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TRUCS DE FILLES

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Comment (et pourquoi) des hommes deviennent-ils des militants féministes? Temps de lecture: 16 min Homme et féministe: pour certains, ce sont deux termes qui s’opposeraient presque, une alliance incongrue ou à tout le moins, un adjectif qui devrait être réservé aux femmes.

Comment (et pourquoi) des hommes deviennent-ils des militants féministes?

Comment, alors que les féministes sont souvent taxées de «misandrie», et qu’elles n’ont pas toujours bonne presse, des hommes en viennent-ils à s’engager pour cette cause, voire même à militer activement dans des associations? Quelles raisons poussent donc ces garçons à surmonter les sarcasmes et à faire cette chose qui semble si peu logique à tant de gens au premier abord: se battre contre leurs propres privilèges? C’est l’objet d’un livre du chercheur Alban Jacquemart, intitulé «Les hommes dans les mouvements féministes. Socio-histoire d’un engagement improbable».

Le féminisme aujourd’hui est très majoritairement une affaire de femmes. Pour l’année 2009, seuls 20 des 220 adhérents de la première association étaient de sexe masculin. Behance. Le coup de poing dans la gueule, presque, un mercredi soir. Aujourd’hui, j’ai beaucoup pleuré.

Le coup de poing dans la gueule, presque, un mercredi soir.

J’ai pleuré de rage, ce matin, en lisant l’article de Brain sur les criminels sexuels touts puissants. J’ai pleuré en pensant à toutes ces victimes de viol, enfants et adultes, qui se débattent pour survivre, qui ne savent pas quoi faire de cette vérité, et qui doivent se battre autant avec la menace qu’ils fuient qu’avec la société qui ne les croit pas. J’ai pleuré de désespoir en constatant qu’encore aujourd’hui, le viol est sujet à toutes les blagues, attitudes vaseuses et dénigrements en tout genre. Qu’on en rit, qu’on le banalise, qu’on le minimise (cf l’actu avec notre Baupin national et ses agressions qualifiées de « compliments. », ou la super blague de Laurent Laffite à Cannes). Infographie féministe - Les Glorieuses.

Depuis l’automne 2015, Les Glorieuses vous envoient chaque semaine une newsletter qui vise à réinventer l’information sur les femmes.

Infographie féministe - Les Glorieuses

Le projet est ambitieux mais les nombreux messages de soutien que nous recevons nous confortent dans cet engagement. Vous êtes nombreuses et nombreux à nous proposer votre aide et nous vous en remercions du fond du coeur. Cependant, Les Glorieuses n’est pas une association militante. Nous sommes une initiative indépendante qui, au travers de sa newsletter, promeut une nouvelle façon d’être féministe, plurielle et engagée. En France, il existe plusieurs centaines d’organisations nationales ou locales qui militent pour les droits des femmes et qui ne demandent qu’à être rejointes! Temps de lecture : environ 15 min (c’est long mais ça vaut le coup) Vous avez bien lu. Un ou une féministe est « une personne qui croit à l’égalité sociétale, politique et économique des sexes » Chimamanda Ngozi Adichie Mais il y a mille façons d’être féministe.

Papa, c’est quoi le féminisme? Un jour, ma fille me lancera cette question entre deux bouchées de Rice Krispies un samedi matin avant mon premier café. « Papa, c’est quoi le féminisme?

Papa, c’est quoi le féminisme?

» J’aimerais ne pas avoir à répondre à cette question. J’aimerais ne pas avoir à lui expliquer qu’avant, v’la pas si longtemps, on disait aux femmes qu’elles étaient moins bonnes que les hommes. Ne pas devoir lui présenter cet univers absurde dans lequel réduire les autres est une option. J’aimerais ne pas avoir à lui expliquer pourquoi on doit dire aux gens d’arrêter de se manquer de respect. J’aimerais juste la regarder manger ses céréales, mais est-ce que ça serait responsable d’assumer que lorsqu’elle sera en âge de comprendre, les mentalités auront changé? Permettez-moi d’être sceptique. Accueil - Georgette Sand.

PAYE TA SHNEK. “J’ai toujours rêvé de baiser une handicapée, tu viens dans la chambre avec moi.”

PAYE TA SHNEK

Lyon — lors d'une soirée. Venant d'un mec qui savait que j'étais lesbienne… Et même sans ça, je comprends toujours pas comment il a pu penser que je le suivrais sans discuter, sa phrase n'étant clairement pas une question mais plus un ordre. “Toi tu vas te faire violer.” Rennes — Un homme à vélo, qui me lance ça sans même ralentir. “Sortez les gars, je m’occupe d’elles.” Paris — dans le collège où je travaille.

“Eh tu veux que je te ramène chez toi? Bordeaux — alors que je rentrais chez moi des cours, un homme s'arrête en voiture pour me dire ça, puis il repart en klaxonnant et un me faisant des gestes obscènes. “Alors, tu t’enfuis? Paris — je suis seule dans le métro, sur la ligne 11 un homme d'à peu près 50 ans me colle et tente des gestes déplacés. “Est ce que je peux te cracher dans la chatte ?” Angers — Il était minuit, je longeais la ligne de tram pour rentrer chez moi. Lausanne — Minuit. Woman tax.