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Droits des Enfants / Projet EDE Santé Social

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Collecte de ressources en ligne sur les Droits des Enfants pour le projet EDE Santé Social (élèves de 2nde, collaboration enseignants ST2S/Documentation)

L'Aide Sociale à l'Enfance (ASE) - Département des Hautes-Alpes. Qu’est-ce-que l’Aide Sociale à l’Enfance ? L’aide sociale à l’enfance aussi appelée ASE est une compétence obligatoire du Département. Le Service Enfance et Famille du Département a pour mission l’accueil des enfants de 0 à 21 ans dans le cadre de la protection de l’enfance. Les équipes médico-sociales au sein des Maisons des Solidarités réparties sur l’ensemble du département ont pour mission la mise en oeuvre des interventions à domicile dans le cadre de la prévention et de la protection de l’enfance. Dans le cadre de sa mission, il peut : apporter un soutien aux familles à leur domicile (éducatif, financier…), accueillir et prendre en charge, y compris en urgence, les enfants qui lui sont confiés par leurs parents ou par le juge des enfants. Le Service Enfance et Famille appartient à la Direction des Politiques de Prévention et d’Action Sociale. Nigéria : 49 000 enfants malnutris mourront si rien n’est fait.

Jusqu’ici, ces enfants, nous n’y avions pas accès. Mais alors que de plus en plus de zones dans le nord-est du Nigéria, région la plus touchée par le conflit, deviennent accessibles, la crise nutritionnelle affectant les enfants révèle son ampleur… Manuel Fontaine, Directeur régional de l’UNICEF pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, revient de ces zones, encore sous le contrôle de Boko Haram il y a peu, et témoigne : villes détruites, manque d’accès à la nourriture, à l’eau et à l’hygiène… « Des milliers d’enfants affaiblis y ont désespérément besoin d’aide.

En moyenne, 134 enfants mourront chaque jour de causes liées à la malnutrition aiguë si la réponse humanitaire n’est pas intensifiée rapidement ! » Mais la véritable ampleur de cette crise reste à découvrir, puisqu’il reste 2 millions de personnes auxquelles nous n’avons pas encore accès dans l’état de Borno. Une crise provoquée par Boko Haram L’action de l’UNICEF Comment puis-je aider ? Droit à l’Eau : Comprendre le droit à l’eau des enfants. L’eau est vitale pour la survie et la santé de tous les êtres humains. Le droit à l’eau est un droit humain fondamental et une condition préalable à la réalisation des autres droits humains. L’accès à l’eau : un droit vital pour tous les enfants Le droit à l’eau est un droit vital, car l’eau tient une place prépondérante dans le quotidien et l’environnement de toutes les personnes, adultes et enfants. Le droit à l’eau implique le droit à l’eau potable et le droit à des moyens d’assainissement adéquats.

Une ressource indispensable pour vivre et survivre L’eau est une ressource indispensable au quotidien de tous les êtres humains. L’eau est utilisée notamment pour la consommation directe, la cuisson des aliments et l’irrigation des terres agricoles. 4 principes importants pour garantir la survie et la santé de tous : • L’eau doit être disponible : c’est à dire en quantité suffisante pour l’ensemble des usages personnels et domestiques. Une ressource indispensable pour vivre dans la dignité. L’objectif : réduire la mortalité infantile. D’ici à 2015 :Réduire de deux tiers le taux de mortalité infantile, en passant de 93 enfants sur 1000 mourant avant l’âge de cinq ans en 1990 à 31 pour 1000 en 2015.

La survie de l’enfant est au coeur de l’action de l’UNICEF. Environ 29 000 enfants de moins de cinq ans – 21 toutes les minutes – meurent chaque jour, principalement de causes qui auraient pu être évitées. Plus de 70 pour cent des près de 11 millions de décès d’enfants enregistrés tous les ans sont attribuables à six causes principales : la diarrhée, le paludisme, les infections néonatales, la pneumonie, un accouchement prématuré ou un manque d’oxygène à la naissance. Ces décès se produisent pour la plupart dans le monde en développement. Asie centrale qu’il y a le plus de décès néonatals, et en Afrique subsaharienne que les taux de mortalité infantile sont les plus élevés. Et la plupart auraient pu être évités.

Mais les maladies ne sont pas inévitables ou forcément fatales pour les enfants qui en sont atteints. Progrès. Enfants malades. L’enfance est une période où les défenses immunologiques de l’organisme se constituent progressivement. Cette situation de vulnérabilité explique le nombre important de maladies qui s’attaquent aux enfants. Malgré les efforts de traitement contre les maladies, l’on note une très forte mortalité des enfants ; due souvent à un accès difficile aux soins de santé. Les maladies fréquentes chez l’enfant Chaque année, environ 12 millions d’enfants meurent avant l’âge de cinq ans. Beaucoup d’entre eux n’ont même pas un an. Soixante dix pour cent de ces décès sont dus à l’une des maladies suivantes : la diarrhée, la pneumonie, le paludisme ou la malnutrition. La malnutrition La mauvaise nutrition est responsable d’une grande partie des décès d’enfants. L’UNICEF estime que 150 millions d’enfants souffrent de carences nutritionnelles qui auront une répercussion irréversible sur leur santé.

La pneumonie La pneumonie reste l’une des maladies les plus meurtrières pour les enfants de moins de cinq ans. Enfant et SIDA. Le SIDA est un virus dont l’impact ne cesse de croître d’année en année. Il tue des millions de personnes et n’épargne pas les enfants qui en sont des victimes directes (enfants séropositifs) ou indirectes (orphelins du SIDA). Aujourd’hui, il s’agit d’un véritable problème mondial nécessitant une prise de conscience et des actions immédiates et universelles.

Le SIDA, c’est quoi ? Le SIDA (Syndrome de l’ImmunoDéficience Acquise) est un ensemble de symptômes consécutifs à l’infection d’une personne par un virus : le VIH ( Virus de l’Immunodéficience Humaine). Lorsque le système immunitaire est trop fragile, les maladies opportunistes (maladies en principe peu agressives, mais qui peuvent devenir très graves chez une personne immunodéficiente) détruisent peu à peu l’organisme et finissent par entraîner la mort.

Il faut savoir que le SIDA ne se développe en général pas tout de suite après l’infection. Ce virus peut se transmettre de trois manières : Le SIDA est un phénomène grave et mortel. Histoire du statut de l'enfant. De l’Antiquité au Moyen Age : de l’absence d’intérêt à l’absence de distinction « Enfant », qui vient du latin « nfans » (in, privatif, et fari, parler), signifie chez les Romains « celui qui ne parle pas », ce qui illustre très bien la place de l’enfant sous l’Antiquité, relégué alors au statut de « non citoyen ». L’éducation à cette époque applique donc une logique de dressage des enfants, considérant ces derniers comme des êtres dénués de réflexion, de logique ou encore d’intelligence propre. Ils apparaissent avec un esprit vide, sans lois pour le régir. Les adultes se retrouvent donc avec la responsabilité de remplir, guider et commander ces petits esprits. Il en est de même pour leur corps.

Ainsi, les nourrissons se retrouvent bâillonnés dans du linge pour qu’ils ne bougent pas. Au contraire, au Moyen Age, l’enfant est considéré comme un petit homme. L’enfant au travail : formulation des premiers droits Annexe : Portrait de Janusz Korczak. 20 ans après : le bilan. La santé La santé est le domaine où le plus efforts ont été fournis. Une amélioration nette apparaît depuis 1989 avec un nombre important de maladie virale éradiquées, comme la rougeole ou le tétanos.

Cependant des progrès énormes restent à faire. Le plus grand problème aujourd’hui est le SIDA avec deux millions d’enfants contractant la maladie dans le monde dont 35 % d’entre eux en meurent avant 10 ans. La malnutrition et l’accès à l’eau potable La situation est très alarmante : 4 millions d’enfants meurent avant 5 ans de malnutrition ou de manque d’accès à une eau potable. 12 millions d’enfant meurent de maladies liées au manque d’hygiène dans les pays en voie de développement. 300 000 enfants, dont certains ont moins de 8 ans, sont soldats, démineurs, porteurs, éclaireurs… leur nombre reste stable mais le nombre de pays ayant recours aux enfants pour faire la guerre augmente chaque année.

Le tourisme sexuel L’éducation. Historique de la CIDE. La Déclaration de GenèveEn 1923, à Genève la Déclaration des Droits de l’Enfant, appelée aussi Déclaration de Genève est formulée par le Conseil Général de l’Union Internationale de Secours aux Enfants.Ce texte très court (seulement 5 articles) présentant « les droits qui devraient être reconnus aux enfants et respectés dans tous les pays civilisés » est adopté par la Société des Nations le 26 septembre 1924.

Il deviendra le texte de référence lors de la réalisation, presque 70 ans plus tard, de la Convention Internationale des Droits de l’enfant. La création de l’Unicef En 1946, préoccupée par l’état de pauvreté et de détresse des enfants dans l’immédiate après–guerre, l’Assemblée générale des Nations Unies fonde le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance, plus connue sous le nom de l’Unicef et lui donne pour mission de coopérer avec les gouvernements afin d’assurer la survie, la protection et le développement de l’enfant dans le monde entier. La Déclaration des Droits de l’Enfant. La Convention Internationale des Droits de l'Enfant. L’Unicef fut un acteur très important, créant avec l’aide des représentants de différentes cultures et religions un texte compilant et clarifiant les droits des enfants. Entrée en vigueur 1990, la CIDE reste aujourd’hui le traité le plus ratifié du monde, comptant 191 Etats parties. Seuls la Somalie et les Etats-Unis ne l’ont pas ratifiée. Une obligation juridique Elle constitue le premier traité international d’obligation juridique de protection de l’enfant.

LA CIDE en France Ainsi, l’Unicef France accompagne les différents acteurs publics et sociaux ainsi que les pouvoirs publics, les parlementaires, les élus locaux. Le Défenseur des enfants est une Institution de l’Etat mise en place en 2000 et destinée à défendre et promouvoir les droits de l’enfant contenus dans le droit français et dans la CIDE. En 2011, le Défenseur des droits est institué, qui regroupe 4 institutions dont la Défenseure des enfants, Marie Derain.

L'évolution de la législation. - La loi du 24 juillet 1889, dite loi Roussel, entend protéger les enfants maltraités et moralement abandonnés. La loi de 1898 prévoit l’aggravation de la peine lorsque l’auteur du délit est l’ascendant ou le gardien de l’enfant. Au 20ème siècle, on reconnaît des droits à l’enfant. Il est considéré comme un individu à part entière. La loi de 1945, relative à la création de l’aide sociale à l’enfance, construit le système français de la protection de l’enfance. Le 10 juillet 1989, la loi relative à la protection des mineurs et à la prévention des mauvais traitements est votée. Le 20 novembre 1989, la Convention Internationale des Droits de l’Enfant, proclamée par l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies, énonce au travers de 54 articles les droits fondamentaux de l’enfant. En 1995, le Parlement français décide de faire du 20 novembre « La journée nationale de défense et de promotion des droits de l’enfant ».

Les conséquences à long terme. Si la maltraitance est considérée comme un problème majeur de santé par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), ses conséquences restent pourtant encore trop souvent mises à l’écart de la plupart des analyses. La maltraitance a pourtant fréquemment des conséquences durables, à la fois sur la santé physiologique et sur la santé psychique des victimes. Pour mesurer la gravité de la maltraitance, il est donc nécessaire de prendre en compte ces différentes conséquences sur le long terme, que cela soit physique ou psychique et sur la société toute entière. Les troubles de la santé sont des conséquences non négligeables de la maltraitance, apparaissant sous forme de lésions ou d’atteintes physiques (troubles du sommeil, de l’alimentation, phobies…). La privation, autrement dit la maltraitance par négligence, peut engendrer chez l’adulte du désespoir voire un refus de vivre.

Les signaux d'alerte. Signes physiques : Morsures Griffures Plaques d’alopécie (cheveux arrachés) Brûlures Ecchymoses Hématomes Traces de coups Fractures multiples et répétées Plaies multiples, d’âges différents. Habillement mal adapté Aspect négligé Visite très fréquente à l’infirmerie scolaire Fatigue inexpliquée Vomissements Signes psychiques et comportementaux : Les différentes formes de maltraitance. Les violences physiques : l’enfant est victime de sévices physiques, d’actes de torture et de barbarie… Elle est celle que l’on découvre le plus rapidement, étant apparente sur le corps même de l’enfant. La gravité des lésions physiques ne dépend pas que de la violence des coups portés mais aussi de l’âge de l’enfant. Chez les nourrissons et les enfants en bas âge, la quasi-totalité des actes de violences laissent des traces sur le corps. Que prévoit la loi ? Quand l’enfant est confronté à une situation sexuelle inappropriée à son âge civil, à son niveau de maturation psychique, à son degré psychosocial et physique de développement.

Quand un adulte, mais aussi un mineur, a recours aux menaces, à la force, à l’autorité pour contraindre un enfant à une activité sexuelle. Que prévoit la loi ? Les négligences lourdes : l’enfant manque d’attention et de soins élémentaires ou reçoit des soins complémentaires inappropriés. Définition et chiffres. La loi du 5 mars 2007 élargit la définition de la maltraitance avec la notion « d’enfant en danger » qui s’applique « lorsque la santé, la sécurité ou la moralité du mineur sont en danger ou risquent de l’être, ou lorsque les conditions de son éducation ou de son développement physique, affectif, intellectuel et social sont gravement compromises. Il n’existe cependant aucune définition juridique de la maltraitance. Elle fait seulement une apparition dans la loi du 9 juillet 1989 relative à la prévention des mauvais traitements à l’égard des mineurs et dans le code civil article 375 évoquant la notion de danger pour la santé, la sécurité, la moralité et la condition d’éducation d‘un mineur.

Annexe : Bibliographie. Où commence la maltraitance ? - ACTION ENFANCE : Villages d’Enfants, Protection de l'enfance en danger. Aïchatou : « Je maudis Boko Haram qui m’a volé ma virginité. Nigeria : enlevées par Boko Haram, jusqu'à ce que la mort les sépare. «Ils violent tellement de filles par jour qu’ils sont obligés d’utiliser des médicaments» Les femmes victimes de Boko Haram racontent leur calvaire. #Bringbackourgirls : la double peine des filles de Chibok. Le calvaire d'Assiatou, 14 ans, détenue par Boko Haram. Daech: des pilules contraceptives pour les esclaves sexuelles. Esclaves sexuelles: Daech fournit le mode d'emploi | Éric Azan. Daech vend ses esclaves sexuelles "à la carte" sur Telegram et WhatsApp - 6 juillet 2016. Les enfants de Daech, sacrifiés puis exhibés sur les réseaux sociaux. DAECH : Enlevé à l’âge de 11 ans cet enfant a vécu un véritable cauchemar.

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