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Intrapreneuriat

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Dix raisons pour lesquelles votre incubateur interne va échouer en moins de deux ans - merkapt. Je travaille depuis plusieurs années avec des grands groupes souhaitant monter, ou ayant déjà monté, une structure d’incubation de projets innovants internes. Certains, séduits par les médias et l’actualité technologique de ces dernières années se risquent même à parler d’accélération.

Dans tous les cas je suis confronté à un problème central : cela semble une bonne idée pour la direction des grands groupes concernés, mais presque aucun ne sait réellement ce qu’ils font avec ces dispositifs, et les échecs sont fréquents et très cuisants. Si vous êtes un directeur de l’innovation ou de la stratégie, essayons de voir au travers du phénomène de mode et laissez-moi vous présenter les dix raisons pour lesquelles votre incubateur interne va échouer en moins de deux ans. Ne vous y trompez pas je ne le fais pas entièrement par bonté d’âme, j’en ai juste assez d’avoir les mêmes discussions sur chaque projet. : ) Vous êtes en mode intimité client ? Leadership produit ? Malheureusement, non. 1. Les intrapreneurs sociaux, ces missionnaires en col blanc. Large sourire et regard pétillant derrière de petites lunettes, Nicolas Cordier n'est pas un chef de mission de Leroy Merlin tout à fait comme les autres. La carrière de ce diplômé d'école de commerce bascule en 2011, lors d'un programme interne sur le thème de l'innovation.

Au sein d'un groupe de travail, il se penche sur la façon dont l'enseigne pourrait prendre en compte les publics en situation de précarité. Le sujet est en rupture avec la culture de la maison, mais il décide d'insister. Pendant des mois, le quadra peaufine son projet en solo, alimente un blog sur les acteurs du changement pour diffuser ses idées, jongle entre ses dossiers de chef de produit (son titre d'alors) et son "social business". "Si je m'en occupais la journée, je devais rattraper mon job le soir", se souvient le cadre. Pugnace, Nicolas Cordier convainc le directeur du magasin de Vitry-sur-Seine de mobiliser des vendeurs pour donner des cours de bricolage à des personnes hébergées par Emmaüs Solidarité. Intrapreneurs sociaux: ces rebelles qui font florès dans l’entreprise.

Ils apportent l’innovation dans leurs entreprises. Celle qui concilie business et social. Ce sont les intrapreneurs sociaux. En somme, des entrepreneurs qui évoluent à l’intérieur d’une entreprise. "C’est de l’investissement à but social, pas de la philanthropie", précise Emmanuel de Lutzel, intrapreneur, chargé de mission social business de BNP Paribas et auteur d'un guide sur l'intrapreneuriat "Transformez votre entreprise de l'intérieur!

" (éditions Rue de l’échiquier). Ici, l’objectif est de trouver un modèle à impact social viable économiquement et créateur de valeurs pour l’entreprise. Depuis dix ans, ils sont plusieurs, comme lui, à s’être lancés dans l’intrapreneuriat social. Gagner en expertise sur le terrain De son côté, Accenture a mis en place le programme Accenture Development Partnerships (ADP), pour offrir aux acteurs du développement international (ONG, fondations, secteur public et secteur privé) ses services de conseils habituels à des prix adaptés. Changer le monde en travaillant dans une grande entreprise, c’est possible ? — Ticket for Change Stories. Changer le monde en travaillant dans une grande entreprise, c’est possible ? Depuis toujours, je suis obsédé à l’idée d’avoir le plus grand impact positif, de me sentir le plus utile, de faire une différence dans le monde, par mon travail. J’ai toujours eu envie de me lever le matin en étant excité, et de me coucher en étant fier de ce à quoi j’ai contribué pendant ma journée.

J’ai fait mes choix d’orientation en fonction de ça. J’ai longtemps hésité entre la médecine, l’humanitaire, la politique et le monde de l’entreprise. J’ai finalement choisi d’étudier en école de commerce — ce qui peut paraitre paradoxal — car j’ai eu assez vite l’intuition que « les entreprises dirigent le monde » (« business rules the world ») : les entreprises ont une influence immense sur notre vie quotidienne, et probablement de plus en plus, alors que celle du politique décline. De nombreux pionniers sont déjà en action. Il y a les entrepreneurs bien sûr, qui créent à partir de rien. Emmanuel Faber, DG Danone. Intrapraneurship.

ETUDE SUR L’INTRAPRENEURIAT ET SES MODALITES. Recherche Gestion EpigraphieAvant-proposIntroductionPARTIE I : Etude the oriqueChapitre 1 – L’intrapreneuriat : définition et utilisationSection 1 – Définition de l’intrapreneuriatSection 2 – Intrapreneuriat VS ManagementSection 3 – Intrapreneuriat VS EntrepreneuriatSection 4 – Intrapreneuriat VS EssaimageChapitre 2 – Différentes typologies du processus IntrapreneurialeSection 1 – Intrapreneuriat autonome VS Intrapreneuriat induitSection 2 – Processus singulier VS dynamique IntrapreneurialeChapitre 3 – Différentes typologiesSection 1- Cellule IntrapreneurialSection 2 – Plateforme IntrapreneurialeSection 3 – Division IntrapreneurialeSection 4 – La boucle intrapreneurialeSection 5 – La tête de pont intrapreneurialeSection 6 – L’organisation intrapreneurialeChapitre 4 – Intrapreneuriat ou Entrepreneuriat ? Auteur : EL BAZE Essam Année de publication : 2011 Iseg Lyon © 2013 Institut numerique. Gabriel Le Van Ho » MUTANTS EPISODE 3 (avec Emmanuelle Duez, Grégory Olocco)

Intrapreneuriat : les 13 règles du corsaire. Je parlais fin décembre de l’importance pour les grands groupes de parvenir à se remettre en contact avec le marché et plus simplement, avec la réalité. Pour cela, une stratégie d’innovation par un programme d’intrapreneuriat se révèle parfaitement adaptée. Encore faut-il que celle-ci repose sur des règles du jeu claires. Pour comprendre ces règles, il est toujours efficace de comparer les intrapreneurs à des corsaires : Un corsaire est un membre de l’équipage d’un navire civil armé, autorisé par une lettre de marque (également appelée « lettre de commission » ou « lettre de course ») à attaquer en temps de guerre, tout navire battant pavillon d’États ennemis, et particulièrement son trafic marchand, laissant à la flotte de guerre le soin de s’attaquer aux objectifs militaires.

Les corsaires ne doivent donc pas être confondus avec les pirates puisqu’ils exercent leur activité selon les lois de la guerre, uniquement en temps de guerre et avec l’autorisation de leur gouvernement. Intrapreneuriat : remettre les grands groupes en contact avec la réalité. Depuis maintenant plusieurs années que je travaille pour aider des grands groupes dans la structuration et le déploiement de programmes d’intrapreneuriat, je constate que beaucoup d’idées reçues circulent sur cette stratégie d’innovation, sans que toutefois il n’y ait grand chose de sérieux qui soit formalisé. Je vais essayer au travers de quelques articles à venir, dont celui-ci est le premier, de partager quelques clefs sur le sujet. Le premier constat que l’on fait en travaillant dans n’importe quel grand groupe, c’est qu’ils sont toujours mis en tension par deux grandes forces : la pression du marché et la politique interne.

Pour une entreprise classique, la pression du marché est la force prioritaire à gérer. Cette pression darwinienne est toujours présente, avec des évolutions de plus en plus rapides. Ensuite, et très rapidement l’entreprise en tant qu’organisme social doit se soumettre à une deuxième force, celle-ci interne : son organisation politique. L'intrapreneuriat : un « booster » de carrière. Intraprenariat. Développer l’esprit d’entrepreneur avec une entreprise dans l’entreprise grace à l' »intraprenariat » ou « Entrepreneurship ». Les sirènes de l’entreprenariat s’entendent de loin. Il faut reconnaître que c’est tentant de quitter son patron pour lancer son affaire, être le capitaine, le maître à bord, le boss, bref, le patron. Des enquêtes régulières nous rappellent d’ailleurs, qu’un français sur deux aimerait « créer sa boîte » et que 15% des salariés souhaiteraient réaliser ce projet dans les trois prochaines années. Pourtant, la majorité reste à bord. Une promotion, de nouveaux clients, de nouvelles responsabilités… Et puis, c’est la crise… et il y a les enfants.

Et s’il existait un moyen de devenir le leader d’un projet, financé par sa société dans lequel les collaborateurs seraient partie prenante ? L’intraprenariat ou intrapreneurship, terme utilisé dès 1978 par Gifford Pinchot, consiste à donner les moyens à ses collaborateurs de se comporter comme des entrepreneurs. Carewan - Les intrapreneurs, ces innovateurs de l'intérieur. Innovation, agilité, esprit collaboratif…ces termes envahissent aujourd’hui les chartes de valeurs des entreprises. Qui n’est pas à la recherche de collaborateurs qui prennent des initiatives ? Capables de défier le statu quo ? Des collaborateurs « entrepreneurs » ? A l’heure où les entreprises craignent de se faire « uberiser [i] », l’innovation est devenue le graal absolu. Carewan organisait, ce vendredi 2 octobre, une « matinale » consacrée à l’intrapreneuriat. Qui sont les intrapreneurs ? S’il n’y a pas, selon nos intervenants, de profil type d’intrapreneur, il y a bien des traits comportementaux que l’on retrouve chez la plupart d’entre eux.

Au-delà de l’engagement, qualité incontournable pour les intrapreneurs, l’on retrouve d’autres compétences clés : Les compétences business : l’intrapreneur doit faire preuve d’une forte orientation « marché », il s’agit de faire aboutir un projet certes innovant, mais avant tout lié à l’activité de l’entreprise. Amazon.fr - Transformez votre entreprise de l'interieur ! : le guide de l'intrapreneur social - Emmanuel de Lutzel, Valérie de la Rochefoucauld Drouâs - Livres. "L'intrapreneur social, le mouton à cinq pattes du monde de l'entreprise?"

"Les plus grands agents de changement sociétal ne sont probablement pas les entrepreneurs sociaux, aussi intéressants soient-ils... Il y a de grandes chances que ce soient des personnes très raisonnables, travaillant pour des grandes entreprises, qui voient des manières de concevoir des meilleurs produits ou d'atteindre de nouveaux marchés, et qui ont les ressources pour le faire", écrivait en 2008 The Economist, en référence aux intrapreneurs sociaux.

Ces individus évoluent dans une grande organisation qui souhaite, par la mise en oeuvre d'un projet spécifique, transformer "de l'intérieur" les comportements et les métiers de l'entreprise vers une meilleure prise en compte de son impact social ou environnemental, d'après la définition du Mouvement des entrepreneurs sociaux (Mouves).

Les intrapreneurs sociaux sont une espère rare, encore méconnue. "Le danger? Perdre son rêve en route" "Le danger de cette voie 'par l'intérieur', poursuit-il, c'est de perdre son rêve en route. Intrapreneurs : engagés de l’intérieur. Ils ont sillonné la France en bus pendant douze jours pour apprendre à transformer le monde. Cinquante-huit «entrepreneurs du changement», âgés de 18 à 38 ans, participaient jusqu’à ce samedi à la deuxième édition du tour de la start-up Ticket for Change, qui les a emmenés à la rencontre d’entrepreneurs sociaux et les a aidés à définir un projet. Parmi eux, huit sont des «intrapreneurs». Un concept né dans les années 70 aux Etats-Unis et qui émerge doucement en France. Il désigne ces entrepreneurs qui, à l’intérieur des (grandes) entreprises, mettent en place un projet innovant et économiquement viable.

Echelle. Les huit participants à ce tour y ajoutent une casquette sociale, portés par l’envie de faire évoluer les pratiques de leurs boîtes en les rendant plus responsables. Levier. Ces innovations les rendent également plus attractives auprès des salariés. «On ne perd pas d’argent et on rend fiers les salariés» «J’ai besoin d’unifier boulot et engagement social»