background preloader

Epuration des eaux usées

Facebook Twitter

Bases pour bien débuter la réalisation d'un bassin. Afin de permettre à tout amateur, néophyte, désirant réaliser un bassin, d'accéder à son rêve sans désenchantement, je vais essayer d'exposer de façon simple et exhaustive toutes les règles à respecter pour obtenir un bassin qui fonctionne et perdure.

Ces règles sont simples, mais malheureusement beaucoup de personnes ne les suivent pas ou ne les connaissent pas. Or recréer un biotope, cela ne s'improvise pas. Vous verrez dans le détail à travers les pages suivantes tous les conseils pour réaliser votre bassin, mais si l'un des points ci-dessous n'est pas respecté, vous aurez tôt ou tard un déséquilibre qui pourra entraîner la perte de vos pensionnaires. Les règles de base du Bassin: Conception : Étanchéité : Utiliser une bâche compatible avec l’environnement et la vie aquatique Ne pas lésiner sur ce budget.

Mise en eau : La plupart des eaux distribuées par les compagnies d’eau potable correspondent à ces spécifications. Végétalisation : Empoissonnement : Entretien : Suivez-nous : LAGUNAGE. A l'usage, on distingue le lagunage non aéré qui est une technique anaérobie et le lagunage aéré qui appartient aux techniques aérobies. Préparation des échantillons Les eaux résiduaires doivent subir au moins une décantation mécanique primaire.

Dans les lagunes sans aération ni brassage artificiels, l'oxygène est principalement fourni par les phénomènes suivants : apport d'oxygène provenant de l'air qui se trouve au-dessus de la surface de l'eau,apport d'oxygène par mélange avec des eaux de surface de bonne qualité, saturées en oxygène,alimentation en oxygène grâce à des algues par photosynthèse. Traitement physico-chimique Les durées de séjour varient de quelques jours à quelques semaines, avec une compensation appropriée de la concentration, surtout si l'eau des lagunes est en plus aérée et brassée. La condition la plus importante, pour l'épuration des eaux résiduaires dans les lagunes, est que le contenu de ces dernières ne doit à aucun moment entrer en putréfaction.

Performance Taille Usage. Une solution alternative, la phytoépuration - Terre vivante - l'écologie pratique. © Antoine Bosse-Platière Nos eaux usées polluent trop souvent la nature sans que l’on s’en rende compte. Un grave problème dans les zones rurales qui ne connaissent pas le tout-à-l’égout. L'épuration autonome classique avec tranchées d'épandage © D. Klecka La phytoépuration fait appel aux bactéries présentes dans les systèmes racinaires des plantes pour épurer l'eau. Par rapport à l'épuration classique, elle a d'indéniables avantages.

Comment ça marche ? Différents cas de figure sont possibles pour la phytoépuration. Le prétraitement se fait soit dans un lit vertical planté de roseaux, soit dans une fosse toutes eaux. Pour le traitement, il faut ensuite prévoir un bassin à écoulement horizontal planté d'espèces végétales capables d'absorber les charges polluantes (bambous, massettes, iris des marais, laîches...), suivi d'une mare ou d'un fossé planté d'espèces semi-aquatiques ou ornementales gourmandes.

Filtres à roseaux - © D. Les démarches à suivre Mieux vaut prévenir que guérir Carine Mayo. Les systèmes d'assainissement des eaux usées. Lagunage naturel /systèmes d'épuration plantés.