background preloader

Instinct

Facebook Twitter

Lecture 33. De l'activité en général. L'instinct. Lecture 33. De l'activité en général. L'instinct Analyse de l'instinct Qu'est-ce que l'instinct? Les caractères Inconscience Perfection immédiate Immutabilité. Réserves faites à ce sujet Spécialité Communauté dans l'espèce L'instinct est-il un phénomène physiologique? Exposition de la doctrine. Descartes et les bêtes-machines Réfutation: Il y a dans les animaux autre chose que des phénomènes physiologiques L'instinct est indépendant des organes, et dépend par conséquent de conditions qui ne sont pas organiques L'instinct peut être transformé en mouvement volontaire.

L'activité est la faculté par laquelle nous produisons nos actions. L'instinct est la faculté que nous avons de produire des actions non déterminées par une expérience antérieure. Voyons maintenant quels sont les principaux caractères de l'activité instinctive. Inconscience. Cette doctrine se réfute par l'exagération de ses conséquences. L'instinct n'est donc pas physiologique, ne se réduit pas à un mécanisme.

La définition de Objectivisme. Accueil > Dicotionnaire > Les termes psychologiques commençant par O > La définition de objectivisme L'objectivisme est une théorie de l'instinct, un fondement de l'éthologie classique, qui propose un ensemble de causes et de fonctions générales caractérisant les conduites instinctives des animaux. Cette théorie est fondée sur une description aussi rigoureuse que possible du comportement de chaque espèce dans son milieu naturel. La théorie de l'objectivisme de l'instinct Les bases de la théorie objectiviste de l'instinct ont été posées par Konrad Lorenz et Nikolaas Tinbergen, en 1938, dans un article intitulé Taxie et action instinctive dans le mouvement de roulage de l’œuf chez l'oie grise.

L'oie ramène sous elle un œuf qui a roulé à l'extérieur du nid par un mouvement du bec dans le plan sagittal de son corps. Cet acte instinctif est complété par de brefs mouvements d'équilibration de l’œuf sous le bec (composante taxique de l’acte instinctif). Les deux composantes de l'acte instinctif. Instinct. L’instinct est la totalité ou partie héréditaire et innée des comportements, tendances comportementales et mécanismes physiologiques sous-jacents des animaux. Il est présent sous différentes formes chez toutes les espèces animales. Son étude intéresse nombre de sciences : biologie animale (éthologie et phylogénie), psychologie, psychiatrie, anthropologie et philosophie.

Chez l'humain, il constitue la nature qui s'oppose traditionnellement au concept de culture. Quelques définitions[modifier | modifier le code] « Nous définirons l'instinct, conformément à l'usage général, une activité dont les conditions internes sont des propriétés primitives de l'organisme. Instinctif signifie donc inné, préformé et s'oppose à ce qui est acquis ou inventé par l'individu. » « Le répertoire comportemental moteur d'un animal se compose de mouvements constants dans leur forme, donc reconnaissables. . — Irenäus Eibl-Eibesfeldt[2] « Instinct. . — L. Analyse scientifique[modifier | modifier le code] Verticale. Instinct.

Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] (Date à préciser) Du latin instinctus, dérivé, avec le préfixe in- de stinguere (« éteindre », originellement « piquer »). Étymologiquement parlant, l’instinct est « ce qui pique ou anime le for intérieur ». (1495) instincte, « impulsion ». Nom commun[modifier | modifier le wikicode] instinct \ɛ̃s.tɛ̃\ masculin Mouvement intérieur qui est naturel aux animaux et qui les fait agir sans le secours de la réflexion pour accomplir des actes conformes à leur espèce et adaptés à leurs besoins.

Dérivés[modifier | modifier le wikicode] Traductions[modifier | modifier le wikicode] Prononciation[modifier | modifier le wikicode] France : écouter « instinct [ɛ̃.n‿ɛ̃s.tɛ̃] » Voir aussi[modifier | modifier le wikicode] instinct sur Wikipédia instinct sur Wikiquote Références[modifier | modifier le wikicode] Du latin instinctus. L’Origine de l’Instinct et de l’Action réflexe. JournalRevue des Deux MondesL’Origine de l’Instinct et de l’Action réflexeAlfred Fouillée1886ParisC3e période, tome 77Revue des Deux Mondes - 1886 - tome 77.djvuRevue des Deux Mondes - 1886 - tome 77.djvu/9869-895 G.

Romanes. — L’Évolution mentale chez les animaux. Suivi d’un Essai posthume sur l’instinct, par Ch. Darwin. — 1884. L’étude de l’instinct a un intérêt particulier pour le philosophe, parce que l’instinct est sur la limite commune du mécanisme et de l’intelligence. Cette nouvelle application de la doctrine mécaniste nous amène à nous poser ce problème fondamental : — Est-il vrai que ce soit le mouvement réflexe et purement automatique qui explique l’instinct et le désir ? Entre l’intelligence et le mécanisme brut il y a un intermédiaire dont le rôle, selon nous, n’a pas été mis dans tout son jour : l’appétit.

Cette théorie ne saurait nous satisfaire. Comme exemple d’association innée jointe à l’émotion, on peut citer la peur instinctive. Selon M. Nous craignons que M. Nguyen duy. Untitled Document. L'éthologie, définie originellement comme l'étude des comportements instinctifs, se définit actuellement, plus généralement, comme la biologie du comportement. Une référence Campan et Scapini ont publié récemment un manuel en français qui couvre l'entier du domaine, et qui est plutôt bien écrit. On pourra lui reprocher sa vision très classique de l'éthologie, mais c'est probablement actuellement le meilleur ouvrage général en français. (Campan R., Scapini F. Ethologie: Approche systémique du comportement.

Bruxelles: De Boeck Université, 2002). Deux traditions parallèles anciennes Campan et Scapini, dans leur manuel, essaient de distinguer et de détailler les filiations des différents courants de pensée (à vrai dire très imbriqués les uns dans les autres) qui régissent l'étude du comportement animal dès les 17ème et 18ème siècle. Le début du 20ème siècle: deux courants s'opposent Les éthologues posent la question des mécanismes du comportement, de sa fonction et de son évolution. Lorenz. René Descartes. Signature Sa méthode scientifique, exposée à partir de 1628 dans les Règles pour la direction de l'esprit, affirme à partir du Discours de la méthode (1637), une rupture par rapport à la scolastique enseignée dans l'Université, qui fait la réconciliation entre la philosophie d'Aristote et le christianisme. Le Discours de la méthode s'ouvre sur une remarque proverbiale « Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée »[c 1] pour insister davantage sur l'importance d'en bien user au moyen d'une méthode qui nous préserve, autant que faire se peut, de l'erreur.

Elle se caractérise par sa simplicité et prétend rompre avec la philosophie scolastique qu'on lui avait enseignée au collège de La Flèche, jugée trop « spéculative ». Elle s’inspire de la méthode mathématique, cherchant à remplacer la syllogistique aristotélicienne utilisée au Moyen Âge depuis le XIIIe siècle[6]. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance[modifier | modifier le code] — Olympiques, fragment 1. 2. 3. 4.

Michel de Montaigne. Signature Probablement dès la fin mars 1578, il constate qu'il est victime de petits calculs urinaires, et en dix-huit mois, la gravelle, maladie responsable de la mort de son père, s'aggrave et s'installe durablement. Désormais, le plus souvent souffrant ou malade, il cherche à hâter ses écrits et à combler ses curiosités : il essaie ainsi de guérir en voyageant vers des lieux de cure, puis voyage vers les contrées qui l'ont fasciné durant sa jeunesse. S'il proclame que son livre « ne sert à rien » (« Au lecteur »), parce qu'il se distingue des traités de morale autorisés par la Sorbonne, Montaigne souligne tout de même que quiconque le lira pourra tirer profit de son[6] expérience.

Appréciée par les contemporains, la sagesse des Essais s'étend hors des barrières du dogmatisme, et peut en effet profiter à tous, car « chaque homme porte la forme entière de l’humaine condition[7]. » Biographie[modifier | modifier le code] Origines familiales[modifier | modifier le code] à être tolérant : Le Paradigme perdu. La nature humaine - Edgar Morin.

Le vivant. Les enjeux de la notion – une première définition Le vivant peut être défini comme le règne des êtres qui possèdent les caractéristiques de la vie. Mais qu’est-ce que la vie ? De manière sommaire, on dira que c’est l’ensemble des fonctions d’un corps et des phénomènes qui s’y déroulent depuis la naissance jusqu’à la mort. Cependant, comment rendre compte de la diversité des organismes vivants ? Comment expliquer l’évolution des espèces ? La conception aristotélicienne du vivant « Il faut donc nécessairement que l’âme soit substance comme forme d’un corps naturel qui a potentiellement la vie. Aristote a consacré une part très importante de son œuvre à la connaissance du vivant, compilant les multiples observations relatives aux différents animaux et établissant un système de classification des espèces qui demeure d’usage jusqu’au 18ème siècle.

Aristote défend une conception finaliste des phénomènes du vivant. Penser le vivant à l’âge classique La naissance de la biologie.