background preloader

Théorie

Facebook Twitter

Bon à jeter ? Why Cleaned Wastewater Stays Dirty In Our Minds. Co-mingling treated, cleaned wastewater with a natural water supply is one way to remove the psychological contagion from sewage water. "It's an identity issue, not a contents issue," says psychologist Carol Nemeroff. Above, Multnomah Falls in Oregon. (AP) Brent Haddad studies water in a place where water is often in short supply: California. Haddad is a professor of environmental studies at the University of California, Santa Cruz.

About 14 years ago, he became very interested in the issue of water reuse. At the time, a number of California's local water agencies were proposing a different approach to the state's perennial water problems. In most large cities around the globe, sewage and wastewater gets processed at a treatment plant. First, it passes through a filter to remove large materials like tree limbs, trash and leaves. Then it's on to another tank, where oxygen is bubbled in, enabling bacteria to break down any organic matter in the wastewater. -- Andrew Prince DAVID GREENE, Host: Mancur Olson, théoricien des "biens collectifs"

LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Pierre Jacquet, chef économiste, Agence française de développement. Mancur Olson (1932-1998) est un économiste américain dont les travaux ont marqué la réflexion et la recherche sur l'action collective, la production de biens publics, la place des institutions et le rôle de la démocratie. Au-delà d'articles universitaires marquants, trois ouvrages ont construit sa notoriété: le premier, Logique de l'action collective, paru en 1965 (traduction française en 1978), est issu de la thèse qu'Olson a réalisée à Harvard sous la direction du théoricien des jeux Thomas Schelling. Il y développe l'idée apparemment paradoxale qu'un ensemble de personnes liées par un intérêt commun et ayant les moyens de poursuivre cet intérêt ne le feront pas toujours spontanément. Autrement dit, l'action individuelle ne se généralise pas simplement en action collective, il faut pour cela une organisation et des institutions.

La culture de la pauvreté. L’année 2010 a été marquée, tant du point de vue scientifique que politique, par le retour en grâce de la notion de « culture de la pauvreté ». Cette notion, forgée par l’anthropologue Oscar Lewis, avait alimenté la critique du Welfare State américain à partir des années 1960 en se cristallisant sur la minorité afro-américaine. Depuis, parler de culture de la pauvreté passait pour une manière de faire porter aux pauvres la responsabilité de leur situation (blame the victim), et de consentir au démantèlement de l’État social sous le prétexte de lutter contre la dépendance des pauvres à son égard. Alors que la crise économique et sociale donne à la vulnérabilité une ampleur inédite, la question de la culture de la pauvreté a fait l’objet, de part et d’autre de l’Atlantique, de propositions renouvelées et fortement controversées. Aux États-Unis tout d’abord, David J.

Au sommaire du dossier : Nicolas Duvoux, Elise Tenret & Nadège Vezinat, « Retrouver le sens de la vie sociale. Lire aussi : Culture et pauvreté : perspectives transatlantiques. Vivre ou survivre après la société de consommation : 4 scénarios à  l'horizon 2050. René Dumont.

Michel Serres