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Le Christ jaune. Christ pantocrator. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Christ pantocrator

Le Christ pantocrator est un Christ en gloire, c'est-à-dire la représentation artistique de Jésus Christ dans son corps glorieux par opposition aux représentations plus humaines du Christ souffrant la Passion sur la Croix, ou celle de l'Enfant-Jésus. Il s'agit d'une représentation eschatologique de Jésus-Christ lors de la parousie à la fin des temps après le jugement dernier. L'adjectif, venu du grec παντοκράτωρ / pantokrátôr, signifie « tout puissant » et cette toute-puissance est exprimée par une lumière sans ombre, par le nimbe qui entoure la tête et des symboles comme les lettres grecques : α et ω (alpha et oméga).

Le Christ pantocrator est une représentation privilégiée de l'art byzantin qui montre le Christ en buste, tenant le livre des Saintes Écritures dans la main gauche et levant la main droite dans un geste d'enseignement codifié qui invite à la vie éternelle. Iconographie[modifier | modifier le code] La fuite en Egypte. Rembrandt / Tête du Christ. La Pietà (Michel-Ange) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La Pietà (Michel-Ange)

La Pietà Localisation sur la carte du Vatican Lorsqu'elle est exposée dans la basilique, Vasari s'exclame : « Comment main d'artisan a-t-elle pu si divinement accomplir, en si peu de temps, une œuvre aussi admirable ? Cela relève du miracle : qu'un rocher informe ait atteint une perfection telle que la nature ne la modèle que si rarement dans la chair »[2]. Détail de la statue mutilée. Le 21 mai 1972, jour de la Pentecôte, un déséquilibré du nom de Laszlo Toth mutile la sculpture en la frappant de quinze coups de marteau, brisant notamment le nez de la Vierge et une partie du bras.

La composition pyramidale du groupe sculpté en ronde-bosse marque un contraste entre la Vierge et le Christ : le corps du Christ, très fluide et poli, est représenté en diagonale sur les genoux de sa Mère avec la ligne de son corps, trois fois brisée, qui s'adapte au corps de sa mère. Le Nouveau-né. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. « Chef-d'œuvre d'entre les chefs-d'œuvre[2] » de Georges de La Tour, la toile est un sommet du clair-obscur, et tire également sa popularité du fait que les signes religieux s'effacent pour donner à la scène une portée universelle : celle de la célébration du mystère de la naissance d'un enfant.

Le Nouveau-né

Historique[modifier | modifier le code] La toile est datée des années 1645-1648, sans qu'il y ait de consensus parmi les historiens de l'art pour plutôt l'une ou l'autre des dates. Le Nouveau-né constitue en tout cas l'une des œuvres les plus importantes de Georges de La Tour non seulement par la qualité du tableau lui-même mais également parce qu'il fut parmi les toutes premières peintures à avoir été rendus au peintre lorrain lors de sa redécouverte au début du XXe siècle par le critique d'art allemand Hermann Voss.

Description[modifier | modifier le code] L'Annonciation du couvent San Marco. L'Annonciation du couvent San Marco est une œuvre à fresque de Fra Angelico, visible au haut de l'escalier menant aux cellules des moines du couvent San Marco de Florence (pour cette raison certains ouvrages la nomment Annonciation du couloir nord, comme en italien : Annunciazione del corridoio Nord).

L'Annonciation du couvent San Marco

Historique[modifier | modifier le code] L'Annonciation du couvent San Marco a été peinte par Fra Angelico vers 1437. Réalisée à fresque elle occupe une surface de 230 cm × 297 cm[1], sur un mur du corridor nord, juste en face de l'escalier menant à l'étage des cellules des moines du couvent, à l'intersection des deux ailes du dortoir (celle des moines à gauche, celle des converts et des visiteurs à droite).

Elle est également sur l'envers d'un des murs de la cellule de saint Antonin, grand vicaire des dominicains réformés, prieur, et futur archevêque de Florence.