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Procédé d'impression

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La Revue l'Eau l'Industrie, les Nuisances. Depuis la fin du 19ème siècle, l’industrie ne fabrique que les produits dont la production en grandes quantités permet d’être rentabilisée.

La Revue l'Eau l'Industrie, les Nuisances

Qu’il s’agisse de chaines de production classiques ou de centres d’usinage automatisés, la règle est partout la même : investir dans des installations automatisées et coûteuses n’est rentable que pour quantités importantes. Pour pouvoir proposer à l’utilisateur un produit répondant parfaitement à ses besoins, les ingénieurs de KSB ont très tôt développé, dès le début des années 1930, une grille de sélection, avec un inconvénient pour le fabricant : seule une gestion très efficace de la complexité lui permet d’être rentable. Cette contrainte existe encore aujourd’hui : rien que pour les pompes normalisées à eau Etanorm, plus de 40 tailles de corps différentes sont proposées !

À cela s’ajoutent diverses versions de matériaux et de garnitures d’étanchéité d’arbre. Une pompe sur-mesure est une pompe parfaitement fiable et performante. L'impression 3D par dépôt de matière fondue, on vous explique tout. On continue notre dossier consacré aux différentes techniques d’impression 3D.

L'impression 3D par dépôt de matière fondue, on vous explique tout

Après le Frittage Sélectif par Laser, on s’attaque aujourd’hui à la principale technologie derrière les imprimantes 3D maison, l’impression par dépôt de matière fondue. La technologie, plus connue sous son nom anglais de ‘Fused Deposition Modeling’ (FDM), a été développée par S. Scott Crump à la fin des années 80 et commercialisée en 1990 par Stratasys (USA), entreprise dont il est le fondateur. Qui dit « impression 3D » dit « modèle 3D », tout commence par la conception de l’objet à partir d’un logiciel de CAO (CATIA, SolidWorks, ProEngineer par exemple).

Le fichier 3D obtenu, le plus souvent au format .STL, est découpé en plusieurs couches via un logiciel dénommé « slicer » (comme Makerware, Cura ou Repetier), avant d’être envoyé à la machine. Frittage Sélectif par Laser, on vous explique tout. Pour quelques-uns l’impression 3D reste un mythe mais cette nouvelle technologie est déjà une révolution depuis les années 1980.

Frittage Sélectif par Laser, on vous explique tout

Alors qu’elle compte plusieurs procédés ayant comme point commun la fabrication additive d’un objet, l’impression 3D reste difficile à appréhender. Chez 3Dnatives, on vous explique tout avec aujourd’hui un dossier dédié au Frittage Sélectif par Laser. Il existe plusieurs procédés et une grande variété d’imprimantes, tous adaptés à des besoins différents. Dans cet article on s’intéresse à la technologie dites de Frittage Sélectif par Laser développée par le Dr.

Carl Deckard, et brevetée chez DTM Corporation (actuellement 3D Systems) à Austin, USA. Une photo du premier prototype d’imprimante SLS datant de 1986. Cette technique, connue en anglais sous le nom de ®SLS (selective laser sintering), permet d’imprimer des objets fonctionnels sans avoir recours à un liant intermédiaire ou à une éventuelle étape d’assemblage. L'impression 3D par Stéréolithographie, on vous explique tout ! La Stéréolithographie est considérée comme le procédé à l’origine de l’impression 3D, avec le premier équipement breveté en 1984 par Charles Hull et la première machine commerciale développée par 3D Systems en 1988.

L'impression 3D par Stéréolithographie, on vous explique tout !

Que trouve-t-on derrière cette technique? Le procédé de Stéréolithographie, plus connu sous le nom de SLA (stereolithograph apparatus), utilise le principe de photo-polymérisation pour fabriquer des modèles en résine acrylate ou époxy et en ABS, de toute taille et de géométrie complexe avec une grande précision. L'impression 3D par liage de poudre, on vous explique tout !

Frittage Laser Direct de Métal, on vous explique tout ! Le Frittage laser direct de métal est souvent confondu avec le Frittage Sélectif par Laser (SLS), mais il ne s’agit pas tout à fait de la même technique d’impression 3D.

Frittage Laser Direct de Métal, on vous explique tout !

Ce procédé, connu en anglais sous le nom de DMLS (Direct Metal Laser Sintering), a été breveté par ERD et EOS (Allemagne) en 1994, même si les premières recherches remontent aux années 70. Tandis que le procédé SLS utilisera comme matériau de base de la poudre de plastique, de céramique ou de verre, le DMLS utilisera lui de la poudre de métal. L'impression 3D par PolyJet, on vous explique tout. L’impression 3D continue sur son rythme effréné mais les procédés derrière cette technologie restent toujours aussi flous pour certains.

L'impression 3D par PolyJet, on vous explique tout

L'impression 3D par fusion de faisceau d'électrons. Comme nous vous l’indiquions dans un article précédent, plusieurs procédés utilisés dans l’industrie permettent d’imprimer des pièces en métal.

L'impression 3D par fusion de faisceau d'électrons

Nous allons maintenant présenter l’un d’entre eux : la fusion par faisceau d’électrons, ou en anglais, Electron Beam Melting (EBM). Ce procédé permet de fabriquer des pièces qu’il ne serait pas possible ou très complexe de fabriquer autrement et ayant une résistance équivalente à des pièces fabriquées par des moyens conventionnels tels que l’usinage ou la forge. Actuellement, l’entreprise suédoise Arcam est la seule à fabriquer et vendre des machines utilisant cette technologie. Le procédé est particulièrement intéressant pour la fabrication de pièces très techniques, de moyenne dimensions et produites en petite série voire à l’unité.