background preloader

Luttes étudiantes

Facebook Twitter

Charlie et moi (n’allons plus) à la manif. Par Marie-Ève Bélanger, Bruxelles Charlie et moi, on est inséparables. On fait toujours tout ensemble. La plupart du temps on s’amuse bien et on rigole beaucoup. On a nos blagues et nos habitudes, on s’invente une vie toutes les deux. Des fois je l’engueule en disant « NON Charlie! Là où je vais, Charlie va. Quand je suis quelque part, Charlie n’est jamais bien loin. Dans mon ventre, il y a un petit frère ou une petite sœur pour Charlie. Femme, je suis encore une fois privée de parole et d’espace public de par ma condition; pire, être invisible et sans voix m’interdit de me surprendre de mon insignifiance.

WordPress: J'aime chargement… The criminalization of dissent | Canadian Lawyer Magazine. Article 1. Everyone has the right, individually and in association with others, to promote and to strive for the protection and realization of human rights and fundamental freedoms at the national and international levels. — Declaration on the Right and Responsibility of Individuals, Groups and Organs of Society to Promote and Protect Universally Recognized Human Rights and Fundamental Freedoms Adopted by General Assembly resolution 53/144 of Dec. 9, 1998 While freedom of speech and the right to organize politically are recognized human rights, the sphere of operation for those who do not agree with governments is shrinking both at home and abroad.

In Canada, gone are the days of being able to oppose one’s government without the fear of being silenced. Lawful demonstrations during the G-20 summit in 2010 resulted in a rash of arrests, as well as unlawful “kettling” of innocent citizens participating in the event. So, how did we get here? Avoir peur de la police, pas des manifs – Droit criminel citoyen – Véronique Robert. 23 mars 2013 10h43 · Véronique Robert Ce matin, dans La Presse, on pouvait lire ceci: «Depuis les trois dernières manifestations, nous intervenons plus rapidement, a confirmé le sergent Jean-Bruno Latour, porte-parole du SPVM. Il ne faut pas prendre en otage les citoyens qui veulent venir au centre-ville de Montréal. Le Charte [des droits et libertés] protège le droit d’expression, mais il n’y pas de droit de manifestation» Cette assertion aussi hurluberlue qu’affolante, alarmante, effrayante d’un policier du Service de police de la ville de Montréal mène à deux constats: Le premier, les policiers devraient impérativement suivre plus de cours de droit dans le cadre de leur formation.

Le second, ça ne va pas du tout au Québec actuellement, et ça fait peur. La Charte canadienne des droits et libertés, qui est le document de protection des droits fondamentaux régissant les rapports entre l’État et les individus, protège clairement le droit de manifester. 1. C’était il y a huit ans. Montréal Campus – Être une femme libérée, tu sais c’est pas si facile. Après des années de tensions avec les autres comités de l’ASSE, le nouveau Comité femmes cherche à calmer la tempête pour faire avancer le féminisme. Quelques 25 000 nouveaux membres se sont joints à l’ASSE entre janvier et novembre 2012, dans le but de s’unir pour contrer la hausse des frais de scolarité.

Durant cette apogée, les membres du Comité femme de l’Association, frustrées, ont démissionné en bloc. Si l’ASSE est la seule organisation étudiante nationale qui a des mandats féministes, la lutte pour l’égalité hommes-femmes se fait souvent voler la vedette par les enjeux de l’heure. Les militantes du Comité femmes, découragées, claquent parfois la porte. En 2010, l’ex-étudiante au certificat en étude des femmes à l’Université Concordia, Anne Dagenais Guertin, a publié une recherche intitulée Le féminisme à l’ASSE. De nouveaux membres ont été élus au Comité femmes en juin 2012.

Malgré certaines victoires, le féminisme passe toujours après les autres luttes. Rapports sociaux de sexes et féminisme à l’ASSÉ ← Congrès d'orientation 2013. Par Jean-François Filiatrault Cliquez ici pour télécharger la version PDF Introduction « Nous aurions aimé avoir le temps de dépouiller les archives de fond en comble et de les revisiter avec un regard féministe. Nous aurions aimé faire ressortir des statistiques sur la participation des femmes à l’ASSÉ et tenter de les expliquer. C’est dans ces mots que le comité-femmes de l’ASSÉ avait introduit son mémoire pour le Congrès d’orientation en 2005.

Le fait que ce mémoire traite de questions touchant les femmes ne vise pas à soutenir une hiérarchisation des luttes sociales que doit appuyer et mener l’ASSÉ. Si vous voulez en lire plus sur les enjeux autour du féminisme (dans le mouvement étudiant), il y a les textes suivants : Le féminisme dans l’ASSÉ – Problématiques et stratégies d’intégration : En 2010 une militante féministe de l’Université Concordia a fait une recherche sur le féminisme à l’ASSÉ. Les rapports sociaux de sexes au Québec Femmes et éducation Depuis, au Canada, Famille et couple. Féminisme et nonviolence | Printemps québécois, nonviolence et désobéissance civile. Les femmes ont participé à de nombreux mouvements de résistance et d’émancipation de tous genres.

Leur rôle dans la lutte a varié selon l’époque et le contexte, mais a rarement été reconnu à la mesure de son importance. Même dans les milieux militants dont l’on pourrait attendre une compréhension radicale de l’oppression qui puisse inclure le féminisme, l’effort des femmes pour revendiquer un espace de lutte féministe ou une reconnaissance de leur contribution est constant.

Au plan des grands personnages ou des théories des approches nonviolentes, l’accaparement masculin est manifeste : de Thoreau à Gandhi, en passant par Luther King et César Chavez ou des intellectuels comme Gene Sharp et Jean-Marie Muller, cet univers en apparence masculin ne rend pas compte de l’activisme des femmes dans l’histoire des luttes radicales ! « L’acte premier de désobéissance des femmes féministes réside dans le simple fait de se réunir pour s’organiser contre l’oppression patriarcale. Like this: MONDE : Les manifestantes chiliennes dans la ligne de mire de la police. « Rentre à la maison t’occuper des enfants » Lidice Cruz, membre d’un Observatoire des droits humains, s’improvise la porte-parole des victimes : « Les filles se font toucher l’entre-jambe, peloter les seins, on les force à enlever leurs habits, elles se font insulter. ‘Rentre à la maison t’occuper des enfants’, lancent certains policiers. Les femmes qui subissent ces violences sont toutes jeunes, elles ont peur d’être persécutées par les carabineros si jamais elles les dénoncent.

Alors que la répression violente des manifestations est du domaine public, ce phénomène est à peine en train d’être connu ». L’observatoire auquel Lidice appartient est tout récent. Les parents se mobilisent Aux plaintes des étudiants, des associations féministes et des associations de défense des droits de l’homme se sont ajoutées celles des parents et des familles. . « Depuis que certains médias ont commencé à parler de cette situation, les parents ont commencé à manifester. Compétitivité à prix d’or.