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Nature

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Abeilles.

Animaux en danger

Abeille. Jardin. 15 plantes de votre quotidien extrêmement toxiques. Potager au balcon. Betterave. DIVERS. Notre civilisation est condamnée, selon une étude de la Nasa. Comme les Romains ou les Mayas avant nous, notre civilisation moderne et industrielle pourrait bien être condamnée à disparaître. C’est ce qu’assure une étude du Centre de vols spatiaux Goddard de la Nasa, rapportée par The Guardian. Ce n’est pas la première fois que l’on prédit la fin du monde. Mais cette fois-ci, ce sont des scientifiques qui avancent l’effondrement de la «civilisation industrialisée». La Radio Télévision Belge (RTBF) appuie en outre la «crédibilité» de cette étude sur le fait qu’elle a été publiée par le «très sérieux Elsevier Journal Ecological Economics». publicité Emmenés par le mathématicien Safa Motesharri, ces chercheurs basent leurs recherches sur un modèle appelé «HANDY», pour Human and And Natural DYnamical.

Cette «dynamique nature-humanité» leur a permis d’identifier les facteurs qui ont conduit à la chute d’anciennes civilisations: «la population, le climat, l’eau, l’agriculture, et l’énergie». À lire aussi sur Slate.fr. Mystères de Bourgogne : Bibracte, la capitale disparue des Éduens. Dans le haut Morvan, sur les pentes du mont Beuvray (821 mètres) qui domine la Nièvre et la Saône-et-Loire, s’élevait entre la fin de l’âge du fer, vers 120 av. J. -C., et le début de notre ère, la cité de Bibracte, capitale des Eduens, une peuplade gauloise plutôt douée pour la diplomatie et le commerce. De l’existence de ces Celtes bourguignons, il ne reste presque rien.

Quelques traces au milieu d’un paysage devenu l’un des plus sauvages de France (moins de quinze habitants par kilomètre carré), un bastion granitique enfoui sous les hêtres, les châtaigniers et les conifères, que l’on approche en ahanant sur d’âpres sentiers depuis la sortie d’Autun, à une vingtaine de kilomètres de là. Là-haut, les seuls irréductibles sont les archéologues. Bizarrement, jusqu’au XIXe siècle, la cité n’intéressa personne. Comment a-t-on pu perdre de vue un tel endroit ?

Cet article est tiré du magazine GEO n°463 (septembre 2017) >>> Commander d'anciens numéros. L'affaiblissement du champ magnétique terrestre se confirme. Variations du champ magnétique terrestre mesurées par la flottille de satellites Swarm (Esa) entre janvier et juin 2014. Les taches rouges soulignent les régions où les signaux sont les plus forts, en l’occurrence l’océan Indien, tandis que le bleu marque les parties les plus faibles (moitié ouest du globe terrestre). © Esa, DTU Space L'affaiblissement du champ magnétique terrestre se confirme - 2 Photos Lancé dans l’espace le 22 novembre 2013 par une fusée russe Rockot, le trio de satellites européens Swarm — essaim en français — est chargé de mener l’enquête sur les variations du champ magnétique terrestre.

Comme cela s’est déjà produit plusieurs milliers de fois au cours de la longue histoire de notre planète, le champ magnétique de la Terre a subi des inversions. Carte des fluctuations du champ magnétique en juin 2014. 95 % du magnétisme observé par le trio Swarm a pour origine le noyau terrestre. À voir aussi sur Internet Sur le même sujet. Deux nouveaux cratères géants apparaissent en Sibérie. La communauté scientifique est en émoi. Une dizaine de jours après avoir constaté l’apparition d’un mystérieux cratère dans la région de Yamal en Sibérie, deux nouveaux gouffres ont été découverts. L’intrigue autour de leur création est relancée.

Météorite, farce, aliens ou cocktail à base de méthane, l’imagination des internautes fonctionne de nouveau à plein régime. « Ça ne ressemble pas à l’œuvre d’hommes » Le premier des deux nouveaux cratères a été découvert près de Bovanenkovo, une zone qui comprend de nombreux gazoducs. L’autre gouffre est apparu dans la région de Yamal (littéralement « bout du monde »), à une centaine de kilomètres du tout premier cratère découvert il y a une dizaine de jours.

Les conséquences du réchauffement climatique À l’image du premier cratère, la question de la création de ces gouffres géants devrait vraisemblablement trouver une réponse du côté du réchauffement climatique. Les cratères géants de Sibérie sont-ils dus au réchauffement climatique. La vidéo d'un cratère géant de 30 mètres de diamètre, apparu dans la péninsule de Yamal, en Sibérie, avait passionné les internautes à la mi-juillet et donné lieu à toutes sortes d'élucubrations pour l'expliquer : impact d'une météorite, invasion extra-terrestre ou même missile intergalactique. Le débat vient d'être relancé, alors que deux autres cratères ont été découverts cette semaine non loin du premier. En réalité, la raison de leur formation serait plutôt à chercher du côté de relargages de gaz dus à la fonte du permafrost – les sols en permanence gelés – sous l'effet du réchauffement climatique.

Selon des scientifiques interrogés par le Siberian Times, le premier cratère, aux proportions impressionnantes de 30 mètres de diamètre et 70 mètres de profondeur, se serait formé il y a un ou deux ans. Une nouvelle vidéo, tournée par l'équipe de chercheurs, a indiqué la présence d'un lac glacé au fond du cratère et de l'eau s'écoulant sur les parois du trou.

Audrey Garric. Aliment acide : liste - Ooreka. Remèdes nature. Meditation. L'Astuce Efficace Pour que l'Epilation Dure Plus Longtemps.