Go go gadgéto moyo. Go (game) Go originated in ancient China. Archaeological evidence shows that the early game was played on a board with a 17×17 grid, but by the time the game had spread to Korea and Japan, in about the 5th and 7th centuries AD respectively, boards with a 19×19 grid had become standard.[6] The first 60 moves of a Go game, animated. This particular game quickly developed into a complicated fight in the lower left and bottom.
Go is an adversarial game with the objective of surrounding more territory than one's opponent.[2] As the game progresses, the board gets divided up into areas of territory, as outlined by groups of stones. These areas are then contested in local battles, which are often complicated, and may result in the expansion, reduction, or wholesale capture and loss of the contested area. The four liberties (adjacent empty points) of a single black stone (A), as White reduces those liberties by one (B, C, and D).
If White plays at A, the black chain loses its last liberty. Front Page. Recherche jeu de Go. Les thèses en sciences humaines sur le Go. Dans un article fondateur paru en 1981 dans la Revue Française de Go, François Petitjean jetait les bases du "Go comme modèle d'analyse de stratégies sociales".
Une réponse à l"article de F. Petitjean (pdf) Une réponse à l'article, parue dans la Revue Française de Go n° 13 du premier trimestre 1982. Suivront nombre d'articles dans des quotidiens et hebdomadaires, le numéro spécial "Regards sur le Go" (1983) qui exposait en détail "Le Go comme modèle", d'autres articles encore,...
Il n'est donc pas étonnant que des études en sciences humaines aient le Go comme sujets d'analyse. Ces ouvrages ne sont évidemment pas disponibles dans le commerce. C. Les réseaux barristes : stratégies de communication, d'encadrement et de mobilisation. Frédéric Claus Le jeu de Go : archétype de la pensée asiatique pour l'Occident. Mémoire en ma possession. Elisabeth Papineau La place et le sens du jeu dans la Chine urbaine contemporaine : weiqi, majiang et autres loisirs. Marie Taverne Motoki Noguchi. Jargon du Go. Ageishi : pierres capturées Ago : coup à la machoire Aji : arrière goût Ajikeshi : suppression d'un arrière goût Akisankaku : (mauvais) angle vide Akisumi : coin vide Akushu : mauvais coup Amai : insuffisant Amashi : stratégie consistant à délaisser des groupes faibles pour prendre l'avantage ailleurs Amarigatachi : mauvaise forme résultant d'une séquence abusive Atari : pierres en prise Ate : mise en atari Atekomi : coup au contact des deux pierres d'un kosumi adverse Atenobi : ate suivi d'un nobi Atetsugi : ate suivi d'un tsugi Atetsuke : ate suivi d'un tsuke Atsui : solide Atsumi : force Boshi : chapeau Botsugi : connexion d'un ikkentobi Byoyomi : décompte des secondes Chigaikomuku : début de partie où Noir commence par deux 3-4 sur le même bord, mais orientés différemment Chosei : ko de longue vie Chuban : milieu de partie Furikawari : échange Fuseki : début de partie Pairgo : rengo mixte Ponnuki : l'une des formes résulant de la prise d'une pierre adverse.
Pour les débutants. Tsumego.org. Goproblems.com Home. EncyGoPedie : Shicho.