Bad Buzz, comprendre le cas Cuisinella. Récemment, Cuisinella a réalisé une vidéo qui a suscité un véritable bad buzz sur les médias sociaux. Loin de moi l’idée de juger du bien fondée de la vidéo qui se voulait virale, mais il est important de de prendre en considération le déroulement des faits pour comprendre pourquoi la communication, autant que la réponse à la crise, a été un échec cuisant. Même s’il s’agit avant tout d’une crise communicationnelle, qui ne sera au final qu’une tempête dans un verre d’eau, il est important d’agir avec célérité et de penser la crise dans le temps et les espaces. Déroulement des faits 12 décembre – Publication : Cuisinella a décidé de mettre en place une campagne virale au travers d’une vidéo intitulée « ça sent le sapin », faisant croire à une caméra cachée où des personnes lambdas sont abattues dans la rue, transportées en ambulance et enfermées vivantes dans un cercueil avant d’être déposées dans un magasin.
Le slogan ? 13 décembre – excuses ? Ce qu’il faut retenir de tout ça ? Un spot publicitaire de Cuisinella crée un bad buzz. VIDEO - A la suite du très mauvais accueil de son dernier spot sur les réseaux sociaux , le fabricant de meubles de cuisine a tenté de retirer la vidéo de Youtube avant de défendre son «concept créatif décalé». Baptisée «ça sent le sapin», la dernière vidéo de Cuisinella choque la communauté Internet depuis le début de l'après-midi. Et pour cause, le scénario imaginé par l'agence Change, engagée par la marque, est très douteux. En effet, on y voit un faux sniper tirer sur des passants en pleine rue. Apeurées, les trois «victimes» réalisent qu'elles sont touchées par de simples boules de peintures rouges .
Sur les réseaux sociaux, les critiques fusent depuis le début de l'après-midi. Et sinon, ça va dans vos têtes chez #cuisinella ? Stupéfait de la vidéo #Cuisinella . La peur d'être enfermé vivant dans un cercueil, c'est vrai que ça fait vendre, tous les spécialistes en marketing le savent... Pour l'heure, la marque réfléchit à la réaction à adopter. Volkswagen doit quitter le côté obscur de la force ! | Protection de l'environnement | Greenpeace Belgique.
Actualité - 28 juin, 2011 Une parodie du célèbre clip du constructeur allemand VW vient d'être produite par Greenpeace pour dénoncer l'irresponsabilité environnementale de ce dernier et lui permettre de s'aligner sur les aspirations légitimes de nombreux conducteurs de cette marque. La lutte contre le côté obscur de VW est engagée sur le net.
Vous aussi rejoignez la rébellion : www.vwdarkside.com Avec une voiture sur cinq vendues en Europe, le groupe Volkswagen est le premier constructeur automobile européen. Il envisage de devenir numéro un mondial, d’ici à 2018. Autre ambition affichée par le groupe allemand : devenir le constructeur « le plus respectueux de l’environnement ». La plupart des véhicules du groupe Volkswagen comptent toujours parmi les plus polluants d’Europe. Une image verte à dégonfler L'image 'verte' dont se pare le constructeur allemand ne résiste pas à l'analyse si l'on sait que Volkswagen a été l’un des moteurs de la campagne de lobbying contre l’adoption, Acadomia prend une leçon sur Facebook. Le blog de la société de conseil en communication Internet Burson Marsteller revient sur l'exemple de la mauvaise gestion de crise d'Acadomia, l'entreprise de soutien scolaire épinglée par la Cnil pour ses méthodes de fichage.
Dans un communiqué du 27 mai dernier, la CNIL adressait un avertissement à Acadomia pour des commentaires excessifs dans ses fichiers. Il est vrai que les mentions injurieuses, ajoutées en face de certains profils, évoquent davantage un vestiaire de l’équipe de France de football qu’une entreprise qui “croit au potentiel de chacun”. Pour répondre à la CNIL, Acadomia a, entre autres, et après plusieurs communiqués de teneurs différentes, créé une page Facebook : « Acadomia : faisons le point ».
On y trouvait une vidéo dans laquelle son directeur général, Philippe Coléon, s’expliquait, et invitait les internautes à s’exprimer (la vidéo est désormais effacée). Les éclairés du web ont plutôt salué l’initiative. L’absence a priori d’Acadomia sur les réseaux sociaux. Jean-Luc Delarue : comment chasser ces chiens du net qui ne respectent rien. Jean-Luc Delarue, lors de la conférence de presse de rentrée de France Télévisions, le 31 août 2011 (BENAROCH/SIPA) "Jean-Luc Delarue est mort". Durant quelques heures, sur le réseau social Twitter, cette information, qui n'en était pas une, a couru, de tweet en tweet, de retweet en retweet.
Contraints et forcés, des journalistes ont été obligés de faire le travail qui n'avait pas été accompli par celui qui était à l'origine du déferlement, à savoir vérifier ce qu'il en était auprès de qui de droit. Ce fut fait. L'information était fausse, nulle et donc non avenue. Retournons au #tdf, l'attaché de presse de Jean-Luc Delarue nous dit "démentir formellement" la rumeur de sa mort. — Garriberts (@Garriberts) July 22, 2012 La veille, sur "le Plus du Nouvel Observateur", était apparue une chronique, signée d'un ancien collaborateur de Jean-Luc Delarue. Pourquoi aller aussi loin dans la cruauté ? Où est le respect d'une personne qui ne peut se défendre ? Jean-Luc Delarue, symbole d'une époque. Comment répondre à une attaque sur les médias sociaux ? [Vidéo] Interview de Emmanuel Bloch. When Brands Bow To The Power Of Your Tweets [INFOGRAPHIC] Logo Malabar : L’enfer du Community Manager sur sa fan page Facebook.
On vient à peine de parler du bad buzz montant concernant Malabar et son changement de mascotte, que l'on commence à assister a de véritables attaques verbales sur la fan page Facebook de Malabar. En une journée, la page a accumulé plus de 400 fans supplémentaires, mais la majorité d'entre eux ne s'est inscrite que dans le seul but de critiquer ce changement de mascotte, et crier au scandale contre le chat Mabulle et son look 80's-poubelle. Une page Facebook ne vit pas toute seule. Elle est animée par de nouveaux travailleurs du web qu'on appelle "Community Managers".
Ils ont remplacé les webmasters dont on parlait avec admiration il y a quelques années. Ces nouveaux gourous du web sont moins techniques, plus axés marketing-communication. Le pauvre Community Manager de Malabar subit actuellement de véritables attaques terroristes numériques, constituées de trolls, insultes, et images parodiques peu orthodoxes de la part d'un petit groupe d'activistes. L'ours Pedobar pedobar.