics de la façon la plus ouverte possible, les Reclusiennes ont choisi le thème de l’eau pour leur édition 2016.

L’hommage à Elisée Reclus, auteur de l’« Histoire d’un ruisseau » et natif de la ville renforçait ce désir, en même temps que la présence si tangible de la Dordogne au bord de la bastide de Ste Foy la Grande, en Gironde, où se déroule cette manifestation. Le fleuve sera d’ailleurs le lieu de rencontres et de découvertes, suscitées par Epidor, Etablissement Public Territorial du Bassin de la Dordogne qui travaille à la fois à sa préservation, sa mémoire et sa valorisation.

Et si au XXI°siècle, l’eau ne « coulait plus de source »? Depuis toujours considérée comme génératrice de vie par excellence, l’eau tend aujourd’hui à être banalisée sous certains horizons, tandis qu’elle est toujours plus précieuse et jalousement disputée sous d’autres. Notes National Academy Press, 2002. I. III. IV. Et si… on bannissait les pesticides ? En agriculture conventionnelle, les pommes reçoivent trente-six traitements par an, les betteraves, de seize à dix-huit. Et toutes ces particules volatiles peuvent atteindre les exploitations qui n’utilisent pas de pesticides. Pour se protéger des multiples épandages des champs voisins, les agriculteurs entretiennent arbres, bandes enherbées et haies autour de leurs cultures. Mais impossible de mettre un champ sous cloche. Alors pour s’assurer que la récolte respecte la charte de l’agriculture biologique, l’organisme certificateur contrôle les exploitations labellisées deux fois par an.

Pour Adrien Peltier, paysan boulanger dans l’Eure-et-Loir, côtoyer les champs cultivés en conventionnel, c’est aussi une forme de résistance. 2016, l'eau ne coule plus de source. Sacs plastiques : les nouvelles pratiques. Symbole de la destruction de l'environnement par l'homme, le sac plastique à usage unique de sortie de caisse devait disparaître ce 1er janvier. Mais le décret d'application de la loi est encore en voie de finalisation et la mesure est reportée au moins à fin mars. Cette volonté relancée par l'Europe remonte à 2003 en Corse après un référendum, puis à 2006 via une première loi inaboutie pour l'ensemble de la France. Et les habitudes des consommateurs et des fabricants évoluent.

Enquête d'Eric Chaverou complétée par vos nombreuses réactions. On pensait la mesure bien emballée à force d'entendre Ségolène Royal répéter la date du 1er janvier. Mais après un bras de fer avec Bercy, son ministère, qui n’a pas pu répondre à nos questions mais a publié un communiqué, doit répondre aux observations de Bruxelles. Infographie publiée fin novembre 2014 © Idé Les sacs plastiques à usage unique distribués en pharmacie doivent aussi disparaître. Et après ? C'est la question récurrente. Repères. Prêt à jeter ou l'obsolescence programmée - Arte - 2011. Eau et énergie - Rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau 2014. Planète science : Gérer conflits et concerntation dans le domaine de l'eau en 2013.